une envie irrésistible (terminée)

myriam972 a écrit:

Pareil pour moi
Il va falloir un miracle ...... le miracle de l'amour!!! vite, appelons la bande à Hélène à la rescousse!!! bon, ok =======> c'est par où la sortie ?

non par là
^=======

Ils se prirent dans les bras. il avait peut-être enterré leur amitié trop vite. Finalement, ils allaient arriver à s’en sortir. Elle allait réussir à prendre le dessus si elle pouvait encore compter sur son amitié.


Il allait falloir qu’il parle de tout ça à Julien. Il espérait qu’il serait d’accord d’accueillir chez lui sa fille.
- Mais bien sûr que je suis d’accord. On s’en occupera vendredi après-midi, on débarrassera la pièce pour lui aménager une jolie chambre, proposa Julien.
- Je ne sais pas comment te remercier, fit Boher.
- Comment ça s’est passé sinon, demanda Julien.
- C’était très dur. La voir là dans notre appart. Heureusement, son copain n’était pas là. J’ai encore du mal avec ça. On a réussi à discuter calmement, on s’est mis d’accord sur la garde de Mahée. On a même réussi je trouve à se séparer et à faire renaître notre amitié. Même si ça va être dur, je crois qu’on va arriver à s’en sortir.
- Et tu ne lui diras jamais que tu l’aimes, demanda Julien.
- En tous cas pas tant qu’elle sera heureuse avec ce mec même si ça me fait mal au bide, affirma Boher.
- Et si on invitait samia à manger samedi, comme ça elle verra où mahée sera installée.
- Ça c’est pas possible, fit Boher.
- Pourquoi ? L’appart est plutôt correct pour un appart de mec, répliqua Julien.
- C’est pas ça. Elle croit que je m’installe avec ma copine, avoua Boher.
- Quelle copine ? tu me caches des choses, demanda Julien.
- Je n’ai pas de copine. En fait, c’est un quiproquo. L’autre soir, celui du poker. Je m’étais écroulé sur ton canapé et je suis rentré tôt le matin, lui rappela Boher.
- Oui et alors tu lui as expliqué, dit julien.
- En fait, non. Car elle ne m’a demandé d’explication. Et puis après j’ai compris qu’elle avait invité son nouveau mec alors je me suis tiré de l’appart, expliqua Boher.
- Mais je ne comprends toujours pas le lien avec ta supposée copine, l’interrogea dubitatif Julien.
- Eh bien, elle a cru que j’avais découché chez une fille et que j’avais passé mon week end avec elle. Comme j’ai pris mes affaires, elle a cru aussi que je m’installais avec elle, raconta Boher.
- Et tu n’as rien démenti, demanda Julien.
- Non parce que ça m’arrangeait qu’elle croit ça, comme ça elle ne pouvait pas imaginer que c’était par jalousie que j’avais quitté l’appart, expliqua Boher.
- Et…
- Il faut croire que je mens bien parce qu’elle le croit toujours, dit Boher.
- Donc elle ne peut pas venir samedi, fit Julien.
- A moi que tu te travestisses, non, ricana Boher.
- C’est dommage parce que j’aurais bien aimé voir la tête de celle qui te fait tourner la tienne, dit Julien.
- Très drôle, répondit Boher.

je n'ai pas d'autre mots , trop bien

Ouai que Juju voit la tête de Samia et qu'il force un peu le destin... je ne sais pas moi... tout simplement en lui balançant de manière très cash que Boher est fou amoureux d'elle, que son histoire de copine est un gros bobard ! Pour qu'ENFIN nos chouchous tombent dans les bras l'un de l'autre et décident de vivre heureux et d'avoir beaucoup d'autres enfants...
Enfin... par exemple ...

Eléa a de très boh'nes idées ..... j'adhère totalement

- C’est dommage parce que j’aurais bien aimé voir la tête de celle qui te fait tourner la tienne, dit Julien.
- Très drôle, répondit Boher.


Boher et julien avaient réussi à débarrasser la 3ème chambre. Boher prendrait une semaine de vacances pour la décorer pour sa fille et pour l’aménager. Pour l’instant, cela ferait l’affaire. L’essentiel, c’était qu’il pourrait profiter de sa fille tout le week end.

- tu as réussi à tout caser dans la voiture, demanda Samia.
- Oui, à peu près. Il ne me reste plus que mahée, répondit Boher.

Il espérait que samia n’allait pas se mettre à pleurer car il ne saurait pas quoi faire. Il serait capable de laisser Mahée à sa mère même s’il avait besoin de sa fille.
- bien, tu m’appelles ce soir pour me dire comment ça s’est passé, demanda Samia.
- tu sais je peux même te faire un peu coucou avec la web cam pour te rassurer. On se fixe un rendez vous pour ne pas que je te dérange avec bruno, proposa Boher.
- Tu te connectes quand tu veux, on ne se voit pas avec bruno ce week end, répondit Samia.
- Oh il est avec sa fille, fit Boher.
- Non, c’est pas ça, continua Samia.

Boher était surpris. Peut-être que ce n’était pas si sérieux avec ce bruno finalement. Peut-être qu’ils devraient sortir tous les deux ce soir pour en parler.peut-être qu’il oserait alors lui parler de ses sentiments.
- Tu veux….. commença boher, mais il fut interrompu par le téléphone de samia.
- Excuse moi tu as 2 secondes fit samia avant de décrocher.
- Oui réponds je t’attends pour partir, fit Boher.
- Bonjour, ça va et toi, dit Samia.

C’était bruno qui l’appelait pour savoir comment elle allait. Il lui avait laissé plusieurs messages mais elle n’y avait pas répondu.
- J’ai été très occupée (mince, boher était dans son dos, il entendait, elle était piégée) non, c’est son père qui la garde ce week end, ajouta-t-elle.
- D’accord, passe me prendre demain vers 20h, conclue Samia.
Ça suffit, il s’était de nouveau fait un film, se reprit Boher. Samia, elle, prit sa fille dans ses bras et la couvrit de bisous.
- On se dit quelle heure ce soir, dit Boher.
- Pour quoi ? fit Samia.
- Pour se connecter, répondit Boher.
- Oh après son bain juste avant que tu la couches, proposa Samia.
- D’accord, fit Boher.
- A ce soir ma puce alors, dit Samia.
- A ce soir samia.
- A ce soir.

Elle était embarquée bien malgré elle dans un nouveau rendez-vous avec bruno. Comment allait-elle s’en dépatouiller ? En plus elle n’était pas d’humeur à sortir. Elle verrait, elle pourrait annuler encore une fois le rendez-vous sous un prétexte ou un autre.

Elle avait hâte d’être à ce soir pour revoir Jean-Paul et voir sa fille aussi. Elle alla dans sa chambre. Il avait pris les dernières affaires qu’il avait laisséés. Elle avait même remarqué qu’il avait récupéré sa collection de voitures et ses magazines. C’était vraiment fini. Elle s’allongea sur son lit. Les draps avaient gardé son odeur. Elle allait devenir folle si ce n’était déjà fait.

Le soir même, ils restèrent connectés un long moment comme si aucun des deux ne voulait se séparer d el’autre. Ça lui faisait bizarre de le savoir si près et si loin d’elle en même temps. Il alla coucher sa fille et revint pour discuter. Ils arrivaient mieux à discuter par écran interposé que de vive voix. Elle eut du mal à le quitter alors pour ne pas le quitter vraiment et parce qu’elle en avait besoin, elle alla se coucher ce soir là dans son lit. C’était comme si elle s’endormait avec lui.

De son côté aussi boher avait eu du mal à se déconnecter c’est quand il avait entendu julien arrivé qu’il avait coupé la connection. Il allait avoir du mal à s’endormir ce soir.
- Alors où es ta puce ? fit Julien.
Boher eut un instant de doute en passant qu’il parlait de samia mais non il parlait de sa fille.
- Elle est déjà couchée. Tu feras sa connaissance demain répondit Boher.
- J’ai hâte, surtout que tu dis qu’elle est aussi belle que sa mère remarqua Julien.
- Je vais me coucher, fit Boher.
- Tu ne restes pas, on pourrait se regarder un bon film d’action en buvant de la bière, proposa Julien.
- autant pour moi, ce soir j’ai envie d’être tranquille, fit remarquer Boher.
- Tu l’as vraiment dans la peau cette fille, affirma Julien.

Plus qu’il ne pourrait le croire, mais il n’allait pas le lui avouer. Sans que samia ne le voit, il lui avait pris une nuisette dans laquelle elle dormait pour avoir son odeur auprès de lui.

Plus qu’il ne pourrait le croire, mais il n’allait pas le lui avouer. Sans que samia ne le voit, il lui avait pris une nuisette dans laquelle elle dormait pour avoir son odeur auprès de lui.


Petit à petit la vie reprit le dessus, leur organisation avait bien subi quelques accrocs au début. Mais maintenant tout roulait bien. Boher avait décoré la chambre de sa fille. Il l’avait prise en photo qu’il avait envoyé à samia. Ils prenaient l’un et l’autre beaucoup de photos qu’ils s’envoyaient comme s’ils ne voulaient rien manquer de la vie de leur fille quand ils n’étaient pas auprès de d’elle.

Même s’il lui arrivait de sortir, boher n’avait toujours rencontré personne. Il s’investissait dans son travail. Et s’occupait le plus possible de sa fille. Tout tournait autour d’elle dans sa vie. Il n’y avait donc de place pour personne d’autre.

De son côté, samia sortait de temps en temps avec bruno. Même si lui voulait que leur relation devienne plus sérieuse, il avait fini par comprendre que la séparation avec boher avait été plus dure à supporter que samia avait bien voulu lui faire croire. Et comme il était passé par là avec son ex qui était parti avec son meilleur ami, il allait être patient.
Ils leur arrivaient très souvent de se connecter et de discuter. Au moins, ils avaient retrouvé ça, leur complicité d’avant. C’était essentiel et primordial pour eux. Tout irait bien si ce n’était que samia commençait à se poser des questions. Boher ne lui avait toujours pas présenté sa copine et ne semblait pas presser de le faire. Elle ne comprenait pas si c’était à cause d’elle, de sa copine ou de lui. Boher se trouvait dans une impasse, il fallait qu’il trouve une solution car la connaissant elle n’allait pas lâcher l’affaire de si tôt.

Comme presque chaque soir, ils se connectèrent pour se donner des nouvelles de leur fille. Samia remit le couvert.
- Et si on se faisait un diner tous les 4, ce week end, proposa-t-elle.
- C’est pas possible, elle bosse samedi soir, fit Boher.
- Et qu’est ce qu’elle fait comme boulot pour bosser le week end, demanda Samia.
- Et nous on ne bosse peut-être pas les week end, observa Boher.
- Si alors, elle bosse aussi dans la police ? le questionna Samia.
- Oh excuse moi, elle arrive je te laisse à demain, conclue Boher.
- Ouf pour ce soir c’était bon, fit il une fois déconnecté.
Bon d’accord, elle était peut-être curieuse mais elle ne connaissait rien sur cette fille, ni son prénom, ni son adresse, ni son métier. Elle vivait quand même avec sa fille la moitié du temps. C’était la moindre des choses. Samia commençait de se demander si ça ne cachait pas quelque chose.

- Et maintenant qu’est ce que je fais, demanda Boher à Julien.
- Et bien tu lui inventes une vie, un boulot, …. répondit Julien.
- Doué comme je suis, je vais m’emmêler les pinceaux dans mes mensonges, fit Boher.
- Alors tu lui avoues la vérité et basta, proposa Julien.
- Non hors de questions, s’énerva Boher. On a réussi à retrouver notre complicité d’avant, et notre amitié, je ne veux prendre aucun risque.
- Et bien je n’ai pas la solution. Oh si tiens, tu te trouves une copine et tu emménages chez elle, dit il en ricanant.
- Sauf que là je n’ai pas trop la tête à draguer en ce moment, continua Boher.
- Oui tes pensées sont déjà obnubilées par une fille, affirma Julien.
- La ferme, fit il avant de s’enfermer dans sa chambre

Il ne savait même pas pourquoi il s’énervait contre julien c’était lui qui c’était mis dans la panade tout seul. Oui il allait s’inventer une copine imaginaire. Ça c’était déjà fait. Elle s’appelerait… isabelle…. Pourquoi pas….. elle aurait son âge….. une plus jeune ne se serait pas installée aussi vite avec quelqu’un….. elle n’a pas d’enfant…..elle travaille dans quoi….. une hôtesse de l’air comme cela, ça expliquerait qu’elle ne puisse pas la rencontrer…. Oui mais où aurait il bien pu la rencontrer puisqu’il ne prenait jamais l’avion…il réfléchirait à tout ça plus tard….

je sens qu'il va se mélanger les pinceaux ou alors que Samia va découvrir qu'il vit avec un mec et va se faire des idées

j'y avais pas pensé ju et jp ensemble, pourquoi ! non je rigole....

C'est vrai que si elle apprend que c'est Julien avec qui il cohabite ça pourrait prêter à confusion ... mais en même temps là il sera peut-être enfin obligé de lui dire la vérité sur sa prétendue copine et de lui expliquer les raisons qui l'ont amené à " mentir " .
Hâte de lire la suite !!!

Il ne va jamais tenir la distance avec ses mensonges. En plus, si la tornade samia s'en mêle ça fera des dégâts. Peut-être qu'il dira que sa copine s'appelle Julie comme ça s'approche de Julien, il a une chance de pas s'emmêler les pinceaux.
Quand elle découvrira la vérité, soit ça va prêter à confusion et là on va passer un bon moment, soit des têtes vont tomber.
JP, Juju et Sam sont sur un bateau, Juju tombe à l'eau. Il reste qui ?

Il ne savait même pas pourquoi il s’énervait contre julien c’était lui qui c’était mis dans la panade tout seul. Oui il allait s’inventer une copine imaginaire. Ça c’était déjà fait. Elle s’appelerait… isabelle…. Pourquoi pas….. elle aurait son âge….. une plus jeune ne se serait pas installée aussi vite avec quelqu’un….. elle n’a pas d’enfant…..elle travaille dans quoi….. une hôtesse de l’air comme cela, ça expliquerait qu’elle ne puisse pas la rencontrer…. Oui mais où aurait il bien pu la rencontrer puisqu’il ne prenait jamais l’avion…il réfléchirait à tout ça plus tard….


Ce matin là, il déjeunait au café du mistral avant de reprendre son travail l’après-midi. Quand une jeune femme s’installa à côté de lui.

- ça ne vous dérange pas si je m’assois là, j’ai horreur de déjeuner toute seule, lui fit-elle en s’asseyant à sa table.
- Vous n’allez pas recommencer vos histoires en reconnaissant victoire. Lissajoux, répondit Boher.
- Vous êtes d’humeur massacrante aujourd’hui, lieutenant « bauer », répliqua-t-elle.
- Non, je veux juste être au calme, sans qu’une fille comme vous me dérange, fit remarquer Boher.
- Mais je peux être silencieuse aussi quand je veux, riposta Victoire

Et elle n’ouvrit pas la bouche du reste du repas. Ce qui surprit boher. Il ne pouvait s’empêcher de la regarder, pour la provoquer, mais elle ne céda pas. Il lui offrit même le déjeuner.

- Vous savez que vous n’obtiendrez rien de moi, dit il en quittant la table. Alors j’espère que vous allez finir par laisse tomber votre petit jeu.
- Je vais toujours jusqu’au bout et en général, j’obtiens toujours ce que je veux lui glissa-t-elle près de l’oreille en se levant. Et c’’est toi que je veux et elle le laissa là, pantois.

Merde, elle recommençait son cinéma. Comment allait-il s’en dépatouiller encore une fois ? Mais qu’est-ce qu’elle pouvait bien lui trouver ? Belle et sexy comme elle était, elle devait avoir tous les hommes à ses pieds pourquoi s’amusait-elle à ce jeu avec lui. Elle ferait mieux de se chercher un riche fils à papa. Malgré tout, ce qui le dérangeait c’est qu’il devait vraiment être en manque, car son petit manège lui avait quand même fait de l’effet. Surtout avec sa tenue. Après coup, il s’aperçut même qu’il n’avait pas pensé une seule fois à samia, ce qui était plutôt rare quand il discutait avec une fille, en général, il n’arrêtait pas de les comparer à elle. Mais pas cette fois. Mon grand, il faut que tu te ressaisisses, le pire qu’il pourrait t’arriver c’est de tomber dans les griffes d’une femme comme elle qui t’avalerait tout cru avant de te recracher en miettes sur le trottoir.

le pire qu’il pourrait t’arriver c’est de tomber dans les griffes d’une femme comme elle qui t’avalerait tout cru avant de te recracher en miettes sur le trottoir.
........ l'image est jolie

Chouchou ... ne te laisse pas dominer par tes hormones ! .......... sauf avec Samia

Il avait suffi d’un seul repas entre boher et victoire pour que la rumeur s’enflamme. Comme tout le monde savait qu’il était séparé de samia. Quand il fût vu, à table avec une autre femme, en l’occurrence victoire lissajoux, cela fit le tour du quartier jusqu’à arriver aux oreilles de samia.

Elle débarqua le lendemain au mistral.
- C’est vrai ce qu’on raconte, dit samia.
- On en raconte tant, mais mélanie savait précisément de quoi parlait samia puisqu’elles avaient hésité fortement avec luna à lui en parler.
- Que boher et victoire sortent ensemble. Tu crois que c’est elle sa copine, demanda Samia.
- Je sais pas moi, répondit Mélanie.
- Tu sais quoi alors, continua Samia.
- Je peux juste te dire que boher et victoire ont déjeuné ensemble sur la terrasse hier à midi, expliqua Mélanie. Mais c’est thomas qui s’est occupé de leur table. Moi je m’occupais de la salle.
- Tu les a vus se toucher, s’embrasser. Thomas t’a dit quelque chose questionna Samia.
- Je ne m’en suis aperçu que lorsqu’ils partaient. La salle était bondée, on avait un car de touristes ; on était débordé, se justifia Mélanie. Ce n’est même pas thomas qui m’en a parlé, c’est mirta qui les avait vus de son hôtel.
- Et qu’est-ce qu’elle t’a dit, s’énerva Samia
Mélanie hésita :
- Qu’elle était surprise, parce qu’elle ne savait pas qu’ils étaient ensemble raconta Mélanie.
- Ils se sont embrassés alors, l’interrogea Samia.
- Elle m’a juste dit qu’ils avaient l’air très proches, la reprit Mélanie.
- Ils sont partis ensemble, ajouta Samia.
- Non, ils se sont séparés devant le mistral, fit Mélanie.
- En s’embrassant demanda Samia.
- Je sais pas moi tu n’as qu’à le demander à Mirta. J’en ai marre de tout ça. Ça va encore me retomber dessus j’en suis sûre.
- Ça expliquerait pourquoi, il ne m’a pas dit son nom ni donné son adresse, j’aurais fini par faire le rapprochement. Pourquoi, il ne donne jamais de détails sur elle. Je ne comprends pas. Il ne peut pas supporter ce genre de fille d’habitude. Il n’a jamais pu la voir en peinture surtout après le coup des menottes. Elle lui courrait après juste pour se foutre de sa gueule. Comment peut-il habiter avec elle ? l’aimer…
- Tu n’es sûre de rien, la reprit Mélanie.
- Si, ça explique tout répondit samia anéantie. Et elle laissa mélanie.

Ah Radiomistral ! ........ quelle plaie !
Samia comme le dit Mélanie tu n'est sûre de rien alors arrête de croire tout et n'importe quoi et adresse-toi plutôt à l'intéressé ....... je sais c'est pas facile ! ...... mais il le faut ! lol

Merci Babou

Bravo RadioMistral ! Maintenant Samia souffre...

j'adore j'adore j'adore !
le suite

- Tu n’es sûre de rien, la reprit Mélanie.
- Si, ça explique tout répondit samia anéantie. Et elle laissa mélanie.


Le soir même samia décida que lorsqu’elle se connecterait avec boher, elle lui en parlerait. Mais elle était encore sous le choc : victoire et boher ensemble. C’était le couple le plus mal assorti qu’elle ait vu. Ils discutèrent de choses et d’autres. Et puis samia se lança :

- Pour l’anniversaire de mahée dans 15 jours, j’avais envie de vous inviter à la maison avec ta copine, comme ça on profitera tous de mahée pour ses un an, proposa Samia.
- Euh tu dis dans 15 jours, elle bosse. Mais je viendrais moi, répondit Boher.
- C’est quand même dommage, tu devrais lui demander, ajouta Samia. Elle fait partie de sa vie maintenant, peut-être qu’elle aimerait être présente aussi.
- Je crois que cela la gênerait surtout par rapport à toi, remarqua Boher.
- mais si tu lui dis que c’est moi qui ai proposé l’idée, le reprit Samia.
- Je ne sais pas. Je lui en parlerai quand elle rentrera tout à l’heure, mentit Boher.
- Tu me tiens au courant, que j’ai le temps d’organiser tout ça, dit Samia.

Et boher se déconnecta. Voilà maintenant il était vraiment dans la merde et ne savait pas comment s’en sortir. La seule solution était de tout lui avouer même s’il passait pour un con.
Le lendemain, quand il vint chercher sa fille, il trouva samia très bizarre, elle le fixait d’une drôle de façon.

- Qu’est-ce qu’il y a ? qu’est-ce que j’ai ? l’interrogea Boher.
- Rien. Au fait, tu as parlé à ta copine de l’anniversaire, renchérit Samia.
Ce n’était pas le moment de lui en parler, il préférait ne pas le faire de vive voix. Il était un peu lâche sur ce coup.
- C’est bien ce que je pensais, elle travaille, mais cela lui aurait fait plaisir de venir, fit Boher.
- Alors on peut organiser ça la veille ou le lendemain, proposa Samia.
- Non, on fait ses un an le jour même, répondit Boher.
- C’est quand même dommage. Et elle ne peut pas changer ses heures, insista Samia.
- C’est un peu difficile, fit Boher.
- Mais elle fait quoi comme boulot, demanda Mélanie.
- Elle….( soit il lui mentait, soit il lui avouait la vérité…) en fait …
- Laisse tomber, lui dit samia un rien énervée. Je suis au courant de tout. Ce n’est plus la peine de me mentir.
- De tout, fit Boher très gêné.
- Oui, c’est mirta qui vous a vu, ajouta Samia.
- Qui nous a vu ( mais avec qui puisqu’il n’était avec personne) mais où ? l’interrogea Boher.
- Au mistral il y a deux jours quand vous déjeuniez. Si tu ne voulais pas que ça se sache, tu aurais dû choisir un autre endroit, le reprit Samia.
- Il faut que tu m’expliques parce que je ne comprends pas ce que Mirta fait dans l’affaire, l’interrogea Boher.
- Mirta t’a vu avec victoire déjeuner mercredi. Et il faut croire que vous n’étiez pas trop discrets car elle a mis tout le monde au courant.
- Ah ben ça alors….. ( réfléchis vite, ressaisis toi), balbutia Boher.
- Tu sais, tu aurais dû m’en parler. J’aurais compris, fit Samia.
- Parler de quoi, répondit Boher.
- Parler d’elle, continua Samia.
- C’était un peu délicat, dit Boher.
- Tu es sûr de toi, elle ne te fait pas marcher. Elle ne se moque pas de toi. Elle t’aime vraiment, demanda Samia.
- Parce que tu crois que ce n’est pas plausible que je puisse attirer et être aimé d’une femme comme victoire, s’énerva Boher.
- Je n’ai pas voulu te blesser, ce n’est pas ce que je veux dire. C’est juste qu’il n’y a pas si longtemps, tu ne la supportais pas, observa Samia.
- C’est parce que je ne la connaissais pas, se défendit Boher. On a appris à se connaître, on s’est comme qui dirait apprivoiser. Enfin bon, voilà je l’aime et elle m’aime et on vit ensemble depuis un mois, mentit-il.
- Et pourquoi tu ne m’as rien dit. Je suis déçue que tu m’aies menti comme ça. Tu me l’aurais caché encore combien de temps s’énerva Samia.
- J’avais peur de ta réaction, répondit Boher. Toi, non plus tu ne l’aimais pas plus que moi avant.
- Certes, mais on s’est toujours fait confiance, le reprit Samia. On s’est toujours tout dit ( ou presque). Pourquoi avoir voulu me cacher ça ?
- Je ne le comprends pas moi-même. Tu sais du moment où je ne t’ai pas parlé d’elle dès le début, j’ai eu du mal à revenir en arrière pour tout t’avouer fit Boher.
- Tu aurais dû, car je vais avoir du mal à te pardonner cela, avoua Samia.

Il prit les affaires de sa fille et s’enfuit comme un voleur. Mon dieu qu’il était mal à l’aise. Dans quoi s’était il fourré encore une fois. Il avait encore plus compliqué les choses qu’avant. Il hésita à faire demi-tour et à tout avouer à samia. Non, il ne pouvait pas. Elle allait le détester encore plus.

Alors c’était vrai, il était avec victoire et c’était plus que sérieux. Mais mince alors. Elle tombait des nues. Elle éclata en sanglot et appela ses amies à la rescousse.

j'aime!!!
Mais dans quel pétrain s'est il mis!!!
Mais Jp dit lui la vérité!!
Vls

ça ! pour compliquer les choses il les a compliquées ! ....... maintenant va falloir qu'il se coltine Victoire ..... comment lui annoncer qu'elle est devenue officieusement sa "copine " ? comment va-t-il faire pour se sortir de cette galère ( dans laquelle il s'est mis tout seul ) ?

Trop hâte de découvrir la suite !!!

Alors c’était vrai, il était avec victoire et c’était plus que sérieux. Mais mince alors. Elle tombait des nues. Elle éclata en sanglot et appela ses amies à la rescousse.


- Qu’est ce qu’il se passe ? je suis venue aussi vite que possible, fit Mélanie en arrivant essoufflée.
- C’est bien vrai, il m’a tout avoué, fit Samia.
- Qu’il t’aime, continua Mélanie.
- Non qu’il est avec Victoire et qu’ils habitent ensemble, rectifia Samia.
- Tu me fais marcher là, boher et victoire ensemble, ajouta Mélanie.
- J’ai l’air pété de rire, s’énerva Samia.
- Je suis désolée, se reprit Mélanie.
- Je lui faisais confiance et il me ment depuis des mois, s’indigna Samia.
- Il t’a dit pourquoi il t’avait caché qu’il vivait avec elle, demanda Mélanie.
- Parce que soi-disant comme je ne peux pas l’encadrer, il n’a pas voulu me dire qu’il sortait avec elle, continua Samia.

Elles furent interrompues par Luna qui sonnait à la porte :
- Alors qu’est-ce qu’il y a de si important ? les interrogea Luna.
- La copine de Boher c’est victoire lissajoux, dit Mélanie.
- Ben ça alors, c’est un vrai dom juan celui-là, fit Luna. Si tu lui avais avoué tes sentiments, tout ça ne serait pas arrivé.
- C’est super, je vous appelle parce que je suis au trente sixième dessous et au lieu de me réconforter, vous me faites des reproches.
- Je ne te fais pas de reproches, je te dis juste que tu ne peux que t’en prendre à toi-même, la reprit Luna.
- Et qu’est ce je fais, moi, maintenant. En plus, je les ai invités tous les deux à l’anniversaire de Mahée avant de savoir que c’était elle sa copine. Je ne pourrais pas supporter de les voir ensemble. C’est encore trop tôt. Il faut que je me fasse à cette idée.
- Tu es sûre que c’est sérieux entre eux, demanda Mélanie.
- C’est vrai que boher a tendance à se précipiter dans ses histoires d’amour. C’est une vraie fleur bleue. Alors oui, je pense que c’est sérieux pour qu’il se soit installée avec elle, répondit Samia. Il croit vraiment que leur histoire va durer.
- Je serais toi, je lui avouerais quand même tes sentiments pour lui, remarqua Mélanie.
- Tu plaisantes. Ça ne ferait que compliquer les choses. Il sera mal à l’aise et moi aussi. Là au moins, il n’y a que moi qui suis mortifiée et gênée de tout ça, expliqua Samia.
- Et tu en es où avec Bruno ? la questionna Luna.
- Nulle part, c’était une erreur, avoua Samia. Je n’ai aucun sentiment pour lui. J’ai du mal à le lui faire comprendre d’ailleurs. Il s’accroche.
- Alors quand tu aimes quelqu’un, tu ne le lui avoues pas. Mais quand tu ne l’aimes pas, tu ne lui dis rien non plus. Tu devrais peut-être consulter samia, observa Luna.
- Tout le monde peut se tromper, affirma Samia. Le plus beau regret de la vie ce sera de ne pas avoir avouer à boher mes sentiments pour lui quand c’était encore possible. Maintenant, je vais aller de l’avant et me construire une nouvelle vie. Il faut que je reprenne le dessus. Peut-être que je devrais prendre quelques jours de vacances, ça me fera du bien de m’éloigner de tout ça.
- Et qui c’est, tu pourras peut-être faire des rencontres, fit Mélanie.
- Oh non, je vais mettre les hommes de côté un bon moment et me recentrer sur moi et ce que je veux vraiment dans la vie. Après on verra, remarqua Samia.

Elle a raison... se recentrer sur ce qu'elle veut vraiment, il serait bien temps quand même non ?

Merci Babou et vite, la suite !

- Et qui c’est, tu pourras peut-être faire des rencontres, fit Mélanie.
- Oh non, je vais mettre les hommes de côté un bon moment et me recentrer sur moi et ce que je veux dans la vie. Après on verra, remarqua Samia.


Boher était dans une merde pas possible. Il fallait absolument qu’il trouve une solution. Mais qu’est-ce qu’il lui avait pris d’inventer cette histoire au lieu de dire la vérité : qu’il n’avait personne dans sa vie car la seule personne qu’il aimait c’était Samia.
- Et c’est qui cette fille, au juste, fit Julien quand boher lui eut raconté les dernières nouvelles.
- C’est une fille à papa, un rien snob et prétentieuse qui me cherchait à une époque, fit Boher.
- Elle est mignonne au moins, demanda Julien.
- C’est pas du tout mon genre, répondit Boher.
- T’as pris un sacré risque. Comme samia la connaît, si elle la rencontre elle va vite comprendre que tu lui as menti, remarqua Julien.
- Je sais. Je t’avais bien dit que je n’étais pas bon pour les mensonges, fit Boher.
- Pourtant, vous les aviez bien mené en bateau tes copines d’après ce que tu m’as raconté, observa Julien.
- Oui mais ce n’était qu’un demi-mensonge puisque j’étais déjà mordu d’elle. Et puis on était deux, c’est plus facile et plus réaliste, expliqua Boher.
- Je ne sais pas quoi te dire là. Au lieu d’arranger les choses, je dirais que tu les a compliqué au centuple, expliqua Julien.
- Je sais, ce n’est pas la peine de remuer le couteau dans la plaie, fit Boher.

Ils en étaient là de ces atermoiements quand son portable sonna. C’était Samia.
- Je ne dérange pas au moins, fit Samia.
- Non, pas du tout. Qu’est ce qu’il y a ? questionna Boher.
- Voilà, je vais m’absenter une semaine. Est-ce que c’est possible que tu gardes mahée ? demanda Samia.
- Bien sûr, fit Boher qui se demandait pour quelle raison samia partait une semaine.
- Tu ne veux pas demander à victoire avant, ajouta Samia.
- Non, elle sera ravie, elle l’adore mentit Boher.
- Je te pose mahée chez toi où tu viens la récupérer à la maison demanda Samia.
- Je passerais après le boulot si tu veux bien, fit Boher.
- A ce soir alors, répondit Samia avant de raccrocher.

- C’était samia, qu’est-ce qu’elle te voulait ? demanda Julien curieux. Rencontrer victoire ?
- Très drôle. Non, elle veut que je garde mahée tout la semaine parce qu’elle part, expliqua Boher.
- Avec ce bruno, ajouta Julien.
- Je ne sais pas, elle ne m’a rien dit, répondit Boher.

Julien avait peut-être raison, elle partait avec bruno. Il regrettait maintenant d’avoir dit oui aussi vite. M’ais d’un autre côté, cela lui laissait une semaine pour essayer de trouver une solution à l’imbroglio dans lequel il se trouvait. Non, tout compte fait, il se mentait, il était fou de rage à l’idée de les savoir ensemble seuls pendant une semaine.

Imbroglio c'est bien le mot ! quelle histoire ! mais quelle histoire !
Voilà où ça mène " l' orgueil " ( pas trouvé le mot juste )

La suite vivement !!! et merci

bohersamia a écrit:

Imbroglio c'est bien le mot ! quelle histoire ! mais quelle histoire !
Voilà où ça mène " l' orgueil " ( pas trouvé le mot juste )

La suite vivement !!! et merci

si si l'orgueil masculin je suis d'accord avec toi

Julien avait peut-être raison, elle partait avec bruno. Il regrettait maintenant d’avoir dit oui aussi vite. M’ais d’un autre côté, cela lui laissait une semaine pour essayer de trouver une solution à l’imbroglio dans lequel il se trouvait. Non, tout compte fait, il se mentait, il était fou de rage à l’idée de les savoir ensemble seuls pendant une semaine.


Cela lui fit bizarre de le voir frapper à la porte, il n’y a pas si longtemps, il était chez lui.
- Je t’ai préparé ses affaires, lui dit Samia.
Il lui trouva une petite tête :
- Tu es sûre que ça va, tu as mauvaise mine, lui demanda Boher.
- (ça se voyait tant que ça, elle n’arrivait toujours pas à se remettre de l’annonce de victoire et boher ensemble, elle ne dormait plus, elle ne mangeait plus) je suis un peu surmenée en ce moment, j’ai besoin de faire un break, de prendre du temps pour moi, expliqua Samia.
- Tu pars toute seule, je pensais que c’était une escapade avec Bruno, remarqua Boher.
- J’ai besoin de réfléchir et de savoir où j’en suis, continua Samia.
- Tu sais, si tu as des soucis, on peut en parler, dit Boher.
- (non, parce que c’est toi mon problème) je suis juste à un moment de ma vie où j’ai besoin d’y voir plus clair. Tout paraît si simple pour toi, mais moi, en ce moment j’ai plein de doutes, avoua Samia. (c’était le moment, il fallait lui avouer ses sentiments même si ….)- On a une fille merveilleuse, en bonne santé. Tu es une mère formidable. Tu n’as pas à douter de ça, fit Boher.
- Je me pose toujours plein de questions mais de ce côté, j’avance et je grandis avec elle. Non c’est plus……personnel. Je vais bientôt avoir 30 ans. Et je n’ai jamais eu d’histoire sérieuse. Je finis par me demander si ça ne vient pas de moi, avoua Samia.
- Je ne comprends pas fit un boher médusé. Je croyais que tu t’entendais bien avec Bruno, que ça devenait sérieux.
- Je le pensais aussi, mais j’ai du mal à me lancer dans une histoire avec lui. C’est compliqué. C’est allé trop vite sans que j’ai le temps de prendre du recul, expliqua Samia.

Boher hésitait. Il était peut-être temps de lui avouer ses sentiments. Mais il la voyait dans une telle détresse et comme il ne savait pas comment elle allait réagir, il ne voulait pas lui en rajouter alors il se tut.
- Je pense que tu réfléchis trop comme moi. Dans la vie, j’ai toujours préféré réfléchir au lieu d’agir et maintenant je le regrette. Je suis passé à côté de beaucoup de choses à cause de ça. (surtout de toi)
- Jusqu’à présent, mais maintenant tu es heureux, demanda Samia.
- Euh (c’était le moment où jamais, il fallait qu’il se lance) en fait…

Mais à ce moment-là quelqu’un frappa à la porte. C’était Luna qui venait pour l’emmener à l’aéroport :
- Excusez moi mais j’ai la désagréable impression de vous avoir dérangé, fit-elle.
- non, pas du tout, se reprit Boher (voilà le destin avait décidé pour lui, il ne devait rien lui avouer)
- mes valises sont prêtes, je n’ai plus qu’à dire au revoir à ma fille. Et elle partit chercher sa fille.

- Qu’est ce qui se passait ? l’interrogea Luna inquiète.
- Je me fais du souci pour Samia. Elle ne va pas bien. Elle broie du noir alors que je pensais qu’elle était heureuse avec ce bruno. Elle a du mal à franchir le cap des 30 ans et pense qu’elle est passée à côté de sa vie.
Mais comment pouvait-il lire à cœur ouvert dans samia, la comprendre aussi bien et ne pas réaliser qu’elle était folle de lui. Est ce que c’était à elle de lui ouvrir les yeux. Peut-être, parce que jamais samia ne le lui dirait.

Mais samia arriva sur ses entrefaites avec sa fille. Elle déposa un baiser sur la joue de boher.
- Ne t’en fais pas pour moi, je vais profiter à fond de mes vacances pour m’occuper de moi et revenir en pleine forme, lui promit-elle.
- Alors profites en bien, répondit Boher.