Pair, impair, manque et passe....

vous allez voir je peux encore être très sadique avec nos deux chouchous et leur mettre plein de bâtons dans les roues avant qu'ils n'arrivent à se retrouver (mais à la fin seulement comme d'hab).
Devinez qui revient ?

Pas d’importance, dans quelques moments, ils seraient réunis tous les trois pour commencer leur nouvelle vie. Avant tout, il fallait qu’ils se fassent muter. Samia aimait bien sa ville, il suffirait qu’ils aillent dans un autre quartier. Puis ils se trouveraient un appart. Pour la suite, on verrait bien.

Ch.39 Le retour

Elle était en train de fermer la porte à clef quand elle vit un vieil homme s’approcher d’elle. Qu’est ce qu’il lui voulait ? Il la regardait fixement et Bonnie encore plus. Elle commençait à paniquer quand elle reconnut ses yeux. Elle rouvrit vite la porte pour le faire rentrer à l’intérieur. Elle l’avait reconnu, c’était zeko le père de sa fille.

- Mais qu’est ce que tu fais là ? demanda Samia.
- J’ai rencontré des gens dans un village qui m’ont parlé d’une magnifique jeune femme avec un bébé qui me recherchait alors j’ai suivi ta trace jusqu’à Marseille et dès que j’ai pu venir te rejoindre sans problème, je suis venu. Et me voilà fit il en voulant la prendre dans ses bras.
Mais elle le repoussa.
- C’est un peu tard, tu ne croies pas s’indigna Samia. Je t’ai cherché pendant des mois au Brésil. Et tout à coup tu réapparais.
- Je viens juste d’apprendre que tu me cherchais répondit zeko. Excuse-moi, mais je t’ai proposé de t’enfuir avec moi. C’est bien toi qui n’as pas voulu.
- Ah c’était malin, de me laisser la boucle d’oreille avec le mot expliqua Samia. Tu te rends compte que j’aurais pu perdre mon travail.
- Il est magnifique ce bébé dit zeko en changeant de sujet de conversation. Comment s’appelle-t-elle mais quand zeko fit mine de s’approcher d’elle, Bonnie détourna la tête.
- Elle s’appelle Bonnie répondit Samia.
- Comme dans Bonnie et Clyde. C’est un joli prénom. C’est ma fille n’est-ce pas sinon, tu n’aurais pas parcouru tout le brésil avec elle à ma recherche questionna Zeko.
- Oui avoua t-elle. C’est ta fille et elle vient juste d’avoir un an.
- Déjà un an s’étonna Zeko. En tous cas, elle est magnifique. Elle te ressemble beaucoup c’est normal.

Non, il ne fallait pas qu’elle tombe dans le panneau. Déjà la dernière fois, elle s’était fait avoir par ses talents de séducteur. Elle mit de la distance entre eux.
- Ne t’approche pas, Sofiane lui ordonna Samia.
- On dirait que tu as peur de moi s’interrogea Zeko.
- Non, mais je te connais, le contredit Samia. Et puis je ne suis pas seule enfin pas tout à fait.
- Ah bon, tu n’es pas sûre lui demanda Zeko.
- Si j’en suis sûre, répondit Samia. C’est juste que c’est compliqué en ce moment.
- Et qui est l’heureux élu ? questionna Zeko.
- Tu le connais, c’est mon coéquipier Boher expliqua Samia.
- Celui qui était jaloux et qui nous surveillait au restaurant se rappela Zeko.
- Oui, répondit Samia.
- Mais tu ne l’aimais pas, à l’époque, au contraire même se souvint Zeko.
- Eh bien les choses ont changé expliqua Samia. D’ailleurs je m’apprêtais à le rejoindre avec Bonnie.
- Oh vous ne vivez pas ensemble s’étonna Zeko. J’ai encore toutes mes chances, c’est tout beau, tout neuf.
- Non, ça date de longtemps mais c’est une longue histoire ajouta Samia.
- J’ai tout mon temps fit Zeko en s’installant dans le canapé.
- Tu ne peux pas rester ici le reprit Samia. La police te recherche toujours pour le vol de bijoux.

Zeko lui raconta alors sa cavale et sa vie au Brésil. D’après lui, il était rangé, il était devenu un propriétaire terrien assez riche avec une magnifique hacienda au bord de la mer. Il avait changé de nom. C’est pour ça qu’elle n’avait pas réussi à le retrouver. Et puis elle ne l’avait pas cherché au bon endroit donc personne n’avait pu le reconnaître. Il avait changé sa physionomie et ne ressemblait guère à sa photo. C’est en faisant un voyage d’affaires qu’il était tombé sur cette histoire d’une française à la recherche de son amoureux.

Le téléphone l’interrompit. C’était Boher qui s’inquiétait de ne pas les voir arrivées, elle et sa fille.
- Oh pardon. Je t’avais oublié. Je ne pourrais pas venir ce soir s’excusa Samia.
- Qu’est ce qui se passe ? demanda Boher inquiet.
Elle ne pouvait pas lui dire au téléphone que zeko était de retour.
- J’ai besoin d’être un peu seule pour digérer tout ça. Tu me comprends demanda Samia.
- Non, mais je peux l’accepter dit Boher. Vous me manquerez toutes les deux. Embrasse très fort Bonnie pour moi.
- Tu es un ange. A demain conclut Samia
- Je t’aime samia fit Boher.
- A demain dit Samia.

Zeko n’avait pas perdu une miette de sa conversation avec Boher.
- Alors il s’inquiétait pour toi. Et pourquoi tu ne lui as pas dit que j’étais là s’interrogea Zeko.
- Parce que tu vas repartir comme tu es venu le reprit Samia.
- Oh non, répliqua Zeko. J’ai une fille et je compte bien rester à Marseille pour apprendre à la connaître. J’ai déjà assez de retard comme ça à combler.
- Mais tu es recherché, comment vas-tu faire ? continua Samia. Elle ne s’inquiétait pas pour lui mais c’était tout de même le père de sa fille.
- Comme j’ai toujours fait, en me débrouillant ajouta Zeko.
- Je veux bien que tu dormes ici ce soir sur le canapé proposa Samia. Mais demain, à la première heure tu déguerpis.
- Peut-être que tu ne diras plus ça demain matin tout en s’approchant d’elle lui dit Zeko.
- Bas les pattes le repoussa Samia. J’aime Jean-Paul et je ne vais pas le trahir pour tes beaux yeux mets toi bien ça dans le crâne.
- Je te trouve bien agitée. Je te fais encore de l’effet ? demanda Zeko.
- Bonne nuit en le laissant seul dans le salon fit Samia.
Dans son dos, elle l’entendit qui riait à ses dépens. Dans quel merdier s’était-elle encore mise ?

ah non le retour du cheval
fait le disparaitre vite vite

Dans quel merdier s’était-elle encore mise ? ça c'est ben vrai
Je suis d'accord avec Nanou , qu'il digageee !
La suite ! La suite ! La suite !

ah nan hein Babou dis nous qu'il va dégager ? Nos chouchous n'ont même pas eu le temps de roucouler qu'il se pointe déjà le cheval !

Dans son dos, elle l’entendit qui riait à ses dépens. Dans quel merdier s’était-elle encore mise ?


Elle dormait encore quand elle entendit le bruit de la douche. Elle mit du temps à réaliser que c’était Zeko sous la douche. Elle avait trouvé le sommeil tard dans la nuit et elle était encore dans les vapes. Elle prit Bonnie qui était aussi réveillée dans ses bras puis elle lui prépara son biberon. Il avait dû traverser sa chambre pour aller dans la salle de bains. Il fallait vraiment qu’elle arrive à le faire partir avant que Boher ne l’apprenne. Mais elle réalisa vite que c’était trop tard quand elle entendit frapper à la porte.
- J’ai vu de la lumière alors je suis entré dit il tout en l’embrassant. Il embrassa aussi Bonnie. Ça va mieux ce matin.

Comme elle ne répondait pas, il continua
- Je t’ai apporté des croissants continua Boher. On dirait que ça ne te fait pas plaisir de me voir.

Elle ne put lui répondre car Zeko apparutle corps encore humide de la douche, avec pour seul vêtement une serviette autour des reins.
- Ce n’est pas du tout ce que tu crois dit elle quand elle vit, le regard de boher aller de zeko à elle. Il a retrouvé ma trace et il est venu faire la connaissance de sa fille.
- Il est là depuis quand demanda Boher.
- Bonjour brigadier boher. Je suis très heureux de vous revoir fit Zeko apparemment très amusé.
- C’est lieutenant Boher. Et je ne peux pas en dire autant rétorqua Boher.
- Il est arrivé hier soir répondit enfin Samia.
- Alors quand je t’ai eu au téléphone, il était déjà avec toi comprit Boher. Vous n’avez pas mis longtemps pour retrouver le chemin de son lit.
- Oui et j’ai passé une merveilleuse nuit mentit Zeko.
- Ne l’écoute pas, ce n’est pas vrai nia Samia. Il a couché seul en jetant un regard noir à Zeko, sur le canapé.
- Alors pourquoi m’as-tu caché la vérité hier ? questionna Boher
- Je préférais te l’annoncer de vive voix pour te préparer à la nouvelle, expliqua Samia.
- Et qu’est ce qu’il fait à moitié nu au milieu de ton salon demanda Boher.
- Il sort de la douche, tu vois bien répliqua Samia.
- N’oublie pas qu’il faut traverser ta chambre pour accéder à la salle de bains dit Boher. Ne me prends pas pour un imbécile. Quand je pense que j’ai quitté Mélanie pour toi, que je l’ai fait souffrir, que je me suis fâché avec ma famille, que tout le monde me regarde de travers comme avant. Et toi deux jours plus tard, tu me trompes avec lui.
- Mais je n’ai rien fait. A qui tu téléphones là ? demanda Samia.
- A Léo, répondit Boher. Sofiane Zeko, je vous arrête pour vol et cambriolage.

et là c'est le drame !
t'es vraiment sadique. mais j'adore
je pense que si boher arrête "l'autre dont je ne dirais pas le nom" maintenant, samia ne va pas apprécier parce qu'après tout c'est le père de sa fille. l'autre-là va lui faire son grand jeu et elle va tomber dans le panneau. il faut qu'elle arrête une bonne fois pour toute avec ce type. sa vie n'est pas avec lui mais avec boher.
comme il le dit si bien : Quand je pense que j’ai quitté Mélanie pour toi, que je l’ai fait souffrir, que je me suis fâché avec ma famille, que tout le monde me regarde de travers comme avant. Il dit ça sur le coup de la colère mais faut pas qu'il lache l'affaire. il aura pas fait tout ça pour ça.
tu nous fait souffrir mais c'est pour mieux nous faire partager la joie de leur retrouvaille après.
vivement la suite

Le Zecco en prison ! .......
Chouchou arrête de t'imaginer de vilaines choses , y-a rien eu , elle est folle de toi et pas de ce voleur escroc et manipulateur .
La suite !!! et pas trop de sadisme steplait , je sais qu'il en faut un peu mais le retour de l'autre là c'est juste......... insupportable .....et si en plus chouchou se fait des films c'est la ......... ben c'est la cata

ro bah nan Babou ! Encore du sadisme

Bon très boh'ne idée de mettre zecco en prison...qu'il débarasse le plancher !

- Mais je n’ai rien fait. A qui tu téléphones là ? demanda Samia.
- A Léo, répondit Boher. Sofiane Zeko, je vous arrête pour vol et cambriolage.


- Mais tu es ignoble, lui hurla-t-elle dessus, tu es un vrai salaud. Comment as-tu pu me faire ça ? Pense à bonnie. Elle a retrouvé son père. Elle avait la chance d’apprendre à le connaître et toi tu l’envoies en prison.
- Et toi, tu as pensé à moi cette nuit quand tu as couché avec lui, lui rétorqua Boher.
- Mais puisque je te dis qu’il ne s’est rien passé, se répéta Samia.
- Bien sûr prends moi pour un con aussi, répondit Boher.
- Oh oui tu n’es qu’un pauvre petit con, répliqua Samia.

Et elle le mit à la porte de chez elle. Puis elle s’effondra par terre derrière la porte en pleurant toutes les larmes de son corps. Comment sa vie avait-elle pu basculer comme ça en quelques heures ? Heureusement qu’elle avait enfin vu ou plutôt revu Boher sous son vrai visage avant d’avoir fait sa vie avec lui. Quelle conne !

Elle se rendit au commissariat après avoir déposé sa fille à la crèche.
- Qu’est ce qui va se passer maintenant ? demanda-t-elle à Léo.
- Pour l’instant, il est en garde à vue pour 24 heures. Après on verra, lui dit Léo.
- Qu’est ce que vous avez contre lui ? demanda Samia.
- Ecoute je ne peux pas et je ne veux pas t’en parler. Mais sache qu’il a besoin d’un avocat et d’un bon, répondit léo.

Samia croisa Boher dans les couloirs et lui lança un regard noir et furibond.
- Ne m’adresse plus jamais la parole, lui lança-t-elle. Je ne te pardonnerai pas ce que tu viens de me faire. Et elle partit en claquant la porte du commissariat.

- Une vraie tigresse, hein, répliqua Léo en regardant Boher.
- Oh ! la ferme. Il a avoué ou pas. Laissez-moi l’interroger demanda Boher
- Jamais et surtout pas dans l’état où vous êtes, répondit Léo. D’ailleurs vous n’êtes pas de service, vous êtes censé être en voyage de noce.
- Ah je suis mort de rire, répliqua Boher. Merci de remuer le couteau dans la plaie. Sérieusement qu’est ce qu’on a contre lui ?
- On sait qu’il était présent à Marseille, expliqua Léo. Sa morphologie correspond à celle du voleur mais on ne voit pas son visage sur la caméra comme il était déguisé. Le fait qu’il ait disparu de la circulation le lendemain du vol pèse en notre faveur. Mais tout ceci est très mince.
- Et la boucle d’oreille ? demanda Boher.
- Quelle boucle d’oreille ? rétorqua Léo.
- Vous vous rappelez bien, celle que zeko avait envoyée en guise d’adieu à Samia, raconta Boher.
- Oh je l’avais oubliée celle-là, répondit Léo. Bravo inspecteur. Allez me la chercher dans les scellés.
- Je croyais que j’étais en vacances, répliqua Boher.
- Et bien, on est en sous effectif alors vous reprenez, ajouta Léo.
- Bien , lui répondit Boher. Dès que j’ai quelque chose, je vous tiens au courant. Ça peut me prendre du temps car ça date de presque deux ans.
- Vous n’avez plus que 20 heures pour la retrouver cette foutue boucle d’oreille, continua Léo. Après la garde à vue sera finie et on sera obligé de le relâcher.

et comme par hasard il ne va pas retrouver cette fichue boucle d 'oreille et l'autre il sera relaché. un vrai cauchemar ce type.
vivement la suite

t'es encore plus dur que les scénaristes Babou lol

J'ai l'impression de revivre l'intrigue de la flèche blanche : un bisou puis plus rien !

J'espère que le cheval va rester en prison. Je n'ai pas envie que Samia se remette avec lui....

Chouchou a besoin d'aide ? retrouvée la boucle !




La suite ! La suite ! La suite !

Chantal !

t'est sur que tu ne fait pas parti des scenariste
t'est aussi mechante qu"eux
vivement la suite

- Vous n’avez plus que 20 heures pour la retrouver cette foutue boucle d’oreille, continua Léo. Après la garde à vue sera finie et on sera obligé de le relâcher.


Boher eut beau chercher cette boucle d’oreille tout l’après-midi, il ne réussit pas à mettre la main dessus. Sans ce bijou, ils auraient beaucoup de mal à pouvoir contraindre zeko à avouer le vol de la bijouterie. ça le mettait en rogne. Et puis il n’y avait pas que ça. Depuis que zeko était revenu, il se sentait dépossédé de sa vie, dépossédé de son amour pour samia et aussi pour Bonnie. Maintenant que son père était apparu dans sa vie, il n’y avait plus sa place. Et ça le faisait souffrir au plus profond de lui.

De retour au commissariat, il alla voir Léo pour lui parler de sa recherche infructueuse.
- Ce n’est pas grave, on va pouvoir continuer à chercher. Avec le casier qu’il a et le fait qu’il ait disparu peu de temps après le braquage, le procureur a prolongé la garde à vue. Par contre zeko a demandé à voir un avocat. Il ne nous dira rien. Il n’y a plus qu’à espérer qu’on la retrouve cette putain de boucle d’oreille. Je viens avec vous.

Et ils partirent tous les deux accompagnés de Jeff. Ils ne seraient pas trop de trois pour chercher dans toutes ces étagères et ces cartons.

Pendant ce temps, Samia était rentrée chez elle après avoir récupéré Bonnie. Elle ne savait plus où elle en était avec zeko et surtout avec Boher. Bien sûr elle avait surréagi en s’énervant autant sur Boher. Mais le retour de zeko l’avait perturbée et le fait que Boher n’ait pas assez confiance en elle pour la croire l’avait stressée. En plus, il n’avait rien trouvé de mieux que d’arrêter zeko.

Mais en y réfléchissant, elle commençait à admettre que lui aussi avait fait ça par amour pour elle et aussi pour sa fille. Elle pouvait comprendre dans quel état ça l’avait mis de voir zeko chez elle. L’erreur qu’elle avait faite c’est de ne pas dire à boher quand il avait appelé l’autre soir que zeko était revenu. Mais on ne pouvait pas refaire le monde sinon ça se saurait. Maintenant, il fallait qu’elle fasse le point. Après, elle chercherait une solution à tout ça. Elle alla donner son bain à sa fille avant de la faire manger et de la border. Mais elle devait sentir les remous autour d’elle car elle ne voulait pas s’endormir. Samia pensa à appeler Boher. Peut-être que sa voix calmerait sa fille. Quand elle était plus petite, avant qu’elle parte, ça marchait.

- Boher, c’est moi. Ecoute Bonnie est perturbée par tout ça. Ca fait deux heures que j’essaye de l’endormir et je n’y arrive pas.
- Ok, j’arrive, répondit Boher sans hésiter un instant.
ça prouvait, si elle en doutait encore que Bonnie comptait beaucoup pour lui. S’il arrivait à endormir Bonnie, après elle essaierait d’avoir une conversation avec lui.

- Je vous laisse une ou deux heures, j’ai un problème à régler, demanda Boher à Léo.
- Vous n’êtes pas très efficace, alors ça ne va pas changer grand-chose. Allez discuter avec Samia. Réglez vos problèmes quels qu’ils soient. Et puis revenez nous aider.
- Merci, Castelli, répondit Boher. Je vous revaudrais ça.
Il espérait aussi que ça aille mieux entre Samia et lui, mais ça risquait d’être compliqué.

ah super merci Babou !

Vivement la confrontation ^^

Je viens de tout rattraper, j'adoreee toujours.



J'espère que cette confrontation va arranger les choses.

J'ai hâte de lire la suiteee, s'il te plaît !


Gros à toi.

ça va s'arranger ? ..... j'espère !
Vivement la suite !!!

vivement la suite

moi je dis : Vivement la suite ! J'adore

- Merci, Castelli, répondit Boher. Je vous revaudrais ça.
Il espérait aussi que ça aille mieux entre Samia et lui, mais ça risquait d’être compliqué.

Ch.43 besoin de toi, envie de toi

Boher frappa à la porte de Samia, à peine moins de quinze minutes plus tard. Samia avait Bonnie dans ses bras. Elle essayait de la bercer pour l’endormir mais Bonnie hurlait à plein poumons.

- Et alors petite fille, dit-il à Bonnie en la prenant dans ses bras et en s’asseyant sur le canapé. Qu’est-ce que tu nous fais comme caprice, là ?
- Elle a bu son biberon. Elle est changée. J’ai pris sa température, elle n’en a pas. Je suis à bout, craqua Samia.
- Ecoute, va prendre une douche, proposa Boher. Pendant ce temps, je m’occupe d’elle.
- Merci, répondit Samia en l’embrassant sur la joue au coin de la bouche. Puis elle se dirigea vers la salle de bain.

- Et maintenant, mademoiselle, à nous deux, dit Boher.

Bonnie le regardait droit dans les yeux et s'arrêta de pleurer.

- Tu es très intelligente. Tu comprends beaucoup de choses et qui ne sont pas de ton âge en plus. Ce que je peux te dire, c’est que je t’aime et que je ferais toujours partie de ta vie. Ta mère aussi t'aime beaucoup. Alors même si ton père est revenu, aie toujours confiance en mon amour pour toi. Maintenant, on va dans ta chambre, je te raconte une jolie histoire de princesse et puis on verra bien.

Il se coucha dans le lit de Samia avec Bonnie à côté de lui et il commença de lui lire l’histoire de cendrillon. Quand Samia revint dans la chambre, elle les trouva tous les deux endormis dans son lit. Elle prit la petite fille dans ses bras, sans trop la secouer et la borda dans son lit. Puis elle s’allongea auprès de Boher, mit son bras derrière son cou et se lova contre lui. Elle avait besoin de le sentir contre elle pour pouvoir retrouver son calme. Elle avait besoin de sa force pour vaincre tous ses doutes. Elle avait besoin de son amour pour déplacer les obstacles qui se dressaient autour d’eux. Et elle s’endormit.

Quand Boher se réveilla dans la nuit. Il eut la surprise de se retrouver auprès de Samia. Ils étaient enlacés, leurs jambes étaient entremêlées. Il se glissa subrepticement hors du lit. Oui, elle l’aimait toujours et lui aussi, et il allait le lui prouver. Il s’habilla sans faire de bruit, l’embrassa délicatement sur la bouche, recouvrit Bonnie qui s’était découverte et l’embrassa elle aussi mais sur le front. Puis il quitta l’appartement.

Il retrouva Jeff et Léo au milieu des archives et des cartons. Ils avaient bien avancé mais sans succès.

- Il ne reste plus qu’une dizaine de cartons et on aura fini les archives de 2008, expliqua Léo.
- Vous n’avez qu’à rentrer, je vais finir tout seul, proposa Boher.
- Vous avez raison, on a un coup de mou, répondit léo. On va se coucher quelques heures et si vous ne l’avez pas encore trouvée, on revient vers 7h.
- D’accord, si je la retrouve avant je vous laisse un message au commissariat, dit Boher.
- Dès que je suis réveillé, j’appelle le commissariat, et si vous n’avez rien trouvé, je viens vous relever, répliqua léo.
- A tout à l’heure, en espérant que j’aurais plus de chance que vous.
- Au fait je ne vous ai pas demandé, vous avez pu régler vos problèmes avec Samia.
- Je crois que c’’est en bonne voie, merci, dit Boher.
- Alors je suis content pour vous deux, ajouta Léo avant de partir avec Jeff dormir quelques heures.

Quand Samia se réveilla, elle sentit que la place était froide à côté d’elle. Boher s’était levé depuis longtemps. Elle avait fait un rêve merveilleux : Bonnie, Boher et elle sur une plage en Normandie. Ils étaient assis entrelacés avec un bébé dans les bras à regarder Bonnie faire un château de sable, le soleil se couchait. C’était un tableau idyllique. Elle avait même encore le sourire aux lèvres quand elle se réveilla. Elle aimerait bien croire à un rêve prémonitoire mais il fallait laisser les rêves à leur place et planter ses deux pieds dans la réalité. Où en était sa relation avec Boher ? Quelle place pouvait-elle donné à zeko dans sa vie et dans celle de sa fille ?

Que va faire chouchou pour prouver son amour à Samia ? aider Zecco ? euh .....
Merci Babou pour cette très jolie scène .

Que va t-il faire Chouchou ? tu m'intrigues là...

Quand Samia se réveilla, elle sentit que la place était froide à côté d’elle. Boher s’était levé depuis longtemps. Elle avait fait un rêve merveilleux : Bonnie, Boher et elle sur une plage en Normandie. Ils étaient assis entrelacés avec un bébé dans les bras à regarder Bonnie faire un château de sable, le soleil se couchait. C’était un tableau idyllique. Elle avait même encore le sourire aux lèvres quand elle se réveilla. Elle aimerait bien croire à un rêve prémonitoire mais il fallait laisser les rêves à leur place et planter ses deux pieds dans la réalité. Où en était sa relation avec Boher ? Quelle place pouvait-elle donné à zeko dans sa vie et dans celle de sa fille ?


Comme Léo n’eut pas de nouvelles de Boher. Il le rejoignit. Ils eurent beau chercher cette boucle d’oreille ; ils ne la trouvèrent jamais. Et ils durent libérer zeko car sans preuve irréfutable, ils ne pouvaient plus rien faire.

- Je ne comprends pas comment cette boucle d’oreille a pu disparaître comme ça, demanda Léo.
- Vous savez, il y avait beaucoup de choses contre nous, expliqua Boher. ça fait déjà deux ans, de plus de mémoire, cette boucle d’oreille était vraiment petite, elle a pu se glisser n’importe où. Ces cartons n’arrêtent pas d’être déplacés pour faire le plus de place possible d’une année sur l’autre. Alors au bout d’un moment, ça devient compliqué. Depuis le départ, la probabilité qu’on la retrouve était mince, on n’a pas la chance avec nous, c’est tout.
- J’aurais bien aimé le coincer ce type, dit Léo.
- Et moi, donc, il nous avait bien roulés dans la farine avec le déguisement de prêtre qu’il s’était fait livré. On l’attendait à l’expo pendant qu’il braquait une bijouterie à l’autre bout de Marseille. En plus, il a vraiment fait souffrir Samia. Elle avait morflé quand elle avait compris qu’il s’était foutu d’elle aussi.
- Oui, je m’en rappelle, se rappela Léo. Peut-être qu’on pourrait la faire témoigner.
- Je ne pense pas qu’elle serait d’accord, répondit Boher. En plus ce ne sera ne sera pas une preuve suffisante, n’importe quel avocat pourra réfuter son témoignage.
- Vous avez sûrement raison, admit Léo. Il va falloir se faire une raison.

Boher hésitait à aller voir Samia. Zeko s’y trouvait sûrement. C’était à Samia de faire le premier pas. Il allait retourner à son hôtel.

ET il avait bien eu raison, dès sa sortie du commissariat, zeko s’était rendu chez Samia.
- Ils t’ont relâché, demanda Samia.
- Comme tu vois, répondit Zeko. Ils cherchaient la boucle d’oreille que je t’avais laissée avec le billet d’avion. Je pense qu’ils ne sont pas arrivés à y mettre la main dessus puisqu’ils m’ont libéré.
- C’est mieux ainsi. C’est vieux tout ça. En tous cas, je suis contente qu’ils ne l’aient pas retrouvée car j’aurais culpabilisée.
- Tu sais je ne t’en veux pas d’avoir rendu la boucle d’oreille au commissariat lui dit Zeko. Tu n’avais que ça à faire puisque tu avais décidé de rester. Mais j’étais sûre que tu m’aimais assez pour disparaître avec moi au Brésil. Je me suis trompé.
- J’étais vraiment à deux doigts de le faire lui avoua Samia. Quand j’ai donné la boucle d’oreille à Boher et qu’il m’a dit à lundi. Je me rappelle lui avoir répondu que je partais passer les vacances de Noël chez mes parents en Algérie. Mais à ce moment précis, je ne savais pas encore si à l’aéroport, j’embarquerais pour l’Algérie ou pour le Brésil.
- Tu m’aimais assez pour hésiter, demanda Zeko.
- Tu en doutais lui demanda Samia. Bien sûr que je t’aimais. Mais tu m’as fait souffrir à me berner comme ça. A l’aéroport, j’ai vu une famille devant qui se disait au revoir avant de prendre l’avion. Et quand j’ai pensé que si je te rejoignais, je serais une fugitive toute ma vie, que je ne pourrais jamais revoir mes parents. revenir sur Marseille, faire mon métier de flic…mes parents avaient déjà perdu un fils je ne pouvais pas leur faire ça.
- Si je n’avais pas fait ce dernier coup, on serait encore ensemble, s'interrogea Zeko.
- Et on aurait pu être heureux avec nos enfants, ajouta Samia.
- Tu veux d’autres enfants, demanda Zeko.
- Non, avec toutes ces histoires, je n’ai pas pu te parler de Sofiane. En fait, j’étais enceinte de jumeaux. Mais pendant la grossesse, il y a eu un problème et …. Elle s’arrêta de parler sous le coup de l’émotion.
Puis elle se reprit :
- Son petit cœur s’est arrêté de battre et il s’est éteint. Mais il est là tout au fond de mon cœur pour toujours. Il n’y a pas un jour qui passe sans que je pense à lui avoua Samia.
Sofiane était ému lui aussi.
- Tu lui as donné mon nom demanda Zeko.
- C’était ton fils dit Samia. Si tu veux, on peut aller sur sa tombe cet après-midi.
- J’aimerais beaucoup. Je suis vraiment désolé que tu aies dû subir tout ça toute seule et il la prit dans ses bras.
Ils avaient besoin de se consoler l’un l’autre de cette perte. Samia pleurait aussi sur cet amour perdu. Elle venait de comprendre qu’elle ne ressentait plus rien pour Zeko. C’était faux, elle n’avait pas été toute seule, boher avait toujours été là pour elle. C’était Boher l’amour de sa vie et avec Bonnie ils formeraient enfin une vraie famille pour le meilleur cette fois.

Toujour aussi bien cette suite
vivement la prochaine

Merci pour cette belle suite babou