Voici les deux derniers chapitres. Je suis à la fois triste de quitter ces deux personnages et heureuse que cette fic vous ait plu. J'ai aussi envie de me plonger dans une nouvelle fic dont j'ai juste commencé les deux premiers chapitres. merci une dernière fois pour vos coms, vos encouragements,vos petits mots, vos smiles, vos léchouilles....enfin merci - je suis sûr qu’on aurait fini par se retrouver comme on l’a fait cette nuit. Parce que nous c’était inéluctable et irrésistible.
Et ils s’endormirent dans les bras, l’un de l’autre.
Ch.112 ce n’est pas pour les enfants
Ils n’avaient pas fait que discuter cette nuit, aussi au petit matin, comblés par leur folle nuit de retrouvailles, ils dormaient encore quand ils entendirent une petite voix :
- Maman, j’ai faim et Lillie aussi, dit Mahée en tenant la main de sa sœur.
Puis comme sa mère ne réagissait pas, elle contuna :
- Je suis allé voir papa dans sa chambre, mais je ne sais pas où il est. Il n’est pas déjà reparti hein, continua la petite fille inquiète comme sa mère ne lui répondait pas.
En sautant sur le lit, elle s’aperçut que sa mère n’était pas seule et en soulevant le drap, elle découvrit son père très embarrassé. Entre deux câlins, ils n’avaient pas eu le temps de discuter de ce qu’ils allaient dire aux filles. Et là c’était d’un coup trop tard.
- Papa, qu’est-ce que tu fais dans le lit de maman ?lui demanda Mahée.
- C’est une longue histoire, répondit son père. Descends à la cuisine. On arrive dans cinq minutes et on t’explique tout.
- Viens Lillie. Papa et maman veulent s’embrasser sans qu’on les voie, fit en riant la petite fille.
- C’est ta fille. Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? plaisanta Boher.
- On va lui dire quoi ? demanda Samia inquiète.
- Que je t’aime et que tu m’aimes. Qu’on l’aime très fort tous les deux, conclut Boher.
- Et….continua Samia.
- Que je viens habiter ici avec Lillie, expliqua Boher.
- Et ton boulot ? demanda Samia.
- je demanderais ma mutation, fit simplement Boher.
- Tu as déjà réfléchi à tout, fit Samia. Tu étais sûre que j’allais te tomber dans les bras.
- Tu le sais bien. Je suis irrésistible, ricana Boher tout en évitant l’oreiller que Samia lui lançait.
Ils descendirent l’escalier main dans la main et retrouvèrent les deux filles dans la cuisine.
Pendant que Samia préparait le petit déjeuner, Boher commença à parler à mahée :
- « Tu vois cette bouteille de lait ….»
- arrete Boher sois sérieux deux secondes, fit Samia.
- Voilà maman et moi, on s’aime de nouveau beaucoup comme avant ta naissance et on a décidé de revivre ensemble si tu es d’accord, se reprit Boher. Je viens habiter ici avec Lillie. Enfin, dans un premier temps, je ferais les allers et retour mais après je m’installe définitivement avec vous.
- Ça vous dire que papa est ton amoureux, demanda la petite fille à sa mère.
- Oui et maman est mon amoureuse. Et c’est pour toute la vie comme les cigognes chez papi et mamie, rajouta Boher.
- Et vous allez vous marier, continua Mahée.
- Il faut que je demande à maman si elle est d’accord, fit Boher en se tournant vers la jeune femme.
- maman tu veux bien te marier avec papa, dis. J’aurais une jolie robe et toi aussi.
- Oui ma puce je veux bien épouser ton père, dit Samia très émue, tout en embrassant boher.
- J’aurais bien aimé un petit frère aussi, ajouta Mahée.
- Pour ça, il faudra demander à la cigogne, plaisanta son père.
Ch.113 Epilogue
Ils n’eurent pas besoin d’attendre le printemps. Cette fois le bébé fut conçu beaucoup plus vite qu’il le pensait. Et c’est une Samia enceinte de plus de huit mois et demi qui se maria, ce jour-là, à Marseille. Boher avait pris trois semaines de vacances pour pouvoir organiser ce mariage auprès de tous leurs amis. Guillaume et Benoît étaient les témoins du marié alors que Luna et Mélanie ceux de Samia, bien sûr.
- Mr BOHER jean Paul, acceptez-vous de prendre pour épouse Melle Samia NASSRI ici présente.
- Oui dit Boher, en se retournant vers elle et en souriant aux anges.
- Melle Nassri Samia acceptez-vous de prendre pour époux Mr Boher Jean-Paul .
- Oh…..non…c’est pas possible, pas maintenant, fit Samia.
- Quoi fit le maire un peu décontenancé
- Je veux dire OUI. Mais je suis en train de perdre les eaux, il faudrait m’amener à la maternité, expliqua Samia.
- Je vous déclare mari et femme. Je vous amènerais les papiers à l’hôpital FILEZ VITE, dit le maire.
- Dépêche-toi Jean-Paul, ne reste pas planté là. Tu m’emmènes à l’hôpital et Mélanie va chercher ma valise à l’hôtel et nous retrouve là-bas.
- J’avais tout prévu, ta valise est dans le coffre, Mme BOHER, répondit Boher.
- Oh si tu savais comme je t’aime Mr BOHER., mais elle fut interrompue par une contraction.
- J’ai mis du temps à le comprendre mais maintenant je suis sûr de nous, ajouta Boher avant de l’embrasser à son tour.
FIN