coucou
voilou l'avant dernier chapitre bohne lecture et merci de vos coms et surtout merci a ma caline avec qui on a bosser la journee complete d hier sur cette fics.
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Les collègues étaient partis arrêter le chef pour tentative de meurtre sur Mr Nassri. A son arrivée Boher avait voulu se jeter sur lui mais encore une fois Jeff avait été présent pour l'en empêcher. Boher était parti dans son bureau et sa colère étant encore plus forte par la mort de Samia il retourna tout sur son bureau.
Après les dégâts faits, la colère redescendu, et les larmes taris, il se dirigea vers les vestiaires pour se changer et rentrer chez lui, seul, encore plus seul qu'avant.
En ouvrant son casier, une photo tomba à terre. Il l'a ramassa. C'était une photo de Samia et lui à l'époque du faux mariage. Il caressa le visage de la femme qui avait fait de lui ce qu'il était aujourd'hui, les larmes de nouveau commencèrent à couler
"Samia, si tu savais que le jour où tu m'a dit de faire le premier pas, dans cet endroit a été le plus beau de ma vie"
Il continua de caresser le visage "j'aurais tellement voulu que tu saches que j'ai vraiment changé"
Il ferma les yeux et entendit "dis le moi alors"
Il ouvrit les yeux et se retourna vivement et la vit, devant lui le fixant intensément. Elle ferma la porte et tourna le verrou
"Tu...tu..." il n'arrivait pas à parler l'émotion le submergeant
"Oui" dit-elle simplement
"Comment ? Pourquoi m'avoir fait croire que..."
"Léo m'a demandé"
"C'est entre toi et moi Samia. Léo n'a rien à voir. Si tu savais à quel point j'ai cru mourir en te voyant sur le brancard"
"Et moi tu crois que cela ne m'a rien fait de te voir redevenir celui que je détestais au début"
"J'étais obligé"
"Moi aussi"
Ils se fixèrent et ne dire aucun mot.
Boher s'approcha d'elle et délicatement commença à caresser doucement son bras de haut en bas. Samia ressenti des milliers de papillons lui envahir le cœur.
"Quand je t'ai vu allongé mon cœur s'est fissuré en morceaux. Je savais que jamais je n'arriverais à me relever de t'avoir perdu."
"Je sais" elle chuchota
Il leva les yeux et la fixa intensément.
"Sans toi je ne suis plus rien Samia. Tu es ma vie, et crois moi d'avoir dû redevenir cet homme que tu haïssais tant il y a trois ans, de savoir que je te perdrais alors que je venais enfin de te trouver m'a été difficile à faire. Mais je devais te prouver que j'avais vraiment changé. Que grâce à toi je suis l'homme sur qui tu peux compter. Que tu peux me présenter tes parents, ou tes amis algériens, je ne les repousserais pas, je ne leur dirais aucune insulte. Je suis devenu un autre homme et cela je te le dois"
"Je le sais" dit elle en lui caressant le visage "tu as sauvé mon père alors que tu aurais pu te faire tuer. Tu m'a recherché jour et nuit." les larmes coulaient sur ses joues.
Elle savait que c'était maintenant qu'elle devait tout lui avouer
"Durant cette semaine, enfermé dans cette pièce je n'ai pensé qu'à toi. Au temps que j'avais perdu à cause de mes préjugés, à cause de mon caractère. A tes baisers, même si on en a pas beaucoup échangés. A tes mains sur moi, ton regard si envoutant, à ton sourire qui me fait me sentir bien tout de suite."
"Samia" dit il doucement
"Laisse-moi parler" elle caressa doucement ses lèvres avec son pouce "Tu es tout pour moi Jean-Paul Boher. Je ne vois aucuns jours de ma vie loin de toi. Si je devais te perdre je crois que j'en mourrais"
"Moi aussi, sans toi je ne suis rien" il prit la paume de sa main et lui déposa un baiser au milieu
"Je t'aime" fit la jeune femme
Il arrêta ses actions et la regarda avec ses yeux lumineux. Il ne se serait jamais attendu à ce que cela soit elle qui dise ces premiers mots. Son cœur se gonfla d'amour pour elle, il lui sourit
"Je t'aime aussi"
Il approcha son visage du sien. Ils posèrent leur front l'un contre l'autre
"Plus jamais je ne douterais de toi" elle chuchota
"Je sais" dit-il avant de déposer ses lèvres sur les siennes délicatement. Elle accrocha ses bras autour de son cou et approfondi leur baiser. Ils le savaient à présent, ils avaient dépassés toute leur différence. Leur passé étaient à présent derrière eux. Plus rien ne pourrait les séparer.
Il prit le visage de la jeune femme entre ses mains la plaquant contre les vestiaires derrière sa compagne. Les mains de cette dernière glissèrent du dos jusqu’aux fesses musclées de son amant. Deux fesses menues, mais à l'air incroyablement fermes, qu'elle saisit à deux mains provoquant un long frisson de désir chez lui.
chaud chaud les vestiaires