bon il est l'heure de secher ses larmes avec un nouveau chapitre ^^
merci de vos coms
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4 ans c’était écoulé depuis la sortie de Samia de l’hôpital le couple c’était installer dans une petite maison plein pied avec un grand jardin dans lequel la petite Maëllys avait fait ses premiers pas hésitant la aussi ou elle c’était fait sa première bosse au front sur les bordures de fleurs de sa mère.
Tout les week-end ils se faisait des soirée entre couple d’amis avec Léo et Agathe et leurs petit Damien qui était devenu l’amoureux de Maëllys ainsi qu’avec Rudy Estelle et leur petite Chloé qui fêtait ses six mois.
Au début la petite fille avait demander une petite sœur comme le bébé mais ils lui avait expliquer avec ses mots que même si ils s’aimais elle ne pourrait plus jamais être enceinte.
Léo était passer comissaire pendant que Boher était lui passer capitaine de même que Samia le commissariat n’avait en aucun cas cesser de trembler sous leurs disputes.
Le mariage avait été repousser a plus tard et devait être célébré le lendemain.
La veille au soir ils avaient été invité a un fête pour fêter leurs mariage du lendemain leur fille étant chez sa grand mère.
Samia se battait depuis dix bonne minutes avec sa robe et se décida enfin a appeler son compagnon au secours
« Je t’en prie, on va encore être en retard, ils vont se poser des tas de questions. Nous poser des tas de questions … »
« J’m’en fous, princesse. »
Il fait glisser délicatement la robe le long de ses épaules, puis de ses jambes. Le tissu descend dans un froufrou agréable. Samia ferme les yeux, ne bouge pas.
Boher se colle contre elle, l’enveloppe de sa chaleur enivrante. Sans la toucher, il souffle le long de son cou, jusque sur sa nuque. Samia se mort la lèvre pour ne pas réagir.
Il ne faut pas. Ne pas bouger. Il va forcément se lasser. Il déteste arriver en retard.
-Ne lutte pas, Mia. Tu sais que tu ne résisteras pas. Cède maintenant, on sera moins en retard, conclut-il sur un ton très amusé.
-Non, pas cette fois JP. Tu ne m’auras pas si facilement, capitaine !
Elle lutte, elle lutte, trop orgueilleuse pour céder si rapidement. Il va l’avoir, indéniablement, comme d’habitude. Mais il va devoir faire des efforts pour ça. C’est qu’elle a du caractère, cette petite dame. Et c’est ce qui plait à Boher. Une femme qui lui résiste, qui le remette à sa place lorsque c’est nécessaire, qui lui fixe des limites.
-Tu ne tiendras pas cinq minutes, princesse. Il effleure sa colonne vertébrale de ses doigts froids en une légère caresse, ce qui fait frissonner Samia. Mais elle ne bouge toujours pas. Elle sourit, elle sent en elle le désir qui grimpe. Cette sensation si prenante, si impérieuse. Pas de doute, Boher sait parfaitement ce qu’il fait. Il la connait si bien…
Ses mains remontent le long de ses flancs, toujours l’effleurant sans jamais la caresser véritablement. Il masse sa nuque, remonte ses cheveux pour déposer de délicats baisers sur ses épaules et son cou. Ses mains se posent sur les hanches de la jeune femme alors qu’il s’empare de sa gorge. Samia gémit alors qu’il mordille gentiment le lobe d’une oreille. Il a croisé les bras autour du corps de sa compagne, ses mains pétrissent ses hanches fiévreusement.
-JP … murmure-t-elle.
-Tu abandonnes ? Souffle-t-il dans son oreille
Elle se retourne et plonge ses prunelles chocolat dans les billes d’acier du capitaine. Elle peut lire son air satisfait, ce petit sourire en coin… cette marque de victoire.
-Non. Déclare-t-elle simplement, par pur esprit de contradiction.
Un éclair passe dans les yeux de JP. Il sait qu’elle n’est pas loin de se laisser aller. Il se recule légèrement, sans la quitter des yeux. Et commence à se déshabiller … lentement, sensuellement. D’abord la chemise, bouton après bouton. Il dévoile finalement une épaule, l’autre, puis son torse finement sculpté par la musculation. Samia déglutit. Foutues hormones …
Boher peut lire le désir dans les yeux de sa futur femme. Il déboucle sa ceinture, défait un par un les boutons de son pantalon de soirée noir, puis le fait glisser jusqu’à ses chevilles. Au moment où il s’apprête à ôter son boxer, deux petites mains se superposent aux siennes.
Samia ne peut pas résister plus longtemps. Elle lève la tête et embrasse boher. Un baiser furieux, passionné, qui les transporte sur une planète qu’ils visitent assez souvent depuis quelques années. A bout de souffle, elle détache ses lèvres de celles de son homme et lui offre une moue attendrissante.
-Tu es fier de toi ? J’ai envie moi maintenant … se plaint-elle.
-Ca peut toujours s’arranger Mia … répond Boher avant de l’embrasser encore plus passionnément. Il sait qu’il ne pourra plus se passer de ses lèvres, de son goût, de son odeur, alors il en profite. Ils sont dépendants, amoureux, . Deux cœurs, un destin …
partie de carte-Tu sais je … je ne crois pas que je pourrai un jour me passer de ça. Murmure-t-il, toujours allongé sur Samia. Elle l’embrasse délicatement.
-J’espère bien que tu ne pourras pas … parce que moi non plus …
Boher rit. D’un vrai rire, que Samia n’entend que lorsqu’il est avec elle. Puis il cherche à se relever, pour la soulager de son poids mais elle refuse de desserrer ses jambes, toujours arrimée à lui.
-Je croyais que tu ne voulais pas être en retard … lui susurre-t-il, moqueur.
-Je ne voulais pas … mais c’est un peu tard maintenant, n’est-ce pas ? Alors reste là encore une minute, fais-moi un câlin.