Boh'Girl un jour ~ Boh'Girl toujours |
| | Mini-jupe et talons noirs (terminée) | |
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Auteur | Message |
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babou0506
Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Ven 23 Sep - 23:33 | |
| - Pourquoi tu ne m’as pas parlé de tes craintes, de tes angoisses. J’aurais pu comprendre, alors. J’aurais même pu accepter. Mais là ! c’est trop dur. Ch. 113 pars - Il y a pire, ajouta Samia. - Quoi de pire que la trahison de la femme qu’on aime, lui demanda Boher. - Je… Frémont nous a fait espionner et a planqué un micro chez nous, expliqua Samia. - Quoi, mais depuis quand ? demanda Boher. - Quelques jours à peine. Ils nous a entendu et il a tout découvert, dit Samia. - Et merde ! il va appeler la police, l’interrogea Boher. - Non, il a trouvé bien plus lucratif pour lui. Il me fait chanter, soit je travaille pour lui, soit il me dénonce, expliqua Samia. - Tu ne peux pas faire ça. Tu m’as promis de ne plus recommencer, lui rappela Boher. On va trouver une autre solution. - C’est trop tard, j’ai mis le doigt dans l’engrenage. Il m’a obligé à lui récupérer son Degas et …je l’ai fait. - Quand ? Comment ? s’énerva Boher. - Je t’ai fait croire que je partais pour une exposition en fait, je suis allée chez Lansing récupérer le tableau pour le rendre à Frémont. J’ai pensé qu’il allait peut-être me laisser ensuite tranquille, mais il m’a relancée ce matin. Il veut que je vole de nouveau pour lui, raconta Samia. - Mais pourquoi as-tu fait ça ? Pourquoi tu ne m’en as pas parlé ? regretta Boher. - Parce que je ne voulais plus te mêler à ça. Parce que je t’avais déjà fait trop de mal et que je voulais en finir avec ça. Revoler le Degas et le rendre à Frémont, c’était la conclusion de tout ça. Après, on aurait pu repartir sur de bonnes bases et oublier définitivement tout ça puisque l’affaire était aux oubliettes. Et le seul en qui j’avais peur, aurait lâché l’affaire, fit Samia. - Mais enfin, c’est Frémont, répondit Boher. C’était sûr qu’une fois dans ses filets, il ne te lâcherait plus. Tu n’avais pas assez confiance en moi. - Non, ce n'est pas ça. Je ne voulais pas te mêler à mes affaires une fois de plus, une fois de trop, le reprit Samia. - Maintenant, c’est trop tard, tu es coincée. Il te tient, affirma Boher. Surtout que je ne travaille plus et que je ne pourrais plus te couvrir. - Je ne sais plus quoi faire. J’avais décidé de tout dire, ce soir, fit Samia. - C’est un peu facile de me dire ça maintenant que je t’ai poussé à faire ces aveux, tu ne crois pas. Comment je peux croire ce que tu me dis alors que tu me mens depuis des semaines, confia Boher. - Je te jure que j’avais décidé de ne plus rien te cacher et que j’allais tout t’avouer ce soir, se répéta Samia. - Désolé, mais j’ai du mal à te croire. Je pense que tu devrais faire tes bagages et t’enfuir, expliqua Boher. - Et toi ? fit Samia. - Moi, je reste là, répondit Boher. | |
| | | BoherSamiaForever
Age : 39 Date d'inscription : 28/04/2011
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Dim 25 Sep - 21:19 | |
| Haaaaaaaaaaaaaaaaa ses suites sont geniales Babou !! C'est clair Boher a u tres tres mal , mais de l'autre Samia etait coincée par Fremont , quel pourrit celui la >< . Du coup chouchou veut que Samia s'enfuit et lui reste la !! J'espere que Boher va lui pardonner , car il l'aime trop pour la laisser partir comme ca , seule . La suite !! ^^ | |
| | | éléa01
Age : 43 Date d'inscription : 18/02/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Dim 25 Sep - 23:01 | |
| Tout pareil que ma VDD, cette fic est excellente Babou | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Lun 26 Sep - 18:17 | |
| - Désolé, mais j’ai du mal à te croire. Je pense que tu devrais faire tes bagages et t’enfuir, expliqua Boher. - Et toi ? fit Samia. - Moi, je reste là, répondit Boher. Ch. 114 sur un ton sec - Tu ne peux pas rester, observa Samia. - Et pourquoi ça, tu ne peux pas m’obliger à te suivre, fit Boher. - Moi non, plus maintenant, répondit Samia. Mais Frémont si. Il m’a clairement dit que si je ne faisais pas ce qu’il me disait ou que si j’essayais de fuir. Il ferait tout pour te faire atterrir en prison à ma place. - Quel salaud ! s’exclama Boher. - Tu auras beau t’énerver contre lui, ça ne nous aidera pas à savoir ce qu’on va faire, observa Samia. - Merci, j’avais compris. J’ai quand même le droit de me défouler. C’est une soirée pourrie, la pire de ma vie ou presque, avoua Boher. - Je suis désolée pour tout ce que je te fais subir. Tout ça, c’est à cause de moi. Je vais me dénoncer, comme ça il ne pourra plus rien contre toi, fit Samia. - Parce que tu penses, que mes collègues pourront croire que je n’ai rien vu, rien remarqué, fit Boher. Bien sûr que non. - Je ne veux pas remuer le couteau dans la plaie, mais c’est quand même moi qui t’ai tout avoué, remarqua Samia. - Comme si je pouvais oublier, marmonna Boher. - Je suis désolée, c’était petit de ma part, s’excusa Samia. Alors ? - Alors quoi. J’en sais rien moi, répondit Boher. - Prenons les solutions qui s’offrent à nous, une par une. Premièrement, je peux continuer à obéir à frémont et voler pour lui, énuméra Samia. - Tu sais déjà ce que j’en pense, observa Boher. - Je sais, mais tu remarqueras toi-même que dans notre situation, c’est la solution la plus facile et la moins risquée, expliqua Samia. - Moins risquée jusqu’à ce que tu te fasses prendre, fit Boher. - Pendant deux ans, vous n’avez pas réussi à m’attraper, ajouta Samia. Alors pourquoi tes collègues y arriveraient maintenant - Parce que je ne serais pas là pour te couvrir. SI je n’avais pas falsifié, effacé des preuves. Ils auraient fini par t’arrêter, remarqua Boher. - Peut-être, peut-être pas, dit Samia. Bon, la deuxième solution que tu proposais, c’est que je parte seule et que tu restes mais Frémont se vengera sur toi et tu finiras en prison. - Il n’a rien sur moi, fit Boher. - Parce que tu crois que ça peut l’arrêter. Pour se venger, il sera prêt à tout comme d’habitude, lui rappela Samia. La troisième solution, c’est qu’on parte tous les deux. On prend ma moto pour Rome. On attend là-bas des faux-papiers et on s’enfuit au Venezuela comme j’avais prévu à une époque. - Tu sais ce que j’en pense. Mais j’ai une autre solution, fit Boher. - Laquelle, demanda Samia inquiète. - Qu’on s’enfuit tous les deux de Marseille mais chacun de notre côté, l’acheva Boher. | |
| | | éléa01
Age : 43 Date d'inscription : 18/02/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Lun 26 Sep - 18:55 | |
| Wahou ! Quelle suite !!!! Boher est franchement remonté, j'espère qu'il y a une solution pour les réconcilier. Merci Babou | |
| | | BoherSamiaForever
Age : 39 Date d'inscription : 28/04/2011
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Lun 26 Sep - 19:19 | |
| Oulala , Boher es bien en colére , il ne veut ps partir avec Samia , mais chacun de leur cotés >< .
J'espere qu'il va pardonner a Samia .
La suite !! | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Mer 28 Sep - 0:22 | |
| - Qu’on s’enfuit tous les deux de Marseille mais chacun de notre côté, l’acheva Boher. Ch. 115 un véritable déchirement - Tu penses vraiment ce que tu dis, là, s’énerva Samia. - Je ne sais pas. Pour l’instant, je suis déçu et je réagis à chaud. Tout se bouscule dans ma tête. Ces mensonges sur le bébé, le fait que tu aies recommencé à voler, le chantage de Frémont, ton manque de confiance en moi. Ça fait beaucoup en une soirée, tu ne crois pas, confia Boher. Samia sentit les réticences de Boher mais elle sentit aussi qu’il mettait moins d’ardeur dans ses propos. Il arrivait mieux à relativiser, si c’était possible. Elle allait lui proposer de le laisser seul réfléchir et ils en reparleraient tous les deux à tête reposée demain. - Je vais prendre quelques affaires pour la nuit. Je vais m’installer à l’hôtel, proposa Samia. - Je crois que c’est préférable, répondit Boher. - Par contre promets-moi que demain, on pose cartes sur table et qu’on se mette d’accord ensemble sur la démarche à suivre, dit Samia. - Oui, on discutera calmement et on trouvera la meilleure solution pour nous deux, fit Boher. Il la laissa faire son sac pendant qu’il s’enfermait dans son bureau. Quand elle frappa à la porte, il ne répondit pas. Elle n’insista pas et lui souhaita simplement bonne nuit. Puis il entendit la porte d’entrée se refermer derrière elle. Tout était tranquille dans l’appartement, trop tranquille, trop silencieux, un silence de plomb comme on disait. Oui il avait vécu cette histoire de pilule comme une trahison et il l’avait vraiment mal pris. Par contre, il réalisait après-coup que dans l’histoire avec Frémont, c’est lui qu’elle avait voulu protéger. Sinon, il lui suffisait de s’enfuir comma la dernière fois et de tout lui laisser porter le chapeau. Il fallait qu’il rediscute de cette histoire de bébé. Il n’avait toujours pas compris ses raisons. Il savait au fond de lui qu’il ne pourrait pas la laisser partir ni qu’elle se rende à la police. Il finit par sortir de son bureau. Il se dirigea vers leur chambre. Tout était à sa place. On n’aurait pas cru que leur vie, ce soir, avait pourtant basculé. Il eut envie à ce moment-là, avec toute la rage qu’il avait contenu en lui jusqu’à présent de la laisser exploser. Et il se mit à tout jeter dans la pièce ses affaires à elle mais aussi ses affaires à lui dans un accès de folie. Puis, après avoir vidé les tiroirs, la commode et l’armoire. Il se retrouva vidé lui même, sans forces. Il regarda autour de lui. On aurait dit un champ de bataille. Il décida de prendre un cachet et s’effondra sur son lit à bout de souffle. Pendant ce temps, Samia était arrivée à l’hôtel loin du mistral. Elle se rendait compte qu’elle avait eu tort de lui cacher ses sentiments réels quant à sa possible grossesse. Elle n’aurait pas dû aller aussi loin. Elle aurait dû lui en parler au lieu de le trahir ainsi. Est-ce qu’il arriverait à lui pardonner un jour ? Qu’est-ce qu’elle avait eu mal presque physiquement quand il lui avait proposé comme solution de s’enfuir chacun de leur côté ? Est-ce qu’il le pensait vraiment ? Il fallait qu’elle essaye de mettre les choses au clair et de lui faire comprendre pourquoi elle s’était comportée ainsi. Et s’il ne lui pardonnait pas…..elle préférait de pas l’envisager ! | |
| | | éléa01
Age : 43 Date d'inscription : 18/02/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Mer 28 Sep - 0:58 | |
| Merci pour cette suite Babou, c'est toujours un grand plaisir de te lire, vivement la suite ! | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Jeu 29 Sep - 1:08 | |
| Ch. 116 une preuve d’amour Au petit matin, Boher constata le désastre autour de lui. Il avait été pris de folie passagère. Il l’aimait trop et à l’idée de la perdre, il avait pêté un câble.il commença par faire le lit puis il remit les tiroirs de la commode en place et commença à plier ses vêtements et les siens pour les ranger à leur place. Il s’occupait les mains comme ça , ça lui évitait d’avoir à penser ou à réfléchir. Mais à quoi ça rimait de vouloir tout ranger s’ils allaient s’enfuir. Ça n’avait aucun sens. Samia sonna à la porte quelques heures plus tard. Il alla lui ouvrir. Ils étaient tous les deux gênés. - Au moins, tu m’as ouvert. J’avais peur de devoir rester sur le palier pour te parler, fit Samia pour essayer de détendre l’atmosphère. - Rentre. Je te propose un café, fit Boher. - Je veux bien, répondit Samia. Elle était surprise de le voir d’aussi bonne disposition. Soit ça cachait quelque chose. Il avait dû prendre sa décision et savait qu’elle n’allait pas apprécier alors il préférait préparer le terrain. Ils se jaugeaient du regard mais aucun des deux ne prit la parole pendant plusieurs secondes. - Alors tu as réfléchi, fit Samia inquiète de sa réponse. - Non, j’ai dormi. J’ai pris un somnifère et je me suis écroulé, expliqua Boher en omettant de raconter son coup de folie. - On en est au même point qu’hier, alors, fit Samia. - Frémont ne t’a pas appelé, demanda Boher. - Non, pas de nouvelles et c’est tant mieux, dit Samia. - Bien, observa Boher. - On pourrait arrêter ces politesses, tu ne crois pas, le pria Samia. - Je….c’est encore difficile, fit Boher. - Est-ce que tu es prêt à m’écouter, pour que je t’explique pourquoi j’ai agi comme ça, demanda Samia. Viens t’asseoir à côté de moi, fit-elle en tapotant la place sur le canapé. Il se dirigea vers elle. C’était un premier pas en avant. - Je n’avais jamais envisagé d’avoir un enfant avant de te rencontrer. Sans doute parce que je ne me sentais pas prête et aussi parce que je n’avais pas trouvé la bonne personne avec qui faire cet enfant, l’aimer et l’élever, confia Samia. Mais quand je t’ai rencontré, ce fut une évidence. Je voulais un enfant avec toi. - Alors pourquoi m’as-tu menti en me faisant croire que tu ne prenais plus de contraceptifs ? la questionna Boher. - j’étais en pleine confusion. J’étais sous la crainte incessante de voir les flics débarquer et m’arrêter. Et même si en apparence, je semblais sûre de moi, ce n’était absolument pas le cas. - Tu aurais dû me le dire, m’en parler, dit Boher. C’est bien ça que je te reproche. Tu n’as pas eu assez confiance en moi. - Ce n’est pas vrai, c’est en moi que je n’avais pas confiance. - Tu m’as menti pendant pendant deux mois, tu te rends compte, s’énerva Boher. - Je sais et j’en suis désolée. Mais tu nous voyais aujourd’hui moi enceinte ou pire avec un bébé. Qu’est-ce qu’on aurait fait. - On aurait trouvé une solution parce qu’on s’aimait, affirma Boher. - Ne crois pas que j’ai fait ça parce que je ne t’aime pas assez. C’est bien le contraire, fit Samia. Comme je sais déjà ce que tu vas décider. J’ai pris les devants. Dans cette enveloppe, tu trouveras un billet pour le Venezuela. Tu pars dans trois jours. Tu recevras ton passeport demain. J’attendrais que tu sois parti pour partir à mon tour. | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Sam 1 Oct - 14:12 | |
| Ch. 117 une déclaration impromptue Longtemps après le départ de Samia, il regarda le billet d’avion qu’il avait posé sur la table basse du salon. Il n’arrivait pas à la lâcher des yeux. C’était son avenir qu’il avait en main. Soit, il prenait ce billet et ne reverrait jamais Samia, soit….malgré ce qu’elle lui avait fait, il l’aimait toujours. Il ne pourrait pas partir sans elle, c’était une évidence. Il aurait dû mal à lui faire confiance à nouveau. Ça prendrait sans doute du temps mais il voulait leur donner une seconde chance. Pendant ce temps, Samia prenait ses dispositions pour partir et trouver une solution au problème « Frémont ». Elle avait décidé aussi de tout avouer à Malik. Elle ne pouvait pas vivre sans avoir de nouvelle de lui et d’Adam. Il fallait aussi qu’elle dise adieu à ses amis à nouveau. Mon dieu, quand elle y pensait, il n’avait pas bronché quand elle avait déposé l’enveloppe et le billet sur la table. Il n’avait pas réagi, rien. Elle lui avait fait vraiment beaucoup de mal sans le vouloir vraiment. Elle s’en voulait énormément. Pour l’instant, le plus urgent, c’était d’aller à sa galerie pour gérer les derniers détails. Elle était plongée dans sa paperasse. Elle avait fermé la porte de son bureau car cela lui faisait mal au cœur de voir que les travaux avançaient et qu’elle ne verrait pas le chantier fini. Il ne restait qu’une signature en bas de la page. Elle ne put s’empêcher de verser une larme sur tout ce qu’elle avait perdu en même pas 24h : le seul amour de sa vie, sa galerie et peut-être même sa liberté si Frémont n’acceptait pas la transaction. On frappa à la porte : - Je suis au téléphone, mentit Samia avec une voix étranglée. Revenez plus tard. Mais on ouvrit quand même la porte, c’était Boher. - Qu’est-ce que tu fais là ? demanda Samia en essuyant le plus discrètement possible ses larmes. Mais il les avait remarquées. - Je voulais te parler, fit Boher en faisant le tour du bureau et en s’approchant d’elle. Il s’agenouilla près de son fauteuil, lui releva la tête : - Je crois que j’ai bien fait de venir, affirma Boher en essuyant ses larmes. J’arrive au bon moment. Il approcha ses lèvres des siennes et l’embrassa. Au lieu que ses larmes s’arrêtent, elles redoublèrent comme si quelque chose avait craqué en elle et que les vannes étaient lâchées. Il la prit dans ses bras pour la consoler. - Ça va aller maintenant, je te jure. On est deux, on est plus fort, on arrivera bien à trouver une solution. Elle réussit petit à petit à se calmer. - J’ai horreur que tu me vois dans cet état, confia Samia. - Et moi, j’adore parce que je peux en profiter et te serrer tout à loisir contre moi, plaisanta Boher. Je ne peux pas partir loin de toi, je t’aime trop. Je veux toujours me marier avec toi si tu es d’accord et passer le reste de ma vie avec toi que ce soit à Marseille, à Tombouctou ou à New-York. | |
| | | éléa01
Age : 43 Date d'inscription : 18/02/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Dim 2 Oct - 11:32 | |
| Boher à compris que son amour pour Samia est plus fort que tout et qu'il n'y a qu'ensemble qu'ils surmonteront leurs problèmes. J'adore la tournure que prennent les choses... Bravo Babou et merci pour cette jolie fic. | |
| | | BoherSamiaForever
Age : 39 Date d'inscription : 28/04/2011
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Dim 2 Oct - 17:03 | |
| Haaaaa ses suites sont superbe Babou !!! Boher a compris qu'il ne pouvait pas vivre sans elle , leur amour et si fort , ils sont besoin d'etre ensemble pour surmonter tout les problèmes .
La suite !!! n_n | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Lun 3 Oct - 18:30 | |
| Je ne peux pas partir loin de toi, je t’aime trop. Je veux toujours me marier avec toi si tu es d’accord et passer le reste de ma vie avec toi que ce soit à Marseille, à Tombouctou ou à New-York. Ch. 118 de chaudes retrouvailles Samia fit partir les différents artisans qui étaient en train de travailler sur le chantier sous de faux prétextes et referma la porte derrière eux. Ils se retrouvèrent enfin seuls au monde et fêtèrent dignement leurs retrouvailles. Ils auraient tout le temps demain pour penser à leur avenir. C’est l’odeur du café et des croissants chauds qui la réveilla : - alors après tous ces mois, je l’ai enfin droit à mon petit-déjeuner au lit, enfin au canapé plustôt, plaisanta Samia. - il n’est jamais trop tard, mon amour, répondit Boher en l’embrassant. - la journée ne pouvait pas mieux commencer, fit Samia. Il la laissa boire son café et déguster son croissant avant de lui parler : - Il faut qu’on réfléchisse comment on va partir sans éveiller les soupçons de Frémont, expliqua Boher. - Avant de réfléchir à ça, je voudrais parler à Malik, dit Samia. J’ai décidé de tout lui avouer avant de partir. Je veux garder le contact avec lui. J’en ai besoin. Je l’ai bien vu quand j’étais à Rome. - Je ne sais pas si c’est une bonne idée, hésita Boher. On ne sait pas comment il peut réagir. - Et, s’énerva Samia en se dressant sur le canapé. Tu crois qu’il pourrait me dénoncer. Tu te fous de moi, là. Il m’aime, c’est mon frère. - Calme-toi, la rassura Boher. Ce n’est pas ce que je voulais dire. Il est simplement marié avec la fille de Frémont. - Alors je lui raconterais aussi le chantage que me fait Frémont, ajouta Samia. - Je ne suis toujours pas convaincu, fit Boher. Mais c’est toi qui vois. Est-ce que tu veux que je t’accompagne ? - Non, je préfère le voir toute seule. Tu pourras lui dire au revoir après, continua Samia. - Je comprends, dit Boher tout en la serrant dans ses bras. Je suis fière de toi. Je sais que ça va être un moment difficile pour toi. - Ça c’est sûr parce que je vais le décevoir et voir ça dans son regard, j’en tremble d’avance, - Pendant ce temps, je retourne à l’appart faire nos bagages, proposa Boher. Elle s’habilla puis elle embrassa Boher pour qu’il lui donne plein de forces et d’encouragements par ce baiser. -j’y vais. Je t’appelle dès que je sors de son bureau, dit Samia. - je penserai très fort à toi. Ne t’énerve pas et garde ton calme surtout, conseilla Boher. - j’essayerais, mais dès qu’on se retrouve tous les deux, on ne peut jamais savoir, douta Samia. A tout à l’heure. | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Jeu 6 Oct - 0:45 | |
| Ch. 119 tête à tête tumultueux Arrivé devant la porte de son cabinet, Samia hésita de longues minutes. Il fallut bien qu’elle se résigne à ouvrir la porte. Elle inspira une longue fois puis elle se lança dans l’arène. - Samia, qu’est-ce que tu fais là ? J’ai oublié qu’on devait se voir, demanda Malik. - Non, j’avais besoin de te parler alors je suis venue tenter ma chance. Est-ce qu’on peut déjeuner ensemble, fit Samia en espérant une réponse positive. - Depuis la naissance de Tristan, j’ai levé un peu le pied alors je suis entièrement libre pour midi. Tu veux qu’on appelle Céline si elle veut nous rejoindre avec le bébé, proposa Malik. - En fait, je préfèrerais te voir seule à seul, le reprit Samia. - Tu as bien l’air sérieux tout à coup. Tu commencerais presque à me faire peur, observa Malik. - Alors à toutes les questions que tu poses à l’instant, je répondrais en vrac : je ne suis pas malade, je ne suis pas enceinte, avec Jean-Paul on compte toujours se marier, énuméra Samia. - Ça ne me rassure qu’à moitié, mais c’est déjà ça, répondit Malik. Où veux-tu aller ? - J’aurais bien aimé marcher un peu et puis après on verra, fit Samia. Alors comment va ton petit bout ? Il a dû changer depuis la dernière fois que je l’ai vu. Ils parlèrent ainsi du bébé, de Céline, de la galerie…jusqu’à ce qu’ils arrivent sur l’esplanade face à la mer. - Et si on s’asseyait, proposa Malik. - Oui, c’est une bonne idée, dit Samia. - Alors….fit Malik impatient. - Je ne sais pas par où commencer, c’est difficile pour moi car je sais que je vais te décevoir, confia Samia. Je…en fait, avant que je ne monte ma première boîte d’informatique, je vivotais de gauche à droite. Tu te faisais d’ailleurs beaucoup de soucis pour moi., à cause de mes fréquentations douteuses. Si tu savais comme je regrette de ne pas t’avoir écouté à l’époque. Mais maintenant, c’est trop tard, pour avoir des regrets. - Qu’est-ce qui s’est passé ? tu sais que tu peux tout me dire. Je ne te jugerais pas, la rassura Malik. - Si, parce que j’ai fait de très grosses erreurs, bêtises. Appelle ça comme tu veux. - Mais pourquoi, tu ne m’en parles que maintenant ? Qu’est-ce qui peut bien remonter à la surface autant d’années après, s’inquiéta Malik. - En fait, quelqu’un me fait chanter et je vais devoir m’enfuir de Marseille. Je ne voulais pas partir sans te revoir une dernière fois peut-être avant très longtemps. J’ai un téléphone prépayé qui ne peut être repéré où tu pourras m’appeler, voici le numéro. Apprends le par cœur et déchire la carte. - Samia. Ça ne peut pas être si grave. Je suis avocat. Si tu as commis l’irréparable, je t’aiderais, je ne te laisserais jamais tombé, affirma Malik. - Je n’ai tué personne, rassure-toi, mais je risque quand même de très longues années de prison, avoua Samia. - Qu’est-ce que tu as fait ? la questionna Malik à bout. - Je suis Arsène. C’est moi qui ai fait ses cambriolages pendant toutes ces années. Quelqu’un m’a démasqué et me fait chanter. - Je….balbutia Malik. Non, ce n’est pas vrai. Je rêve, là. Mais comment as-tu pu ? Je… | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Sam 8 Oct - 18:27 | |
| - Je….balbutia Malik. Non, ce n’est pas vrai. Je rêve, là. Mais comment as-tu pu ? Je… Ch. 120 en quelques mots douloureux - Je sais que je te déçois. J’en suis désolée. Avant de rencontrer Jean-Paul, je n’étais qu’une tête brûlée, qui ne voyait que le goût du risque, le désir de vengeance contre ces cols blancs et le plaisir de berner la police. J’étais presque fière qu’ils ne réussissent pas à m’arrêter alors je multipliais les cambriolages. Je marchais à l’adrénaline. Je crois que je n’avais que ça qui me faisait vibrer autant dans la vie. Mais ce n’était qu’une illusion, un vide que je comblais, confia Samia. Malik la laissait parler mais elle savait bien qu’il devait ruminer intérieurement. - Quand j’ai rencontré Jean-Paul, il a donné comme qui dirait un sens à ma vie. Enfin, je savais ce que voulais dire « être heureuse ». Me lever à ses côtés le matin, donnait un sens à ma vie. J’en rêvais même d’avoir un bébé avec lui et de me marier. Tu te rends compte. Moi, une célibataire endurcie qui ne voyait dans les mecs qu’un passe-temps amusant. Malik ne réagissait toujours pas alors Samia continua : - Et puis un jour le château de sable s’est écroulé. Les flics commençaient à s’approcher dangereusement de moi. J’ai tout avoué à Jean-Paul, il s’est senti trahi, utilisé, manipulé. C’était trop risqué pour moi mais aussi pour lui, alors je me suis enfuie. J’étais bien décidé à ne plus revenir à Marseille. Mais Jean-Paul a retrouvé ma trace à Rome. Il m’a rejointe. On a décidé de recommencer à zéro, de se marier et de revenir sur Marseille. Ce fut une erreur de plus. Les flics ne remontaient toujours pas à moi mais j’avais un mauvais pressentiment au fond de moi. Et j’avais bien raison. Si les flics abandonnèrent l’enquête sur Arsène, ton beau-père ne voulait toujours pas lâcher prise. Il a fait espionner Jean-Paul et est remonté jusqu’à moi. - Pourquoi est-ce qu’il en voulait autant à Arsène ? demanda Malik en intervenant pour la première fois. - Il n’a pas supporté que je lui vole son putain de Degas qu’il avait lui-même usurpé à quelqu’un en le faisant chanter. Maintenant c’est moi qu’il fait chanter. J’ai été obligé de recommencer les cambriolages sinon il nous dénonçait Jean-Paul et moi aux flics. Alors j’ai accepté sans rien dire à Jean-Paul. Ce fut ma deuxième erreur. Il l’a très mal pris ; il s’est de nouveau senti trahi. - Je le comprends aisément. Je ne sais pas quoi te dire. Je… c’est si confus dans ma tête. Je… Il se leva du banc, la regarda une dernière fois et partit sans se retourner. Elle resta de longues minutes sur ce banc, à pleurer toutes les larmes de son corps. Elle n’était pas faite pour aimer, elle ne méritait pas non plus d’être aimée. Elle faisait souffrir tous ceux qui s’approchaient d’elle. Elle entendit son portable vibrer, c’était sûrement Jean-Paul qui s’inquiétait. Elle ne décrocha pas. Elle n’était pas en état de lui répondre. Elle ne savait plus où elle en était. | |
| | | éléa01
Age : 43 Date d'inscription : 18/02/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Dim 9 Oct - 10:54 | |
| Pauvre Samia, elle semble anéantie par cette confrontation avec son frère. Mais vu le silence de Malik, je pense qu'il est tout autant anéanti... J'ai vraiment hâte de lire la suite, merci Babou ! | |
| | | BoherSamiaForever
Age : 39 Date d'inscription : 28/04/2011
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Dim 9 Oct - 19:09 | |
| La pauvre , en meme temps la reaction de son frere est normal et elle savait bien qu'il reagirait comme ca en apprenant la verité , mais elle devait le lui dire . La suite Babou !!! ^^ | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Lun 10 Oct - 1:23 | |
| Il se leva du banc, la regarda une dernière fois et partit sans se retourner. Elle resta de longues minutes sur ce banc, à pleurer toutes les larmes de son corps. Elle n’était pas faite pour aimer, elle ne méritait pas non plus d’être aimée. Elle faisait souffrir tous ceux qui s’approchaient d’elle. Elle entendit son portable vibrer, c’était sûrement Jean-Paul qui s’inquiétait. Elle ne décrocha pas. Elle n’était pas en état de lui répondre. Elle ne savait plus où elle en était. Ch. 121 deux propositions Elle rentra très tard, il faisait déjà nuit et Boher tournait depuis plusieurs heures comme un lion en cage. - J’étais sûre que tu étais partie et que tu ne reviendrais plus, se rassura Boher en l’embrassant. En plus, tu ne répondais pas sur ton portable. - Je suis désolée si je t’ai fait douter de moi. Ce n’était pas mon intention. Pourtant, je m’étais promis de ne plus te faire de mal, bafouilla Samia tout en pleurant. Boher lui prit la main, s’assit sur le canapé et elle sur ses genoux. Il la prit dans ses bras et la serra fort jusqu’à ce qu’elle réussisse à se calmer. - C’était si pénible que ça, commença Boher. - Encore plus que je ne croyais. Si tu avais vu toute la déception que je lui ai faite. Je n’osais plus le regarder en face. Il ne m’a pas parlé. Il n’a rien pu me dire, confia Samia. Je ne sais même pas ce qu’il pense de moi maintenant. Enfin, si je le sais trop bien, il me déteste sûrement pour tout ce que j’ai fait. - Mais, non. Il était sous le choc comme moi, quand je l’ai appris. Laisse-lui du temps. Tu vois bien, je suis bien revenu vers toi. Et je t’aime encore plus. - Moi aussi je t’aime et je te promets de te rendre heureux et de ne plus te faire souffrir. Jamais, affirma Samia. - Et si on se mariait, maintenant. On a tous les papiers. Je vais appeler la mairie, demain matin, pour voir quand est-ce qu’on peut le faire ? tu es d’accord, douta Boher. - Rien que nous deux, demanda Samia. - C’est toi qui vois, fit Boher. - On va repartir de zéro. On va se reconstruire une nouvelle vie sans regarder en arrière. On sera heureux, je te le jure, lui promit Samia. - J’ai préparé les valises. On peut partir quand on veut, fit Boher. - J’ai appelé Gianni. Il s’occupe de l’appart : il va l’aérer et remplir le frigo, fit Samia. Maintenant, il ne nous reste qu’à régler le cas Frémont. Je pense qu’il faut que je lui fasse croire que je rentre dans son jeu jusqu’à ce qu’on parte. Quitte à ce que je commette un vol si c’est nécessaire et même si je sais que tu ne veux pas en entendre parler. - Si ça peut empêcher Frémont de penser qu’on est sur le point de partir, alors oui, je pense que c’est une bonne idée. Et je te proposerais même mon aide, ajouta Boher, si tu veux. - Tu plaisantes, là. Qu’est-ce qui t’aies arrivé ? demanda inquiète Samia. - Je veux juste que Frémont nous lâche une bonne fois pour toutes et qu’on en soit débarrassé, répondit Boher. Pour qu’on reparte à zéro. - J’ai, à mon tour, une proposition à te faire, dit Samia en souriant. Je veux un enfant de toi, là, tout de suite. - Tu es sûre, fit Boher. - Plus que je ne le serais jamais, continua Samia. Je veux un petit gars qui ressemble à son père et qui me fasse tourner en bourrique comme toi mais que j’aurais envie de croquer et d’inonder de mon amour. Elle lui prit la main et l'entraîna vers leur chambre. | |
| | | BoherSamiaForever
Age : 39 Date d'inscription : 28/04/2011
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Lun 10 Oct - 19:12 | |
| Cette suite est touchante Babou ^^ La fin es magnifique , sa y est , sa va etre le moment le plus attendu pour les deux La suite !! ^^ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Lun 10 Oct - 22:56 | |
| Magnifique suite!!! La rencontre entre Samia et Malik était bouleversante et comme toujours Samia a trouvé réconfort dans les bras de Boher! L'amour entre Samia et Boher est profond et ils sont prêts à partir pour une nouvelle vie, de nouveaux projets. Samia fait une magnifique prioposition à Boher : un enfant! Que c'est beau!!! Vivement la suite Babou !!! Bravo hansenmuriel1975 |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Mer 12 Oct - 20:32 | |
| Ch. 122 La famille réunie Samia et Boher étaient allongés sur leur lit. La tête de Samia reposait contre le torse de Boher. - Je suis si triste de devoir partir, fit Samia. J’aurais tellement aimé que ça se passe autrement. - Je sais, ma puce, la consola Boher. Mais maintenant, il faut penser à nous et rien qu’à nous. On va laisser ce passé derrière nous avec tous ces problèmes. On va être heureux, je te promets. Je ferais tout pour ça. - Tu crois qu’il faut que je retourne voir Malik avant notre départ, demanda Samia. - Je crois que la balle est dans son camp, maintenant, dit Boher. Ce qu’on pourra faire, c’est lui écrire une lettre, si tu veux. Samia se tut. Les larmes commençaient à couler. Boher la serra encore plus fort, si c’était possible. Lui aussi était triste de quitter ses amis, sa ville d’adoption. Mais il ne fallait plus penser qu’à l’avenir. Sortir Samia des pattes de ce pourri de Frémont et se créer une nouvelle vie loin de Marseille. Ce silence pesant fut interrompu par la sonnette de la porte d’entrée. - Qui cela peut-il être d’aussi bonne heure ? s’inquiéta Samia. - Tu crois que c’est Frémont, lui demanda Boher. - Non, car tu n’es pas censé être au courant de son chantage. Il me tient comme ça, fit Samia. Boher s’habilla en vitesse et alla voir qui c’était. Quelle ne fut pas sa surprise de voir débarquer la famille Nassri au complet : monsieur, madame et le bébé. - Qu’est ce qu’il se passe ? Il y a un problème, demanda Boher. Samia, c’est ton frère et Céline avec Tristan. Samia accourut aussi vite qu’elle le put. - Qu’est-ce qui arrive ? fit Samia. - Malik m’a tout raconté, raconta Céline. Celui-ci restait en retrait derrière sa femme. - On ne peut pas laisser mon père agir comme ça, expliqua Céline. Je vais le prendre à son propre jeu. Samia regardait toujours Malik qui évitait son regard. - Qu’est-ce que tu comptes faire, demanda Boher à son amie. - Je vais le menacer de ne plus voir son petit-fils s’il ne laisse pas Samia tranquille, affirma Céline. - Non, ne te mêle pas à ça. C’est mon problème, pas le tien. Avec Jean-Paul, on a décidé de quitter Marseille pour qu’il nous laisse tranquille, c’est mieux comme ça. - Si, c’est mon problème, parce qu’on fait partie de la même famille, je te rappelle. Et que je ne peux pas supporter le mal qu’il a pu te faire à toi, à Jean-Paul et à Malik. Je ne lui pardonnerais jamais. - Non, c’est moi la coupable. Si je n’avais pas fait tous ces cambriolages, rien de tout ça ne serait arrivé, avoua Samia. Je m’en veux terriblement. Malik n’avait toujours pas ouvert la bouche. - Parle-moi. Dis-moi quelque chose, s’énerva soudain Samia contre son frère. - C’est encore trop difficile pour moi, dit simplement Malik. - Ça va lui passer. Pour l’instant, il est encore sous le choc, mais ça ne durera pas, rassura sa femme. - Je suis désolée de vous mêler à tout ça. Je ne veux pas que tu te fâches avec ton père à cause de moi, confia Samia. Laisse- tomber. Par contre, je suis contente que vous soyez venus comme ça, je peux vous dire au revoir avant de partir. J’aurais été trop triste de ne pas pouvoir le faire. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Mer 12 Oct - 22:37 | |
| Magnifique suite Babou, Samia et Boher sont triste de quitter leur ville et leurs amis. Mais ils veulent sauver leur amour avant tout. Samia veut revoir Malik avant son départ et Boher lui suggère d'écrire une lettre Mais Boher et Samia reçoivent une visite surprise : Céline et Malik Nassri accompagnés de leur fils. Céline a appris le chantage de son père (je ne le supporte pas ) et Céline veut les aider en leur proposant de menacer Frémont de ne plus voir son petit fils!!! Samia ne veut pas, mais Céline lui dit qu'elle est de sa famille et que la famille çà compte. Samia culpabilise. Malheureusement Céline et Samia ne trouvent pas de soutien de la part de Malik! J'espère qu'il va tout de même les aider Bravo Babou, continues comme çà hansenmuriel1975 |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Mer 12 Oct - 22:41 | |
| merci d'être passée. La fin se précise et est toute proche. | |
| | | éléa01
Age : 43 Date d'inscription : 18/02/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Mer 12 Oct - 23:49 | |
| Super suite Babou, effectivement, ça sent la fin de fic. J'espère que Céline pourra faire changer les plans de Samia et Boher en menaçant son père de ne plus voir son petit fils. Ça serait effectivement bien qu'ils puissent rester vivre à Marseille.
Bravo pour cette fic, j'adore ! | |
| | | babou0506
Age : 51 Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Dim 16 Oct - 11:41 | |
| Ch. 123 en plein préparatifs Une fois Céline et Malik partis avec leur bébé, Samia craqua à nouveau dans les bras de son fiancé. - Mais comment j’ai pu me mettre dans une telle situation ? Tu as vu comme il me déteste, s’inquiéta Samia. - Non, il ne te déteste pas. Il a juste du mal à comprendre et à accepter, fit Boher. - Et son regard vide fixé sur moi, ajouta Samia. - Arrête, tu te fais des films. C’est bien que tu aies pu lui dire au revoir, confia Boher. - Oui, mais je suis quand même triste de devoir les quitter, avoua Samia. - Si on parlait de notre mariage plutôt. J’ai une bonne nouvelle. J’ai réussi à trouver un créneau avec l’adjoint au maire. Il peut nous marier demain matin à 10h si tu es toujours d’accord, demanda Boher. - Bien sûr que je suis d’accord. il faut juste que j’aille chercher ma robe, passer chez le coiffeur, le fleuriste pour le bouquet, énuméra Samia. Il faut aussi récupérer les alliances chez le bijoutier. J’espère qu’il les aura reçues. - Calme-toi. L’essentiel, c’est toi et moi. Le reste c’est du superflu, fit Boher. - J’ai quand même envie d’être belle pour toi, observa Samia. - Même dans un sac de patates, tu serais éblouissante, avoua Boher. - Menteur. D’ailleurs, tu ne peux pas dormir, ici, ce soir. Il va te falloir trouver un autre endroit, fit Samia. - Arrête, tu plaisantes, là, ricana Boher. - Non, je suis sérieuse. Tu ne dois pas me voir en robe de mariée avant la cérémonie. Pendant que je m’occupe des préparatifs. De ton côté, occupe-toi de nos passeports et des billets. Pense aussi à ma moto ! ajouta Samia. - Tu sais qu’il faudra vite que tu la laisses, fit Boher. - Et pourquoi, jamais de la vie. Tu es jaloux, ma parole, plaisanta Samia. - Ce n’est pas le propos mais il est hors de question que tu montes sur ta moto quand tu seras enceinte, affirma Boher. - Peut-être. Mais après sa naissance, j’achèterais un side-car pour amener notre fils avec moi, fit Samia. - Ou notre fille, plaisanta Boher. Elle dit au revoir à Boher. Elle n’allait pas le revoir avant le lendemain. Elle courut toute la journée. Sa robe de mariée était prête. Elle avait même pris une heure pour aller chez l’esthéticienne. La fleuriste lui livrerait chez elle le bouquet de fleurs et la boutonnière assortie pour Boher. La coiffeuse passerait chez elle à 8h pour la coiffer. Elle avait même eu le temps de passer dans un magasin pour choisir un joli ensemble pour sa nuit de noces. C’est Jean-Paul qui récupérait les alliances. Elle était excitée de tous ces préparatifs. Même si d’un autre côté, elle était triste de ne pas partager ce bonheur avec sa famille et ses amis. Ces préparatifs avaient un autre avantage, c’est de ne pas lui laisser le temps de réfléchir à Frémont et à leur départ pour Rome. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Mini-jupe et talons noirs (terminée) Dim 16 Oct - 15:49 | |
| Bravo pour cette suite toujours aussi géniale Samia est triste de la réaction de Malik Mais Boher essaie de lui remonter le moral en lui annonçant qu'ils pourront se marier! Samia lui dit qu'elle a plein de chose à faire : chercher sa robe, les fleurs, se faire belle. Mais Boher la rassure en lui disant qu'ils se marient d'abord pour eux. Il s'en fiche du reste! Samia veut respecter la tradition : ne pas voir la mariée la veille du mariage. Boher boude Boher s'occupe lui de son côté des passeports et des billets pour le départ. Samia est heureuse de se marier qu'elle en oublie la menace de Frémont et son prochain départ. Mais elle regrette l'absence de sa fille notamment de son frère! Comment va se passer le mariage? Que va faire Frémont hansenmuriel1975 |
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