une envie irrésistible (terminée)

Super cette suite !! Hate d'en lire une autre

Mais dis lui Samia ! Ouvre lui ton coeur et tu verras !

Merci Babou ! J'adore ta fic

Dans quelle situation, s’était-elle encore mise, elle allait faire un bébé avec un homme dont elle était amoureuse mais qui ne l’aimait pas en retour.
Dans sa voiture, Boher réfléchit lui aussi à la situation. Il regrettait presque déjà d’avoir proposé ça à Samia. Qu’est-ce qui lui avait pris ? Jamais elle ne l’aimerait autant qu’il l’aimait. Oui, il était fou amoureux d’elle.


Ils avaient lu sur internet qu’il fallait faire le test d’ovulation à partir du 11ème jour de la fin des règles. Samia était allée chercher un test à la pharmacie.

- J’ai refait le test ce matin, c’est pour aujourd’hui, lui dit discrètement Samia au boulot.
- Je te retrouve chez toi à midi, fit Boher.
- D’accord, répondit Samia en appréhendant un peu ce moment.

Ils étaient gênés tous les deux.
- Bon, je vais dans la salle de bains, dit Boher, en emmenant l’éprouvette avec lui.
Au bout de 20 minutes, comme Boher ne revenait toujours pas, Samia s’approcha de la porte :
- Tu as besoin de quelque chose, demanda Samia.
- Non, c’est juste la première fois que je le fais sur commande, ça me coince, mais je vais y arriver.
- Tu aurais dû amener des magazines, remarqua Samia.
- Ça va le faire, ne reste pas derrière la porte, ça me stresse encore plus, expliqua Boher.
- Ecoute, je vais nous chercher à manger, comme ça tu es tout seul à l’appart et je reviens après, proposa Samia.

Et ça marcha, sans sentir Samia, à quelques mètres de lui, il arriva à ses fins. Une fois Samia, revenue, elle fit toute seule l’insémination. Ils avaient lu qu’elle devait rester les jambes en l’air . C’est ainsi que Boher la retrouva.

- Il faut qu’on mette toutes les chances de notre côté. Il faut qu’à chaque ovulation, on essaye au moins 4 fois, expliqua Samia.
- Ecoute ce que je vais faire, c’est amener le matériel chez moi, et dès que je l’ai fait, je viens te retrouver chez toi, proposa Boher.
- C’est toi qui vois, fit Samia. De toute façon, j’ai deux jours à prendre. Je vais rester chez moi.

Une fois Boher parti, Samia prit le temps de réfléchir à ce qu’ils avaient fait. Elle regrettait qu’ils aient été obligés d’essayer de faire un bébé comme ça. Elle aurait tellement aimé, qu’ils soient un vrai couple et qu’ils fassent un bébé « normalement ». Au lieu de les rapprocher, cette histoire de bébé était en train de mettre de la distance entre eux.

Boher y réfléchit tout l’après-midi. Il n‘arrivait pas à se concentrer au boulot. Ce n’est pas comme ça, qu’il s’était imaginé faire un bébé avec la femme qu’il aimait. Il regrettait presque déjà d’avoir proposé ça à Samia. Mais il ne pouvait décemment faire marche arrière.

Si le bébé " pointe son nez "ça les rapprochera peut-être parce que là , ça manque de romantisme et d'amour les "z'amoureux " !
Qui fera le 1er pas finalement ? je me le demande

Babou .... merci

Hate de voir l'evolution de leur relation.

Merci pour cette suite

"- Tu as besoin de quelque chose, demanda Samia."


je ne dirais rien ! je ne dirais rien !

C'est hilarant cette scène ! Merci babou !

Boher y réfléchit tout l’après-midi. Il n‘arrivait pas à se concentrer au boulot. Ce n’est pas comme ça, qu’il s’était imaginé faire un bébé avec la femme qu’il aimait. Il regrettait presque déjà d’avoir proposé ça à Samia. Mais il ne pouvait décemment faire marche arrière.



Les semaines et les mois passèrent et toujours rien n’arrivait. Samia était sur les nerfs. Normalement, il y avait 60 à 70 % de réussite en six mois.

- Je crois qu’on devrait arrêter, j’en ai marre chaque mois d’être déçue, s’énerva Samia. Je ne pense plus qu’à ça, je ne fais rien d’autre, je ne vis plus.
- Tu le prends trop à cœur. Je n’aurais jamais cru que ton envie était plus forte que la mienne avoua Boher.
- Je m’étonne moi-même, répondit Samia. Je ne me reconnais plus depuis quatre mois.
- Et si on faisait une pause, proposa Boher.
- Oui, je crois qu’on devrait prendre le temps de réfléchir à tout ça, ajouta Samia.
- On devrait recommencer à sortir, à voir d’autres personnes, proposa Boher.
- Oui tu as sans doute raison. Je ne pense qu’à ça en ce moment, expliqua Samia.

Mais sitôt boher parti, elle éclata en sanglot. Elle ne voulait voir personne d’autre, c’était lui qu’elle voulait et attendre un bébé de lui.

Dans sa voiture, boher ne démarra pas tout de suite, lui aussi, il se posait beaucoup de questions. Il commençait à être âgé pour avoir un bébé. Il ne voulait pas être un de ces vieux pères incapable de jouer avec son fils. Il se demandait si tout cela était bien raisonnable. Rien n’avait changé entre Samia et lui. Tous ces projets ne les avaient pas rapprochés plus qu’avant. Ils étaient ni plus ni moins que des amis et rien n’allait changer à ça.

Le samedi suivant, ils décidèrent d’aller en boîte, pour essayer de se changer les idées. Ils passèrent une très bonne soirée. Samia se fit même draguer mais elle ne semblait pas être intéressée. Boher raccompagna Samia chez elle.

- Tu rentres boire un dernier verre, on a été très raisonnable ce soir, expliqua Samia.
- Tu sais depuis la dernière fois au mariage de Mélanie et Benoit, je fais attention fit remarquer Boher.
- C’était si désagréable que ça, se lança Samia, soudain énervée à l’idée que Boher regrettait toujours ce qui s’était passé entre eux.
- Ce n’est pas ce que je veux dire. Bien au contraire d’après ce que je m'en souviens, remarqua Boher.

Merci pour cette suite Babou Allez ! souvenez vous ! ça vous donnera certainement envie de recommencer en étant sobres cette fois ;-)

:'( IL YA PAS DE SUITE??????

Allez chouchou lance-toi ! avoue-lui tes sentiments ! même chose pour Samia ! allez bougez !
Babou , la suite s'il te plait .

- Ce n’est pas ce que je veux dire. Bien au contraire d’après ce que je me souviens, remarqua Boher.


- Alors on pourrait peut-être essayer de remettre ça à jeun cette fois, fit remarquer Samia.
- Je ne comprends pas tout, tu veux qu’on sorte ensemble demanda Boher soudain sur le qui-vive. Elle partageait donc ses sentiments mais il allait être vite déçu.
- Non, je veux juste qu’on couche ensemble pour essayer de faire un bébé tout simplement, ni plus ni moins fit Samia.
- Je croyais que la méthode artisanale était la meilleure solution, remarqua Boher.
- Il faut croire que non puisque rien ne se passe, observa Samia.
- Mais je ne suis pas sûr d’y arriver, lui dit Boher.
- Tu y es bien arrivée la dernière fois, continua Samia, en plus dans l’état où tu étais.
- Oui mais là ce n’est pas pareil, ajouta Boher.
- C’est quoi le problème. Dis tout de suite que je te débecte, s’énerva Samia.
- C’est pas ça du tout, mais je trouve qu’on s’est rapproché ces derniers temps et je n’ai pas envie de gâcher notre amitié avoua Boher.
- C’est toi qui vois si tu as besoin de te saouler pour coucher avec moi, je trouverais bien quelqu’un qui n’en aura pas besoin répliqua Samia tout en partant dans sa chambre.

Alors rien qu’à l’idée, qu’un autre homme que lui ne la touche, il l’attrapa violemment par le bras et l’embrassa sauvagement. Et sans plus y réfléchir que ça, il l’emmena sur le canapé où ils firent l’amour.

C’était encore mieux que dans son souvenir car elle était consciente de tout cette fois. Mais à son réveil, elle avait été quand même gênée. C’est elle qui l’avait poussé à coucher avec elle. Il avait été vexé simplement. Il n’en avait pas vraiment envie lui. Pas autant qu’elle.

Il faisait semblant de dormir. Il ne savait pas comment réagir. Qu’est ce qu’elle était belle et qu’est ce qu’ils allaient bien ensemble. C’est comme si leur deux corps étaient tellement en harmonie qu’ils jouaient la même partition de musique. Ça avait été merveilleux. Mais il fallait qu’il redescende sur terre, c’était purement physique. Elle n’avait couché avec lui que pour tomber enceinte, il n’y avait rien d’autre à y voir.

Ils en étaient, tous deux, là de leur réflexion quand on sonna à la porte.
- Merde qui ça peut être, se demanda Samia.

Merci pour la suite Babou. On approche du but, quand vont-ils s'avouer qu'ils s'aiment ?

Super cette suite aller encore un effort pour nos chouchous et c'est bon.

Vivement la prochaine

Samia rappelle-toi ( oui oui je fais l'amalgame avec la série ) que chouchou ne couche pas sans sentiments ...... alors ......

La suite ! La suite ! La suite !

Qui ose les déranger ?

Bon les deux arrêtez de vous trouver des excuses et laissez parler vos coeurs

Ils en étaient, tous deux, là de leur réflexion quand on sonna à la porte.
- Merde qui ça peut être, se demanda Samia.

Ch.30 pris sur le fait

- Samia ouvre, c’est Luna. Estelle et rudy sont partis à la maternité. Est-ce que tu peux me garder Bertille ? cria-t-elle.

Samia s’habilla précipitamment et lui ouvrit la porte :
- Excuse-moi de te déranger quand elle s’aperçut que Samia sortait de son lit.
- Tu ne me déranges pas, répondit Samia.
- Tu étais encore au lit à cette heure-là, demanda Luna.
C’est ainsi que Samia s’aperçut qu’il était déjà midi.

- Si tu es malade, je ne te laisse pas Bertille, observa Luna.
- Non, je ne suis pas malade. Je…..commença Samia mais Luna l’interrompit.
- Oh tu n’es pas seule fit Luna en attendant du bruit dans la chambre. Bon je ne te dérange pas plus. Je vais demander à Thomas.
- Non, tu peux me la laisser, fit Samia. De toute façon il allait partir.
- Et je le connais la questionna Luna.
- Je croyais que tu étais pressée, la reprit Samia.
- J’ai deux minutes, fit Luna.
- C’est juste un type que j’ai rencontré deux ou trois fois. Rien de sérieux répondit Samia.
- Bon tu ne perds rien pour attendre de m’avoir caché que tu voyais quelqu’un, je file, continua Luna.
- Mais puisque je ne te dis que ce n’est pas sérieux répéta Samia mais Luna était déjà partie.

En revenant, dans la chambre, elle engueula Boher.
- Et tu ne pouvais pas faire attention et te montrer plus discret s’énerva Samia.
- Ce n’est pas de ma faute, en cherchant mes vêtements, je me suis cogné au pied du lit, fit remarquer Boher.

Comme il voyait que Samia ne bougeait pas, Boher attrapa bertille dans ses bras :
- Bonjour ma puce. Tu es toujours aussi magnifique, toi fit il en l’embrassant. La fillette gazouillait.
- Si tu veux tu peux rentrer chez toi lui dit Samia.
- C’est comme tu veux, sinon je peux aussi t’aider à t’occuper d’elle, proposa Boher. Ça nous fera de l’expérience pour notre futur bébé.
- Et si Luna revient et qu’elle te découvre là on lui raconte quoi. Non je ne veux pas prendre le risque, fit Samia.
- C’est toi qui vois et il lui tendit Bertille.
- On se voit demain au boulot ajouta Samia
- Oui à demain continua Boher.

Merci pour la suite Babou ! Eh ben c'est pas gagné entre nos deux amoureux...

C'est vrai que ça aurait fait une bonne expérience . dommage !
Babou merci et ....... vivement la suite !

Bon retour en arrière ! Ils sont de plus en plus éloignés là ça va pas

- Et si Luna revient et qu’elle te découvre là on lui raconte quoi. Non je ne veux pas prendre le risque, fit Samia.
- C’est toi qui vois et il lui tendit Bertille.
- On se voit demain au boulot ajouta Samia
- Oui à demain continua Boher.


Et merde aucun des deux n’avait voulu parler de ce qui s’était passé. Il était trop mal à l’aise, Samia était sûre qu’il regrettait. Mais ce qu’elle savait maintenant c’est qu’elle était vraiment amoureuse de lui. Et ce n’était pas, du tout, réciproque.

Mais comment avait-il pu lui faire l’amour. Parce qu’il la kiffait grave tout simplement gros benêt qu’il était. Et elle pas du tout. Elle l’avait jeté dehors avec perte et fracas.

Rudy et Estelle eurent un petit garçon qu’ils prénommèrent Jules. Luna essaya de tirer les vers du nez de Samia quand elle vint récupérer sa fille mais sans succès.

Samia était trop mal pour pouvoir discuter de quoi que ça. Et où ça l’avait mené cette histoire de bébé. Elle n’était toujours pas enceinte et elle venait de tout foutre en l’air avec l’homme dont elle était amoureuse. Si elle ne devait pas avoir de bébé avec lui, ç’est que ça ne devait pas se faire. On ne pouvait pas faire un bébé sans s’aimer vraiment. Oui, demain, elle lui dirait qu’elle abandonnait l’idée farfelue qu’elle avait eue. Maintenant, il fallait qu’elle passe à autre chose côté bébé et côté mec.

Qu’est-ce qu’il allait bien pouvoir lui dire demain ? Il fallait crever l’abcès car la situation pouvait vite dégénérer. Ils bossaient ensemble 24h sur 24h. Dans leur métier, il fallait rester concentré, sur le qui vive mais avec Samia à côté de lui, il pensait qu’il n’allait pas y arriver sans penser à la nuit qu’ils venaient de passer ensemble.

Le lendemain fait exprès ils ne travaillèrent pas ensemble. Léo avait besoin de lui sur une affaire qui s’éternisa toute la semaine.
Le samedi, à bout, Boher attrapa Samia dans les vestiaires.

- Ça ne peut plus durer comme ça, fit remarquer Boher.
- Oui tu as raison fit Samia.
- Il faut qu’on en parle. Suis moi jusqu’à chez moi pour qu’on soit tranquille proposa Boher.

Arrivé chez lui, elle essayait bien dans sa tête de chercher quoi lui dire mais c’était tellement confus qu’elle ne savait pas par où commencer. C’est boher qui attaqua après leur avoir versé deux verres.
- Je crois qu’on a fait une grosse erreur samedi soir, attaqua Boher.
- Ouf si tu savais comme je suis soulagé moi aussi je pense la même chose, mentit Samia.
- Je ne savais pas comment t’en parler. C’était une mauvaise idée. Notre amitié compte trop pour moi pour la mettre en péril avoua Boher.
- Oui c’est pareil pour moi. On n’aurait pas dû recoucher ensemble continua Samia.
- D’ailleurs c’était pas sensass, mentit honteusement Boher pour essayer de lui tirer les vers du nez.
- Oui, j’avais l’impression de coucher avec mon meilleur ami. Ça m’a gêné aussi, continua Samia. Et puis cette histoire de bébé, j’ai envie de mettre le « ola ». Je pars trois semaines chez mes parents. Quand je reviendrais, tout cela sera loin derrière nous.
- Oui, tu as raison. On n’y pensera plus ajouta Boher. Mais il n’en était pas, du tout, certain.

Quand il referma la porte derrière Samia, il s’en voulut de ne pas lui avoir dit qu’il avait adoré lui faire l’amour mais c’était mieux ainsi puisqu’elle ne l‘aimait pas. Elle ne le voyait que comme un ami. Et c’est ce qu’il allait strictement être si c’est ce qu’elle désirait. Il l’aimait assez pour faire ça pour elle.

Recroquevillée dans son lit, Samia pleurait. Elle aurait dû lui dire qu’elle le kiffait grave. Mais non, ce n’était pas réciproque. Elle allait partir loin de lui. Mais à son retour, il y avait de grandes chances qu’elle l’aime toujours. Qu’est ce qu’elle allait faire alors ?

Allez, arrête de pleurer Samia et balance lui ce que tu as sur le coeur ! et idem pour Boher !

Je viens de lire cette fiction et c'est un vrai régal ! Je me suis régalée sincèrement & vivement la suite ! Merci de nous faire partager cette fiction

"Qu’est ce qu’elle allait faire alors ?"
Lui dire que tu l'aimes !

Recroquevillée dans son lit, Samia pleurait. Elle aurait dû lui dire qu’elle le kiffait grave. Mais non, ce n’était pas réciproque. Elle allait partir loin de lui. Mais à son retour, il y avait de grandes chances qu’elle l’aime toujours. Qu’est ce qu’elle allait faire alors ?

Ch.32 vacances prolongées

Pendant trois semaines, boher n’eut aucune nouvelle de Samia. Elle aurait pu au moins lui téléphoner pour lui dire qu’elle allait bien.
- Vous en faites une tête, lui demanda Mélanie, quand Boher vint déjeuner.
- Non, pas plus que ça, bougonna Boher.
- C’est marrant si je le pouvais, je jurerais que Samia vous manque grave. Mais je rêve éveillée là, se fit Mélanie.
- Je suis juste préoccupé par une sale affaire au boulot, mentit Boher. D’habitude, je prends du recul. On en parle et on en discute avec nassri. Mais là je n’ai personne à qui en parler.
- Et ben si j’avais su. Alors finalement on avait raison avec Luna ? ajouta Mélanie.
- Vous n’écoutez pas ce que je vous dis. Ce qui me manque c’est ma collègue de boulot. Et puis mon amie, c’est tout, s’énerva Boher.
- Et rien que ça, s’étonna Mélanie.
- Oui rien que ça répondit Boher.
- Si vous le dites, douta Mélanie.

Oups si Mélanie et Luna mettaient leur grain de sel entre eux. Ça allait encore dégénérer. Il valait mieux qu’il évite le mistral, un temps.

Samia revint peu de temps après. Elle avait prolongé son séjour de 15 jours. Ils mirent de côté tous les deux les derniers mois et recommencèrent leur vie quotidienne comme avant ou presque.

- Tu as passé un bon séjour. Tu es resté plus longtemps que prévu, la questionna Boher. Tu aurais pu donner des nouvelles.
- Excuse-moi, mais j’étais très occupée. Tu sais le temps de voir toute la famille. Et puis je crois que j’avais besoin de me ressourcer, de réfléchir sur moi-même, sur ma vie. Que j’étais en bonne santé, que j’avais un boulot qui me plaisait, que j’étais entourée par plein d’amis. Et que pour l’instant ça me suffisait expliqua Samia.
- Et bien tu en as fait du chemin fit Boher.
- Oui. Ça m’a fait du bien de m’éloigner de tout ça. Et tu vois quand je n’y pensais plus, et bien j’ai rencontré quelqu’un expliqua Samia.
- Ah bon, s’étonna Boher. Et c’est sérieux.
- En fait il travaille dans l’import-export. Il se déplace beaucoup mais ses bureaux sont sur Marseille. Alors on va se revoir. Pour l’instant, c’est juste un ami mais ça pourrait devenir sérieux, pourquoi pas. Et toi tu as rencontré quelqu’un pendant mon absence demanda Samia.
- Pas vraiment, j’ai eu pas mal de boulot. Je suis sorti une fois ou deux mais rien de sérieux, répondit Boher.

Mais Samia mentait, c’était la seule solution, qui lui était apparue pour mettre de la distance entre elle et Boher. Elle était loin de se douter de ce qui l’attendait.
- Si tu veux venir à l’appart, ce soir. Jeff et sa femme viennent manger ce soir. Je vais préparer une spécialité alsacienne, ajouta Boher.
- Pourquoi pas ? répondit Samia.
Ils firent plus ample connaissance avec la femme de Jeff. Et passèrent une agréable soirée.

Qu'est-ce qui l'attend ? Ne me dis pas que Chou va sortir avec une fille pour rendre jalouse samia

J'en étais sûre qu'elle mentait , elle est toujours amoureuse ...... lui aussi ....... mais lancez-vous nom d'un chien !

Alors ... la jalousie va-t-elle faire son entrée dans l'histoire ? ( bonne idée Elo si ça peut leur ouvrir les noeinoeils )


Babou ... encore !!!!