Voici le dernier chapitre de notre fic nous vous remercions pour tous vos commentaires qui nous ont faits extrêmement plaisirs.
Et nous espérons que la fin vous plaira.Chapitre 21 La fin du cauchemarSamia se réveilla. Il lui fallut quelques instants pour comprendre où elle se trouvait.
« Qu’est-ce que je fais là ? »
La dernière chose dont elle se souvenait, c’est la main d’Alfredo qui serrait son bras, pour ne pas la laisser filer. Puis elle tourna la tête et vit Boher qui dormait paisiblement.
Un sourire illumina son visage.
« Il est toujours là pour veiller sur moi ! »
Elle l’observait lorsque Léo et le commissaire entra dans la chambre. Les deux hommes se regardèrent, ils avaient un regard complice, ils complotaient forcément quelque chose…
Léo interrompit les rêveries de Samia. Et par la même occasion mis fin au sommeil de Boher.
Léo en toussotant : Bonjour Samia, content de voir que tu es tiré d’affaire ! Je t’ai amené quelques vêtements.
Samia tournant la tête : Bonjour messieurs ! Merci capitaine.
CB : Grace à vous, nous avons pu arrêter Alfredo. Vous avez pris de très gros risque ! Je vais vous laissez reprendre vos esprits, ensuite est-ce que vous pouvez passer au commissariat pour quelques questions d’usages ?
S : Oui, bien entendu !
Jean-Paul aurait aimé rester seul avec Samia, mais les 2 autres hommes l’invitèrent à prendre un verre afin de laisser la jeune femme se remettre tranquillement.
Dans l’après-midi, Samia put sortir de l’hôpital. Elle se rendit directement au commissariat et répondit à une série de questions de l’inspecteur Lesco. Ensuite la femme lui remis une enveloppe.
Mlle Nassri, pour vous remercier, je souhaiterais vous inviter à dîner. Je vous attends à 20h00 « Aux Papilles » 18 rue de la Liberté.Samia se posait des questions, elle n’avait pas vraiment envie de partager un repas avec le commissaire Bonnejoie.
De son côté Léo avait proposé à Boher de sortir entre collègue. Et le brigadier n’osa pas refuser. Du coup Samia se retrouvait seule et décida d’aller à son rendez-vous.
Boher et Léo étaient installé à une table au restaurant « Aux Papilles » lorsque le portable de Léo sonna.
L : Excusez-moi, Boher je reviens.
Léo s’éclipsa par la porte arrière du restaurant, au moment même ou Samia entra.
Samia s'avança gentiment dans le restaurant, elle ne voyait pas le commissaire, mais un homme de dos, attira son attention.
S : Bonsoir, qu'est-ce que vous faites là ?
Boher lui adressant son plus beau sourire : Bonsoir Miss, on reprend le vousoiement ? C'est dommage !
Samia répondit à son sourire.
S : Je te croyais avec le capitaine Castelli ?
B : Mais je suis avec lui, il s'est juste absenté, il a reçu un appel !
Au même instant, un serveur s'approcha d'eux.
Ser : Vous être M. Boher et Mlle Nassri ?
B et S : Oui
Ser: Je vous prie de bien vouloir me suivre
Les deux jeunes gens intrigués, marchaient à la suite du serveur. Ils arrivèrent dans une belle pièce où il n'y avait apparemment que des couples, la lumière était tamisée, et on pouvait entendre une jolie mélodie.
Ser : Veuillez vous installer, on a réservé cette table pour vous.
Boher et Samia étaient de plus en plus dubitatifs. Mais tous deux semblaient gênés par la situation. Le silence s'était installé. Heureusement celui-ci fut de courte durée. Le serveur revint à nouveau, une bouteille de champagne dans une main et dans l'autre, une jolie assiette sur laquelle on avait disposé quelque chose avec soin. Il servit une coupe aux jeunes gens et plaça l'assiette au milieu de la table !
S et Boher en même temps : Léo ?
A la vue de ce qu'il y avait sur l'assiette, les deux jeunes gens furent touchés, troublées, ne savaient pas trop comment réagir. En effet au milieu de la table prônait sur une assiette, tel un trophée, une gaufre sur laquelle on avait soigneusement dessiné un cœur en chocolat.
S : Il me semble qu'il y a une enveloppe.
A ces mots la jeune femme se pencha pour l'attraper et l'ouvrit.
B : Tu peux lire à voix haute ?
S :
Chère Samia, Cher Jean-Paul,
Je voudrais vous donner un coup de pouce,
Arrêtez de vous faire souffrir tout les deux,
Vos coups de gueule, vos piques,
C'est juste pour masquer vos sentiments réels.
Il est plus facile de se dire je te déteste que je t'aime...
Passez une agréable soirée
Mme la gaufre A près la lecture, le silence refit son apparition. Ils étaient encore plus gênés, leurs joues avait rougit et ils n'osaient à peine se regarder.
Tous deux connaissaient à présent leur propre sentiment, mais n'avaient aucune certitude concernant les ceux de l'autre.
S : Jean-Paul
A ces mots Boher leva sa tête et son regard plongea dans celui de sa partenaire.
S : Mme la gaufre à raison - Elle lui tendit ses mains que le brigadier mis dans les siennes
Samia fixa son partenaire dans les yeux : Je t'aime Jean-Paul
B : Je t'aime Samia
L'émotion était tellement forte que tous les deux avaient des larmes aux yeux.
Samia garda une main dans celle de Boher, et de l'autre, elle caressa la joue de son partenaire afin d'essuyer les petites perles qui ruisselaient du coin de ses yeux. Il fit les même geste.
Ils n'avaient plus besoin de parler. Ils se sentaient enfin en harmonie. Tous deux passèrent la plus belles soirée de leur vie ou plutôt la première belle soirée car celle si fut la première d'une longue série.
Ils s'étaient enfin trouvés, et plus rien ne pourrait les séparer !
FIN