Coucou!
Bon j'étais sur le point d'aller me coucher mais j'ai pas resister à écrire la suite...
Je vous promet pas qu'elle soit très cohérente vu que j'ai du mal à gerder les yeux ouverts...lol
Enfin, voili la suite...La fin est proche...Peut-être demain. S'il vous plaît ranger les poelle et sortez vos mouchoirs...
Bisous, Boh'nui et a demin!
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Chapitre 13Il ne savait pas combien de temps il était resté inconscient mais lorsque Boher repris connaissance, il n’était plus dans la voiture. L’endroit où il se trouvait était très sombre et il avait encore un peu de mal à distinguer les choses. Il se massa le crâne encore douloureux et regarda autour de lui Il se trouvait dans une sorte de cellule, pas de fenêtre, pas de lumière, seulement une fine lueur qui s’échappait de sous la porte verrouillée. Soudain, ses yeux commençant à s’adapter à l’obscurité, il aperçu au fond de la pièce une forme étendue au sol, inerte. Il s’approcha, son cœur se serra lorsqu’il reconnue la jeune femme.
Boher : Samia !
Il se précipita vers elle et s’agenouilla vers le corps inconscient. Il place ses doigts sur la gorge de Samia. Un profond soulagement l’envahit lorsqu’il sentit son pouls. Des images de sa première rencontre avec elle, dans la voiture accidentée, lui revint en tête. Il aurait tellement voulu revenir en arrière. Comment tout avait pu basculer ainsi.
Boher : Samia ! Samia ! Répond moi ! Je t’en supplie, réveille toi !
Il la prit dans ces bras et la serra fort comme si l’amour qu’il ressentait pour elle pouvait la ramener à elle.
-Samia…Samia, réveille toi, j’ai besoin de toi….
Il sentit soudain entre ses bras, le corps de Samia remuer. Elle ouvrit les yeux…
Samia : Boh…Boher…Wilson...Il faut se méfier de lui…Il…
Boher : Oui je sais….Je sais tout à présent.
Elle se dégagea de ses bras doucement pour lui faire face.
Samia : C’est...c’est à cause de moi tout ça…Jamais je n’aurais du te rechercher…Je les ai mis sur ta trace, je t’ai mis en danger ainsi que Théo…
Des larmes ruisselaient sur ses joues, elle baissa la tête. Elle reprit :
-Je m’en veux tellement…
Boher releva doucement le visage de Samia et essuya ses larmes.
Boher : Non, tout est de ma faute, j’aurais du être plus méfiant. Je n’aurais pas du te prendre chez moi…jamais je ne
l’aurais fait si je n’étais pas…
Il hésita mais repris :
-Tombé amoureux de toi.
Il appuya son front contre celui de la femme qu’il aimait.
Samia : Comment allons nous faire maintenant, Boher, j’ai peur…Comment allons nous sortir de là…J’ai tellement
peur pour notre petit Théo.
«
Notre petit Théo, a-t-elle dit…oui, s’ils s’en sortaient vivant, il en était sûr, ils pourraient être heureux tous les trois. »
Boher : Ne t’en fait pas Samia…Il nous reste une dernière chance….
Avant de partir de la maison, Boher avait eu la présence d’esprit de prévenir sa belle sœur Aline, qu’ils quittaient la maison avec un dénommé agent Wilson. Et que si elle n’avait pas de nouvelles, qu’elle prévienne les autorités.
Samia : Oui…Mais comment la police nous retrouvera t-elle ?
Boher : Tu sais, j’ai failli devenir flic…^^. J’ai glissé à l’intérieur de la peluche de Théo un émetteur. Wilson et ses acolytes ne penserons jamais à regarder à l’intérieur du doudou d’un môme.Ce n'est plus qu'une question de temps avant que la police nous retrouve.
Samia réussi a esquivé un sourire.
Samia : Tu aurais été un excellent flic oui…j’en suis sûr.
Boher : oh Samia, tu ne peux pas savoir ce que je donnerais pour revenir en arrière, écouter mes supérieurs et ne pas m’être mêlé de cette affaire de trafic de drogue !
Je serais surement flic…Peut-être à Marseille vu que c’est là que j’avais demandé ma mutation…Qui sait, on se serait peut-être rencontrés….
Samia lui caressa tendrement la joue.
Samia : Oui…Je donnerais tout aussi pour que ce soit ainsi.
Ils se serrèrent l’un contre l’autre. Il n’y avait plus qu’à attendre. Attendre les renforts en espérant que Théo aille bien et qu’ils se retrouveraient bientôt. Ils ne disaient rien et profitaient seulement de leur contact. Soudain une question qu’il ne s’était pas posé jusqu’à maintenant lui vint en tête.
Boher : Il y a quelque chose qui m’intrigue…Si tu n’étais pas avec Wilson, chargé de me retrouver…Pourquoi me cherchais-tu ?
Samia sentit l’angoisse monté. Elle se raidit mais Boher ne deserra pas son étreinte.
Samia : Je…en fait…Je suis tombée sur l’article de ta mort dans les archive de mon commissariat et…ton histoire m’a touchée, j’ai fait mon enquête et ca ma paru tout de suite louche, je n’ai pas cru à ta mort, j’ai donc décidé de te rechercher, mais j’ignorais que Wilson était un ripou !
«
Ca va ton histoire tient debout ma vielle… »Pensa t-elle.
Boher : Ma mort t’a touchée ?enfin ma fausse mort…
Samia : en fait…Tu me fais beaucoup penser à quelqu’un qui compte énormément…enfin qui comptait énormément pour moi…C’était mon supérieur et…à l’époque je refoulais les sentiments…Il a disparu de ma vie un jour et….ma vie a perdu tout son sens…Mais lorsque je te regarde, tout est clair, j’ai retrouvé goût à la vie à tes côtés et je veux plus que tu m’abandonne…jamais plus…Promet le moi !
Elle se jeta dans ses bras et il la serra très fort. Il la sentait si fragile à ce moment là. Mais il était tellement heureux, heureux de savoir qu’elle l’aimait en retour.
Boher : Je te le promets…Je te le promets mon amour.
Ils se tournèrent l’un vers l’autre, le regard rempli de tout l’amour et la passion qu’ils ressentaient l’un pour l’autre. Leur visage s’approchèrent lentement jusqu’à ce que leurs lèvres se frôlent…Ils s’apprêtaient à confondre leur passion lorsque la porte de leur cellule s’ouvrit à la volée.
Un groupe d’homme s’introduit dans la pièce. A part Wilson, Boher et Samia ne les connaissait pas.
Le groupe se dissipa et entoura bientôt le couple. Enfin, un dernier homme pénétra dans la pièce. Samia ressenti soudain un profond malaise. Cet homme était assez âgé mais de part sa manière de marcher et les regards qu’ils leur lancèrent, elle comprit tout de suite que s’était un homme dangereux, certainement celui qui dirigeait les opérations.
Boher le reconnu tout de suite. Certes il avait vieilli mais il n’aurait jamais pu oublier ce regard de fou et ce sourire sadique qu’il lui adressait à cet instant. Oui après 14 ans de fuite, Boher avait à nouveau devant lui, l’homme qui avait tué ce jeune dealer, celui à la tête du trafic de drogue, l’homme qui avait brisé sa vie.
Boher ne se démonta pas et soutenu le regard de son bourreau.
Boher : Où est mon fils ?! Je veux le voir ! Si vous avez touché à un seul de ses cheveux, je vous jure que…
-Toujours aussi arrogant à ce que je vois Mr Boher, ou ‘’Jack’’ je veux dire…Je vous ai enfin retrouvé et vous ne m’échapperez plus.
Samia ne pu se retenir une minute de plus.
Samia : Vous êtes un grand malade ! Laissez nous partir…Boher n’a pourtant jamais essayé de vous arrêter durant toutes ces années…laissez nous vivre en paix.
L’homme se retourna vers la jeune femme qui avait osé l’insulter. Il éclata de rire.
-Vous feriez mieux de retenir votre femme Boher ! Où elle risque de mourir plutôt que prévu !
Boher : Vous ne la toucherez pas ! Vous devrez me tuer d’abord !
-Si c’est ce que vous voulez…
Il se retourna vers ses hommes de mains :
-Tuez-le !
Samia : Noooooon !! Je vous en pris ! Hurla t-elle, ne pouvant retenir ses sanglots. Elle lança un regard désespéré vers Wilson qui se tenait à l’écart.
Samia : Wilson ! Je t’en pris…Fais quelque choses…Si tu as eu le moindre sentiment pour moi, je t’en supplie, ne nous laisse pas mourir !
Wilson : Je…je suis désolé…Murmura t-il…Je n’ai pas le choix….
Le vieil homme semblait s’impatienté, agacé par ces jérémiades :
-Bon, qu’on en finisse, qu’on les tue tous les deux…
Ses hommes s’emparèrent de Samia puis de Boher et les forcèrent à s’agenouiller côte à côte.
-les mains derrières la tête ! lança un des hommes
Le vieil homme se baissa à la auteur de Boher :
-Si t’as une dernière volonté…Dit-il avant de lancer un rire sadique.
Samia : Vous me dégouté ! Cria t-elle en lui crachant à la figure.
Le vieil homme s’essaya le visage, lança un dernier regard méprisant sur les condamnés et s’éloigna. Il fit un geste de la main, et Samia et Boher sentirent le contact froid du canon de revolver derrière la nuque.
Boher pris la main de Samia et la serra très fort.
Boher : Je t’aime…Dit-il dans un souffle.
Samia : Je t’aime aussi…
Une larme coula sur sa joue. Elle ferma les yeux.
Le coup partit.
A suivre...