Le voleur de coeurs (Fini)

la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Merci pour vos com
Voici une petite suite !!


Chapitre 6 – Deux nouvelles têtes au commissariat du Mistral

Il était 8 heures tapante lorsque les brigadiers Fabienne Lucas et Zac Aldi furent accueillis par la commissaire Madigan sur le quai de la gare. Ils firent d’abord un détour afin de visiter leur nouveau logement et y déposer leurs valises.

Ensuite, la commissaire leur fit visité le commissariat du Mistral et leur présenta à leur nouveaux collègues. Pour ne pas éveillé les soupçons, la commissaire disait seulement que les deux brigadiers avait acceptés de soutenir le commissariat du mistral au vu de l’effectif réduit. Les deux agents n’étaient pas surpris car c’était aussi ce que leur avait dit le commissaire Bonnejoie.

Après s’être changés, Fabienne rejoignit Jeff à l’accueil qui était d’ailleurs très satisfait de la tournure des évènements. La petite blondinette lui plaisait beaucoup. Elle était dynamique, souriante. De plus, elle ne semblait aucunement déranger de se retrouver parachuter au commissariat du Mistral pour quelques temps.

De son côté, Le brigadier Aldi, s’était installé au bureau de Samia et exécutait les tâches demandées par la commissaire. Zac Aldi était un brillant agent, et de surcroit, très séduisant. Malheureusement il le savait et cela lui donnait une trop grande confiance en lui, il avait tendance à jouer à « monsieur » je sais tout.

Pour l’instant tout était nouveau pour lui, il était donc sur la retenue et faisait au mieux ce qu’on lui demandait.


Une suite demain soir !!!

Je veux la suite ma chérie !!! la suite la suite la suite

Bisous ah oui et la suite aussi !!

j'adore

vivement la suite

super vivement la suiteee

veux la suite viteeeeee
pourquoi ai'je l'impression que le zac et la fabienne,vont finir ememble?

C'est trop court !!! la suiteeeeeeeeeeeeeee !!!!

La suiteee les filles !

Super j'adore la suite

C'est vraiment super.

Vivement la suite, j'adore.

génial !

j'adore!!
vivement la suite!!

Merci pour vos coms !!
Voici une suite !!!

Pour information les chapitres 7, 8 et 9 se déroule dans le même laps de temps

Chapitre 7 – Première semaine d’infiltration (1ère partie)

Léo avait passé tout le dimanche après-midi à confectionner des gaufres. Il était satisfait du résultat. Finalement il n’était pas si mauvais pâtissier. D’ailleurs Samia qui avait accepter de faire la cobaye ne semblait pas malade, même si elle avait frôlée l’indigestion car elle s’était franchement régalée.

La jeune femme, elle, avait fouillé méthodiquement les moindres recoins de sa nouvelle demeure, elle y était allé toute en douceur afin qu’aucun bruits suspects n’indiquent ce qu’elle était entrain de faire.

Elle y découvrit 4 micros qui étaient placés à des endroits stratégiques. Il y en avait deux dans la pièce principale et 1 dans chaque chambre à coucher. Elle ignorait s’il y en avait d’autres. Mais une chose était sûre, ils étaient surveillés.

Ils avaient décidés de faire comme s’ils ne savaient rien. Ils se parleraient normalement, mais se donnaient des rendez-vous secrets dans la salle de bain.

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Ce matin-là Léo avait décidait de prendre de l’avance afin de s’installer au mieux sur la Grande place. Samia elle attendrait sagement la visite du commissaire Bonnejoie.

Ce dernier toujours à l’heure arriva à 11h00 précise et expliqua à Samia ce qu’ils attendaient d’elle.

Ils avaient récemment découvert que 2 des victimes avaient répondus à une petite annonce environ 3 semaines avant de se faire assassiner. Le processus avait était le même, la jeune femme avait appelé le numéro indiqué dans le journal, elle avait obtenu un rendez-vous mais le jeune homme ne s’était pas pointé au lieu-dit. Pour ne pas éveillé les soupçons, le trio s’était rendus incognito à l’endroit suspect. Mais n’avait rien remarqué d’anormal.

Comme c’était la seule piste tangible, ils avaient décidés d’aller dans ce sens.

Le commissaire tendit à Samia plusieurs journaux.

CB : Voici les 2 annonces auxquelles chacune des filles a répondu, et voici des journaux parus ce matin. Je vous laisse y jeter un œil et entourer celles qui vous paraissent suspectes. Je reviendrais dans l’après-midi avec la capitaine Lesco pour faire le point.

S: Si je suis votre raisonnement, supposons que je trouve des annonces louches, nous fixerons déjà les premiers entretiens tout à l’heure.

CB : C’est exactement ça.

Samia : Ok alors je me mets au travail.

A peine le commissaire partit que le portable de la belle sonna.

S : Oh Merde !

Elle reprit son souffle avant de répondre.

S : Allo !

M : Salut ma belle, je m’excuse de te déranger mais tu sais ici on s’inquiète pour toi, comment ça va ?

S : Salut Mélanie, et bien ce n’est pas le top, mais on fait aller, ma mère est toujours à l’hôpital mais les médecins ont dit qu’elle était sortie d’affaire.

M : Tu dois te sentir soulagée.

S : Oui en effet. Par contre je pense rester encore quelques temps en Algérie.

M : Oui c’est normal, mais si tu pouvais appeler de temps en temps ton amie Mélanie, pour donner de tes nouvelles

S avec humour : Je vais faire un effort. Et sinon à Marseille rien de nouveau ?

M : Non non tout va bien. Bon je te laisse Bisous

S : Merci pour ton appel, à bientôt, Bisous

L’appel avait bien évidemment était entendu par les 3 agents. Le commissaire Bonnejoie connaissait la couverture de Samia. Donc pour lui avait été ok, quand il avait entendu les mots « mère » et « Algérie »

Samia avait seulement sélectionné une annonce. La capitaine Lesco avait aussi fait l’exercice et en avait elle repéré deux. Après une longue discussion, elles gardèrent l’annonce qu’elles avaient en commun. Samia appela le numéro indiqué, elle discuta un moment avec l’individu et question puis raccrocha. A première vue rien ne semblait suspect. Quoiqu’il en soit, le premier rendez-vous était fixé. La rencontre aura lieu le mercredi soir.

Toutefois, dès le lendemain, Samia dut poursuivre sa quête de « l’homme parfait » ou plutôt du très convoité « Voleur de cœurs » aux travers de lignes, de mots. La journée s’annonçait comme une photocopie de la veille.

La jeune femme ne se trompait pas, à la différence près que 2 nouveaux rendez-vous furent fixés.

Mais c’est surtout le dernier appel qui troublait la belle, elle était pourtant persuadée que le commissaire Bonnejoie faisait fausse route avec ses petites annonces…. Seulement voilà, elle avait rendez-vous un vendredi à 16h dans un bar. Jusque là rien d’inquiétant, sauf s’il on ajoute que 2 des victimes ont eu rendez-vous à la même heure, le même jour de la semaine et dans le même lieu, environ 3 semaines avant d’avoir été retrouvées ensanglanter.

La jeune femme se persuadait que tout cela n’était que coïncidence et hasard. Mais elle sentait la peur la gagner.

Le mercredi matin fut une journée de préparation pour toute la petite équipe d’inspecteurs. A leur avis l’entretien du soir serait une sorte de répétition générale. Pour le commissaire Bonnejoie Samia ne risquait rien. Une fois n’est pas coutume, il avait eu raison.

Lorsque Samia vit arriver son prétendant, elle comprit qu’elle n’avait pas rendez-vous avec le prince charmant et que ce dernier avait dans l’annonce légèrement modifié la réalité, et le tout à son avantage bien entendu. Elle n’avait encore jamais rencontré d’homme aussi repoussant. Par politesse, la jeune gardienne de la paix entama une conversation qui dura près d’une heure.

Ensuite elle mit fin à son supplice en prétextant une trop grande divergence d’opinions et de centres d’intérêts.

Samia arriva à l’appartement exténuée. Depuis le début de la semaine elle n’avait quasiment pas vu Léo, à croire que le commissaire Bonnejoie avait tout fait pour qu’ils se croisent le moins possible. D’ailleurs le capitaine dormait déjà. Mais Samia allait y remédier. Le lendemain elle avait quartier libre.

Le lendemain lorsque la jeune femme se réveilla, il était 11h00 passée, elle qui souhaitait passer un peu de temps avec son colocataire…
Une demi-heure plus tard et une bonne douche, Samia découvrit :

Chère Samira,

Je ne sais ni comment tu vas, ni où en est l’enquête…

Si tu as un peu de temps dans ton planning de ministre pour venir saluer ton oncle Benjamin.

Il t’offrira une gaufre avec plaisir.

Bonne journée

PS : Cette enquête me gonfle !!! Je déteste être pris pour un gugus !

Aujourd’hui Samia allait se laisser guider par son intuition.

En buvant son café, elle prit une carte et y dessina l’octogone. Puis relia les points. Elle en était certaine, le centre de la forme lui donnerait des réponses.

Elle saisit alors une autre carte et fit une croix à l’endroit précis qu’indiquait le premier plan de ville. Puis elle sortit du pas décidée « Aujourd’hui se sera visite d’Avignon ».

Elle arpentait les rues, flânait, regarder tantôt les passants, tantôt les vitrines.

Puis elle arriva dans cette rue, elle la longea. Puis elle s’installa sur un banc, elle y était…


Suite demain soir !!!!

j'adore

vivement la suite

rooor reviens ici toute suite
la suite la suite la suiteee

J'adore j'ai hate de lire la suite

Rooo revenez ici tout de suite les filles, là!! Et ben je crois qu'on peut vous inclure dans le groupe des sadiques hein!!
Comment pouvez-vous laisser cette phrase en suspent comme sa ??
En plus faut qu'on attende jusqu'a demain soir!!
Non non non sa va pas du tout sa!! Revenez ci et postez la suite non de diou!!!!

Bisous

Super j'adore la suite

Cette fic est extra est très mystérieuse.

Vivement la suite, j'adore.

hate de lire la suite
et dites les filles, pas trop de bobo a samia, hein?

Mais quel mystère !!! Et toujours pas de chouchou à l'horizon , vous nous faites un remake de Plus belle la vie en ce moment ou quoi ? lol
Faut qu'il revienne .
En tous cas vraiment prenante cette histoire !! Vivement ce soir !!!

Revenez ici les filles nan mais
La suite !

j'adore!!
vivement la suite!!

Merci pour vos coms !!
Voici la suite !!

Chapitre 7 – Première semaine d’infiltration suite (2ème partie)

Elle s’installa sur un banc, elle y était….

…et lui aussi.

Samia ne voyait pas l’œil qui l’observait, pourtant il était tout proche.

La jeune femme sortit la carte de son sac et la regarda attentivement, elle était si absorbée dans ses pensées qu’elle n’entendit pas le vieil homme qui s’approchait et perçu à peine ce qu’il disait :

VH : Bonjour mademoiselle, vous semblez perdue, je peux peut-être vous aider ? Je connais ce quartier comme ma poche.

S : Bonjour Monsieur,

Et en lui pointant un emplacement sur la carte

S : Je suis bien ici ?

VH : sortit ses lunettes : Oui c’est exact.

S : J’étais certaine d’y trouver un immeuble, et me voici assis sur un banc.

VH : Il fallait venir 10 ans plus tôt ? Vous cherchez quelqu’un en particulier ?

Samia sans vraiment répondre à la dernière interrogation du vieillard : A bon ? Seulement 10 ans ? Cet endroit semble avoir toujours existé.

Le vieux monsieur lui sourit. Samia le lui rendit. Elle sentait qu’il savait des choses, qu’il voulait parler mais qu’il se retenait.

S : Donc vous avez toujours habité dans le quartier ?

VH : Oui, j’ai même longtemps logé ici, à l’endroit même où nous nous trouvons. D’ailleurs je viens m’assoir tous les jours sur ce banc et je me recueille.

S : Venez vous assoir, je veux bien vous faire une place, ça ne vous dérange pas si je me recueille avec vous ?

Il s’installa, il se sentait bien en compagnie de la jeune femme et sans que Samia ne pose la moindre question, il commença.

J’étais le fils de la gardienne de l’immeuble, j’avais 20 ans lorsque ma mère est décédée d’un cancer. Et j’ai repris le flambeau, je suis devenu à mon tour le gardien de cet immeuble. J’y suis resté 50 ans. J’y serais certainement encore s’il n’y avait pas eu ce tragique accident.

Le jour de mon 70ème anniversaire, tous les habitants de l’immeuble m’avaient préparés une fête. Je n’avais plus de famille vous savez, Ils étaient ma famille. On était donc tous au restaurant, tous sauf la jeune femme du 3ème qui vivait seule avec son fils de 16 ans, Alfredo. Je l’aimait bien ce gamin, c'est que je l'ai vu grandir ce petit ! Nous avions une belle complicité tous les 2, il m’appelait papy.

Le vieil homme s’arrêta, un instant, reprit son souffle.

Si vous saviez comme vous lui ressemblait…

Puis s’arrêta à nouveau et en regardant Samia

Vous savez c’est la première fois que je raconte cette histoire à quel qu'un. Je crois que ça m’apaise d’en parler...

Nous étions donc tous à cette fête en mon honneur, lorsque le bâtiment pris feu. Nous ne connaîtrons sans doute jamais ce qui c’est véritablement passé ce soir-là. Mais ce que nous trouvons à notre retour fut que tristesse et désolation.

Les pompiers étaient intervenus le plus rapidement possible, mais tout avait flambé très vite. Ils ont retrouvés le corps de la jeune femme brûlées, mais on arrivait qu’en même à voir qu’elle avait été victime de boucherie, son cœur lui avait été volée !!!

Samia osa l’interrompre pour la première fois.

S : Et son fils ?

VH : On ne sait pas, personne ne sait. La police en a conclut qu’il avait brûlait totalement. Mais pour moi cette théorie ne tient pas. Vous savez je suis de la vieille école, je ne crois que ce que je vois.

S : Vous pensez qu’il est en vie ?

VH : Mon intuition me dit que oui.

S : Vous croyait que c’est la même personne qui sévit à nouveau dans la ville ?

VH : Vous parlez du « voleur de cœurs » ?

S : Oui

VH : Je ne sais pas, je ne veux pas rentrer dans cette histoire, mais à mon avis la police a bâclé l'enquête.

Après un instant de silence…

S : Au fait, je ne me suis pas présentée, je m’appelle Samira. Pour vous remercier de m’avoir fait confiance et compté votre histoire, je vous propose qu’on aille manger une gauffre. Mon oncle « Ben » confectionne les meilleures gaufres du monde ! Venez !

VH : Bien volontiers Samira.

Pendant tout ce temps, l’œil avait tout vu. D’ailleurs il veillait jours et nuits ! Combien de fois avait il vu le commissaire Bonnejoie et toute sa clique fouillait les lieux sans jamais rien trouver.

Léo fit donc la connaissance du vieil homme, mais connut toute l’histoire seulement le soir, grâce aux confidences nocturnes dans la salle de bain. Samia lui raconta également son début de semaine et les fameuses petites annonces.

Ils étaient arrivés à la même conclusion. Le voleur de cœurs devait être Alfredo. Il reproduisait ce que sa mère avait vécu dix ans plus tôt. Et il ne laissait rien au hasard en choisissant des femmes qui lui rappelaient celle qui l’avait trop vite quitté !

Léo revivait, il se retrouvait enfin avec des informations permettant d’avancer. Comme il ne faisait pas du tout confiance aux qualités d’enquêteurs du Commissaire Bonnejoie, il allait devoir agir seul et vite, malgré le peu de temps libre qu’il avait à disposition.

Pour Samia, la fin de semaine se déroula selon les ordres du commissaire. Ils avaient écarté la piste du second rendez-vous et l’avez annulé.

On était vendredi et l’horloge indiquait 16h00. Samia était particulièrement calme au grand étonnement de ses 3 coéquipiers qui assit à une table au fond, observait discrètement la jeune femme.

Ils ignoraient que pour elle l’annonceur n’était pas le tueur mais un homme timide qui préférait observer les jolies femmes plutôt que de les affronter dans un face à face. Samia faisait preuve d’une grand lucidité, après avoir échangée de nombreux regards avec le barmaid, elle comprit à la façon dont les joues du jeune homme rôtissaient que c’était lui le poseur de lapins.

Les policiers n’eurent pas beaucoup besoin d’insister pour qu’il avoue. Alors qu’il était certainement innocent dans cette affaire, il restait le suspect n°1 aux yeux du commissaire. C’est donc avec fierté que ce dernier le menotta et l’embarqua.

Du bout des lèvres il remercia Samia pour sa perspicacité. Mais à l’intérieur il rageait de n’avoir pas trouvé la solution tout seul.

Pour Samia, l’arrestation permettrait simplement de calmer les esprits jusqu’au prochain meurtre qui selon les rituels du tueur, aurait lieu le mercredi suivant.


Suite euh peut etre demain soir !!!

j'adore

vivement la suite

c'est passionnant
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