une envie irrésistible (terminée)

Grosse pointe de jalousie à l'horizon, et des deux côtés !
Vite, la suite !

Merci pour la suite, M d r! Quand vont t-ils enfin comprendre qu'ils s'aiment l'un et l"autre, ya pas photos avec leur jalousie de chaque côtés!
J'aime ta fic, une suite

Ha ha ha ! la jalousie pointe son nez ! yesss !!!
Allez les amoureux sortez les griffes et les crocs ! Y-en a bien un qui va comprendre .... non ?

Samia de son côté avait continué la conversation avec Bruno et ne s’était aperçu de rien. Ce n’est que lors du retour dans la voiture qu’elle se rendit compte d’un malaise grandissant. Il avait l’air tellement énervé et bougon qu’elle préféra le laisser ruminer plutôt que de s’en prendre plein la tête.


Samia avait trouvé Boher très bizarre toute la semaine. Il était beaucoup plus présent. Ils avaient mangé presque une fois par jour ensemble. Soit à midi, soit le soir selon leur emploi du temps. Ce qui n’était pas arrivé depuis très longtemps. Il n’arrêtait pas d’être aux petits soins pour elle comme quand elle était enceinte. Elle avait un sentiment bizarre qu’il l’espionnait et voulait savoir sans arrêt où elle était et ce qu’elle faisait. Si elle ne rentrait pas de suite du travail, il voulait savoir ce qu’elle avait fait. Elle n’avait pas osé en parler à ses copines car elles allaient se moquer d’elle ou inventer dieu c’est quoi. Elle avait l’impression qu’il était devenu possessif à son égard comme jaloux. Mais jaloux de quoi et de qui surtout puisqu’il n’y avait que Mahée et lui dans sa vie. Et puis pour être jaloux, il aurait fallu qu’il ait aussi des sentiments pour elle ce qui n’était pas le cas. Il avait même changé ses jours pour aller aux bébés nageurs avec elle et Mahée le week-end prochain.
Boher n’arrivait pas à s’enlever de la tête ce bruno. Il avait sans arrêt l’image de Samia qui le regardait et qui lui souriait. Il ne pouvait pas la laisser se rapprocher d’un mec comme ça. Il fallait qu’il se calme car il devenait jaloux comme un pou. il n’y avait rien entre eux, enfin pas encore car il avait bien senti que de son côté à lui Bruno était intéressé par Samia. Ce qui lui faisait mal c’est que Samia semblait aussi intéressée par ce mec insignifiant et d’une platitude. Il était bof et beauf aussi. C’est pourquoi, il avait changé ses jours pour ne pas la laisser le samedi d’après, seul avec Samia. Il allait être sur ses gardes. Il avait essayé de savoir s’il avait contacté Samia mais il n’avait rien pu apprendre.
Le samedi arriva, Le mec tordu était bien là. Il fallait lui faire définitivement comprendre qu’il n’avait pas sa chance avec Samia. Mais par malchance, l’autre bonne femme le coinça entre un tapis et le toboggan. Il ne pouvait pas s’échapper, ni s’enfuir, en plus il avait Mahée dans les bras qui n’arrêtait pas de lui sourire et lui avait attrapé son collier. En ce moment c’était sa période bling bling, il fallait qu’elle attrape et mette à la bouche tout ce qui brillait. S’il faisait mine de partir, il allait l’étrangler. Bon, il fallait être plus intelligent qu’elle. Il fut sauvé in extremis par sa fille qui finit par lâcher le bijou et pleurer pour réclamer sa mère. Elle était où celle-là d’ailleurs, ben voyons en pleine discussion avec l’autre plouc. Il draguait ouvertement avec sa fille dans ses bras. Même lui, n’avait pas été aussi lâche pour avoir l’idée d’attendrir une femme en utilisant Mahée. De toute façon, la seule femme qu’il voulait attendrir vivait déjà sous son toit.

- Excusez moi si je vous dérange mais Mahée réclame sa mère, fit Boher.
- Oh mon amour, tu m’avais perdu tout en la prenant dans ses bras. Mais je n’étais pas loin, dit-elle en la consolant. J’étais avec Bruno et Camille, tu vois bien.
Dans les vestiaires, Boher crut entendre Bruno dire au revoir à Samia et lui dire à samedi. Pourtant c’était lui qui venait aux bébés nageurs samedi. Car Samia travaillait.
- Tu as changé tes jours, tu viens avec nous samedi, demanda perplexe Boher.
- Non, en fait…. Mais Samia n’osait pas dire la suite….Bruno m’a invité au restaurant samedi soir comme c’est le week-end où il n’a pas sa fille. Tu pourras garder Mahée.
- Bien sûr avec un hoquet de surprise. Alors là c’était la meilleure, elle avait un rendez-vous galant avec ce mec ringard au possible. Ce n’était pas du tout son genre.
- Alors c’est parfait, répliqua Samia.

Oh nan ! Tu nous tortures Babou ! Samia va au resto avec un autre mec, c'est pas possible, là elle m'énerve ! En même temps, dans mon légendaire optimisme je me dis qu'en étant avec un autre mec elle va se rendre compte qu'elle rêverait d'avoir ce genre de rendez-vous avec Boher et qu'elle n'a que lui dans la tête, dans le coeur et dans la peau !
Ou alors Boher va à son tour essayer de la rendre jalouse ?

Quoiqu'il en soit, j'attends la suite avec impatience...
Merci pour ta fic, elle est géniale et je suis ravie que tu sois aussi productive ces derniers temps Babou.

j'adore

merci éléa moi aussi je suis contente que l'inspiration soit revenue. je reprends du plaisir à écrire quand ça vient tout seul ou presque.


- Bien sûr avec un hoquet de surprise. Alors là c’était la meilleure, elle avait un rendez-vous galant avec ce mec ringard au possible. Ce n’était pas du tout son genre.
- Alors c’est parfait, répliqua Samia.


Samia n’avait pas forcément craqué sur Bruno mais elle avait trouvé rassurant de savoir qu’elle pouvait encore plaire et être draguée. Et puis ça tordrait définitivement le cou aux rumeurs entre Boher et elle, deuxième avantage. C’est en voyant cette bonne femme avec Boher, qu’elle avait senti la jalousie montée et qu’elle avait préféré la mettre de côté et l’enfouir plutôt que de dévoiler à Boher des sentiments non partagés. Elle n’arrêtait pas de fantasmer sur Boher d’autant plus maintenant qu’ils vivaient ensemble, cette promiscuité envenimait les choses. Ça suffisait, elle avait envie et surtout besoin de passer à autre chose.

Elle avait enfilé une jolie petite robe blanche avec une tunique par-dessus. Elle avait attaché ses cheveux et attendait Bruno au café du mistral. Elle avait pensé que ce serait plus gérable sans Boher dans les pattes. Bien entendu, elle n’échappa pas à l’interrogatoire en règle.
- Tu attends Boher. Vous sortez en amoureux ? Mais qui te garde Mahée ? demanda Mélanie.
- C’est son père qui garde Mahée. J’ai un rendez-vous, expliqua Samia.
- Un rendez-vous de quoi ? l’interrogea perplexe Mélanie.
- Un rendez-vous avec un mec, répondit Samia.
- Mais je croyais que tu étais avec Boher.
- Je… ne…. suis…. pas ….avec …Boher. Ce soir, je vais au restaurant avec Bruno. Qui arriva juste sur ses entrefaites.
- Excuse-moi, un problème avec le boulot. Je suis désolé, ça fout mal pour une première sortie, dit gêné Bruno.
- Ne t’en fais pas, je viens juste d’arriver, mentit Samia. On y va en tirant Bruno par le bras pour sortir du café.

- Je le trouve très bien ce jeune homme, dit Roland.
- Un peu BCBG pour Samia, je trouve. Ce n’est pas du tout son genre affirma Mélanie.
- Tu es déçue parce que tu voulais les remettre ensemble, fit remarquer Thomas- Je croyais dur comme fer à eux. Ils sont trop bien assortis. Avant ils se dévoraient du regard quand l’autre ne le regardait pas ; ils se chamaillaient comme le font deux êtres proches ; ils ont eu un bébé ensemble quoi. Je suis trop triste. Je sens que je ne vais pas l’aimer celui-là.
- C’est pas parce qu’ils sortent ensemble qu’ils vont finir ensemble, dit Roland.
- J’espère bien. Boher aurait pu la rendre heureuse lui. Il doit être triste. Je vais passer le voir, proposa Mélanie.
- Et sous quel prétexte, demanda Thomas.
- Je ne sais pas, je trouverais bien, répondit Mélanie.

Mélanie sonna chez Boher en prétextant chercher Samia.
- Elle est sortie, dit laconiquement Boher.
- Oh. Elle va bientôt revenir, demanda Mélanie.
- Je ne sais pas, elle est allé au restau mais je ne sais pas lequel, fit Boher.
- Avec Luna alors. Elles auraient pu m’appeler, le reprit Mélanie.
- Non avec un homme. Elle ne t’a pas parlé de Bruno. Ce n’était pas si sérieux que ça alors si ses copines n’étaient pas dans la confidence pensa-t-il.
- Tu sais, je suis un peu débordée en ce moment avec le déménagement alors ça fait quelques jours que je ne l’ai pas vu et même eu au téléphone. Et toi ça va demanda Mélanie pour se rassurer.
- Oui, ça va. Je profite de ma fille, répondit Boher.
- Tu veux venir diner à la maison, proposa Mélanie.
- Non, vous êtes dans les cartons. Je ne veux pas vous déranger. Je dis à Samia que tu es passé demanda Boher.
- Non ce n’est pas la peine de la déranger pour si peu, je l’appellerais demain.
- Comme tu voudras, fit Boher.

- Non ce n’est pas la peine de la déranger pour si peu, je l’appellerais demain.
- Comme tu voudras, fit Boher.

Ch. 55 nouvelles fréquentations

Samia ne rentra pas trop tard, Boher était encore réveillé à regarder un vieux film à la télé.
- Mahée dort depuis longtemps, demanda Samia.
- Oui, elle s’est endormie facilement pour une fois expliqua Boher. Ta soirée s’est bien passée.
- Oui, le restau était sympa, même s’il était un peu guindé. C’était la première fois qui j’y allais.
- Tu es rentrée tôt, ajouta boher.
- Je n’ose pas te l’avouer, commença Samia.
- M’avouer quoi, dit Boher perplexe.
- Mahée me manquait, j’avais envie de la voir, avoua Samia.
- On va prendre nos marques petit à petit, dit Boher. Les autres y arrivent pourquoi pas nous.
- Tu as raison, fit Samia. A demain.
- A demain, dit Boher. Je baisse le son pour ne pas te gêner.
- Non, ça va comme ça. Samia avait besoin de le savoir à côté de lui. Elle devenait vraiment dépendante de lui. Sa soirée ne s’était pas si bien passé que ça ; elle avait certes pensé à Mahée, mais elle avait surtout pensé à Boher.

De son côté, le samedi suivant, Boher sortit avec de vieux copains qu’il avait perdu de vue depuis longtemps. Bien avant de travailler au mistral. Il s’était dit qu’une soirée avec Guillaume et Benoît n’arrangerait rien à son état d’esprit du moment avec leurs allusions. Il préférait sortir avec des gens qui ne connaissaient pas Samia. Au moins, on le laisserait tranquille une soirée entière. Il fallait vraiment qu’il trouve quelqu’un rapidement s’il ne voulait pas tourner la ciboule. Il avait engagé la conversation avec des femmes qu’il avait rencontrées mais il ne leur parlait que de Mahée et de Samia. Alors il les faisait fuir les unes après les autres.

- Ta façon de draguer est un peu bizarre, fit un de ces copains. Si tu n’arrêtes pas de parler d’une autre femme, tu n’attireras personne.
- Mais j’engage juste la conversation, répondit Boher.
- Tu plaisantes, quand tu parles de cette Samia ou de ta fille, tes yeux s’illuminent. Tu as l’air de gravement la kiffer, ajouta un autre de ces potes.
- Mais vous délirez complètement. C’est juste la mère de ma fille, s’énerva Boher.
- Si tu veux trouver quelqu’un, évite de parler d’elle. C’est un peu space tout ça expliqua son ami.

En rentrant chez eux, Boher réfléchit à tout ça. C’est vrai que d’habitude, il ne parlait pas de Samia car il faisait attention à ce qu’il disait, à ce qu’il faisait en sa présence, mais comme là, personne ne la connaissait, peut-être qu’il avait trop parlé d’elle. Et puis il avait perdu l’habitude de draguer. Avait-il même jamais su faire ? Il n’y avait qu’à voir ses histoires avec Armelle ou avec les précédentes. Et même avec Samia, il n’avait jamais pu lui avouer ses sentiments. Il n’était pas doué pour les relations humaines.
Le lendemain, Samia avait trouvé Boher assez triste et renfermé, elle n’avait pas osé le questionner sur sa soirée. S’il avait envie d’en parler, il le ferait.

Lol et ben c'est pas gagné. Hâte de voir comment ils vont s'ouvrir l'un à l'autre

Le lendemain, Samia avait trouvé Boher assez triste et renfermé, elle n’avait pas osé le questionner sur sa soirée. S’il avait envie d’en parler, il le ferait.


Samia était sorti encore deux fois avec Bruno mais elle n’avait toujours pas flashé sur lui. Elle aurait tellement voulu mais elle n’y arrivait pas. On ne pouvait pas contraindre son cœur à aimer un tel et pas un autre. Elle imaginait qu’à force de le connaître, elle allait avoir plus d’affinités avec lui.

Boher aussi, sortait plus souvent avec ses amis. Il avait compris la leçon et ne parlait plus de Samia. Par contre, il ne pouvait s’empêcher de s’extasier sur sa merveilleuse fille. Et de savoir qu’il avait une fille, ça suffisait à en faire fuir certaines.

Aucun des deux n’imaginait qu’au même moment, leurs deux amies faisaient des spéculations sur leur compte.
Mélanie était en pleine discussion avec Luna, ce matin là avant que celle-ci n’ouvre sa boutique.
- Je ne les comprends pas, dit Luna. Ils craquent l’un sur l’autre, ils ont une magnifique petite fille mais aucun des deux n’ose faire un pas vers l’autre.
- En plus, ils l’ont déjà fait le premier pas, puisqu’ils ont eu Mahée. Elle n’est pas née dans une rose que je sache, s’exclama Mélanie.
- J’en viens à me demander s’il ne se serait pas passer quelque chose de grave entre eux s’interrogea Luna.
- Qu’est ce qui a bien pu se passer ? demanda Mélanie.
- On ne sait pas exactement quand ils ont commencé à sortir ensemble, mais je pense qu’ils ne sont pas restés ensemble longtemps.
- Je pense qu’ils ont commencé à sortir ensemble à l’occasion de mon mariage. Quand on les a croisé dans l’ascenseur avec Benoit, ils faisaient une drôle de tête de coupable, se souvient Mélanie.
- Justement je me demande, s’ils n’auraient pas eu des problèmes de … compatibilité, demanda Luna.
- Quelle compatibilité ? questionna Mélanie. Je ne comprends pas.
- Je me dis juste que lorsqu’on se sépare il n’y a pas 36 raisons : soit on ne s’aime pas (et vu leurs regards, j’en doute), soit on ne s’entend pas (ils sont toujours fourrés ensemble), soit ça se passe mal au lit.
- Ah ça, fit Mélanie.
- Oui, je pense que ça se passait mal au lit et qu’ils ont préféré rester amis d’un commun accord. ça expliquerait pourquoi on a l’impression qu’ils s’aiment encore mais qu’ils ne sont plus ensemble expliqua Luna.
- C’est encore plus triste que je pensais alors, répondit Mélanie.
- J’en sais rien moi, je fais juste des suppositions, fit remarquer Luna.
- Qu’est ce qu’on peut faire pour eux ? Ils pourraient demander l’avis d’un sexologue. ça vaut peut-être le coup, proposa Mélanie.
- Tu nous vois dire à l’un ou à l’autre. Au fait, j’ai ‘adresse d’un bon sexologue, vous pourriez y aller pour régler vos problèmes, fit Luna.
- Tu as raison, mais tu ne m’enlèves pas de l’idée que c’est vraiment trop dommage pour lui et elle et pour leur fille.
- Qu’est ce qui tu penses de ce bruno. Samia m’a dit qu’elle sortait encore avec lui, vendredi soir, dit Luna.
- Je n’accroche pas trop. Mais je n’arrive pas à savoir ce qu’en pense Samia. Si c’est sérieux ou pas. Elle n’en parle pas beaucoup, expliqua Mélanie.
- Tu sais que Guillaume m’a dit que Boher de son côté aussi avait des rendez-vous galants, raconta Luna.
- Je sais, Benoit m’a dit qu’il avait décliné plusieurs de leurs propositions pour sortir seul de son côté, dit Mélanie.
- Finalement, ton histoire de sexologue, ils n’en ont pas besoin. Ils ont résolu le problème autrement, répliqua Luna.
- C’est quand même bien dommage, je trouve qu’ils formaient un si beau couple, j’aurais adoré être témoin à leur mariage, dit Mélanie avec regret.
- Alors là, il faudrait un miracle, conclut Luna.

Oui il faudrait un miracle ! ... avec ces deux têtes d'enclumes
Merci Babou ! Vivement la suite !!! .... et le miracle !

- C’est quand même bien dommage, je trouve qu’ils formaient un si beau couple, j’aurais adoré être témoin à leur mariage, dit Mélanie avec regret.
- Alors là, il faudrait un miracle, conclut Luna.


Samia, ce matin-là fut désemparée quand elle se rendit compte que Boher n‘avait pas couché chez eux. C’était peut-être le déclic nécessaire pour qu’il sorte enfin de son cœur. Elle téléphona à Mélanie pour savoir si elle pouvait garder Mahée ce soir comme Boher travaillait. Mélanie accepta même si elle nota une petite réticence dans sa voix. Puis elle appela Bruno à son travail pour lui proposer de venir manger chez elle. Il était enchanté de la proposition. Boher arriva sur ses entrefaites.

- Je suis désolé si je suis en retard. Tu attaques à quelle heure ? demanda Boher.
- Tu dois avoir la tête ailleurs, je ne travaille pas aujourd’hui, répondit Samia.
- Ah bon, j’ai dû oublier, fit Boher en regagnant son appart. On mange ensemble si tu veux.
- Si tu es fatigué, je comprendrais, dit Samia.
- Non, je prends juste une douche et je m’occupe de Mahée, proposa Boher.
- Ça tombe bien, j’avais des courses à faire. Je m’absente juste une petite demi-heure, dit Samia.

Samia n’arrêta pas de bougonner pendant qu’elle faisait ses courses. Mais avec qui sortait-il ? Elle espérait que ce n’était pas la blondasse de la piscine. Et puis en quoi ça la regardait. La seule solution qui s’offrait à eux c’est que chacun trouve quelqu’un pour s’épanouir enfin et être heureux. Elle allait donc préparer un super repas romantique à Bruno et on verrait bien ce qui se passerait.

Pendant le repas, Boher sentit bien une tension entre eux mais il ne comprenait pas pourquoi. Il était sorti la veille avec ses potes et avait fini chez l’un d’eux pour une interminable partie de poker. Ça faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé. Jouer toute la nuit avait au moins eu l’avantage de ne pas trop lui faire penser à samia. Il installa Mahée pour sa sieste. Il commença à regarder le journal télévisé mais il s’endormit devant, vanné comme il était.

Quand Samia s’en aperçut, elle le trouva trop craquant avant de se reprendre. Il était fatigué parce qu’il avait batifolé toute la nuit avec une poufiasse. C’est avec elle qu’il devrait être pas avec une autre. Elle gardait encore en mémoire leurs ébats des deux seules nuits qu’ils avaient passé ensemble. Mais elle pouvait y ajouter tous les moments tendres de complicité lorsqu’ils essayaient de faire un bébé sans y arriver, pendant sa grossesse, ou lors de son accouchement. Mais pourquoi n’arrivait-elle pas à l’oublier. Tout simplement, parce qu’elle le voyait tous les jours et que la tentation était là. Il fallait vite remédier à tout ça. Elle allait sauter le pas avec Bruno. Elle ne voyait que cette solution surtout maintenant que Boher fréquentait quelqu’un aussi.

ça va pas du tout ça .........chacun croit l'autre avec quelqu'un ........ Ah mais si ils se parlaient aussi !!! Lequel sera le moins buté ?
Babou quand est-ce que les deux têtes de mules vont enfin se parler et cesser de jouer les poules mouillées ? Fais quelque chose !
La suite ! La suite ! La suite !

Eh bien... je dirais... tout pareil que ma VDD !
Vite, la suite !

Tout simplement, parce qu’elle le voyait tous les jours et que la tentation était là. Il fallait vite remédier à tout ça. Elle allait sauter le pas avec Bruno. Elle ne voyait que cette solution surtout maintenant que Boher fréquentait quelqu’un aussi.


Boher se réveilla brusquement alerté par les pleurs de Mahée qui se réveillait.
- C’est déjà 16h, j’ai dormi tout ce temps, s’excusa Boher.
- Tu n’es plus tout jeune, ricana Samia même si elle n’avait pas le cœur à rire. Mais une petite pique n’avait jamais fait de mal à personne.
- Tu as sans doute raison. Je devrais moins sortir, je résiste beaucoup moins qu’avant avoua Boher.
- Tu t’occupes de ta fille pendant que je nettoie. Je ne pouvais pas le faire avant parce que tu dormais expliqua Samia.
- Je ne bosse pas lundi. Si tu veux je fais le ménage demain après-midi pendant que tu es au travail, proposa Boher.
- Non, je préfère le faire maintenant, dit Samia.

Boher installa Mahée sur son tapis d’éveil et s’amusa avec elle pendant que samia s’activait tout autour d’eux. Elle paraissait en même temps agitée et sur les nerfs. Il ne valait mieux pas l’interrompre.
- On part se promener au parc, tu viens avec nous, demanda Boher. On t’attend.
- Non, j’ai encore plein de choses à faire que j’avais prévu, répondit Samia. Bonne ballade ma puce, dit-elle en embrassant sa fille.

Quand il revient, il s’aperçut que Samia avait pris une douche et s’était changé. Une bonne odeur se dégageait de la cuisine. Boher était intrigué par le comportement de Samia jusqu’à ce qu’il comprenne qu’elle avait invité Bruno chez eux. Non, ce n’était pas possible. Ce ne pouvait pas être aussi sérieux que ça avec ce blanc-bec prétentieux. Pas au point de….Non, il n’osait imaginer le pire. Il fallait qu’il sorte de là, il ne pouvait pas rester à la regarder ranger, préparer à dîner et se faire belle pour un autre que lui. Ça le rendait malade d’avance. C’est à ce moment-là qu’on sonna à la porte. C’était Mélanie.

- Excuse moi je suis venue plus tôt que prévu mais j’ai dû déposer Sybille et barbara en chemin. Alors j’en ai profité pour venir récupérer Mahée pour te laisser le temps de te préparer.
En fait, elle voulait surtout discuter avec elle mais elle ne s’attendait pas à y trouver encore Boher. Elle avait cru qu’il serait déjà parti au commissariat.
- C’est mélanie qui garde Mahée ce soir, tu ne m’en avais pas parlé, demanda boher guère surpris.
- En fait, j’ai quelque chose de prévu ce soir. Et comme tu travailles, j’ai demandé à Mélanie de garder notre fille. Ça te pose un problème l’interrogea Samia. S’il se fâchait de comprendre qu’elle avait invité un homme à a maison, alors c’est que peut-être tout espoir n’était pas perdu.
- Non, tu as bien fait. Tu as invité Bruno ? demanda-t-il.
- Oui, répondit laconiquement Samia.
- Je l’aime bien. Je suis content pour toi que tu aies trouvé quelqu’un, dit Boher. Je vais préparer les affaires de Mahée en emmenant sa fille sous le bras.

- Je suis désolée, tu ne lui en avais pas parlé, fit Mélanie.
- Non ce n’est pas grave. De toutes façons, il s’en fout. Tu as bien vu dit samia avec les larmes aux yeux.
- Oh mon dieu, alors on avait raison, tu es toujours amoureuse de lui.
- Et merde. Ça ne lui fait ni chaud ni froid que je sorte avec quelqu’un d’autre que lui s’énerva Samia. En plus, il a découché cette nuit, il voit quelqu’un.
- Je suis vraiment désolée pour toi, dit Mélanie en la réconfortant et en la prenant dans ses bras.
- Non, ça va aller. C’est le mieux qui pouvait m’arriver. J’en ai marre de me languir de lui. Maintenant, je sais au moins qu’il n’y a plus aucune chance qu’on se mette ensemble. On va faire sa vie chacun de son côté. Voilà c’est tout. Elle alla à la salle de bains pour se refaire une contenance.
- J’ai préparé son sac. Tiens le voilà. Je t’adore toi, tu sais que je t’adore en embrassant goulument se fille. Il faut que j’y aille, passe une bonne soirée. J’irais dormir chez un copain, ça serait mieux pour tout le monde, proposa Boher.
- Je ne te mets pas à la porte, tu sais répliqua Samia.
- Je pense que la situation sera un peu délicate à trois. Il vaut mieux que je vous laisse seuls.
- C’est toi qui vois avec la voix voilée. Il fallait qu’il se dépêche de partir parce qu’elle allait craquer devant lui.

Enfin il sortit et elle put éclater en sanglot.
-mais qu’est ce que j’ai fait au bon dieu pour tomber amoureuse de lui, sanglota-t-elle.
Pendant ce temps, mélanie appela luna. Elles ne seraient pas trop de deux pour arriver à la consoler.

Là il faudrait que Boher se confie à l'un des mistraliens et peut-être qu'on avancerait .... j'ai l'impression qu'un peu d'aide ne leur ferait pas de mal

Merci Babou pour cette suite même si ..... grrrr

Merci pour la suite, bon ils vont ouvrir les yeux tous les deux? Mais une super fic j'attends ta suite avec impatience

Pendant ce temps, mélanie appela luna. Elles ne seraient pas trop de deux pour arriver à la consoler.


Boher avait trouvé un copain pour l’héberger ce week-end. Il ne comptait pas rentrer avant lundi. Quand Samia serait au travail. Il n’aurait pas pu supporter de voir ce bellâtre chez lui à faire des mamours à Samia. Mon dieu, rien que de les imaginer s’embrasser, il avait un haut le cœur alors les imaginer au lit, c’était un crève-cœur au sens littéral du terme. Il avait l’impression que son cœur se déchirait en deux.

Il avait été exécrable toute la nuit avec ses collègues à gueuler contre tout le monde et à s’énerver. Heureusement, pour tous, sa nuit se finissait. Il alla donc dormir chez son vieux pote. Il était déjà réveillé.

-ben dis donc, tu en as une sale gueule, vous avez eu une nuit difficile, demanda son pote Julien.
- Non, pas plus que ça, fit Boher.
- je vois que quelque chose ne va pas jean-paul. Tu peux m’en parler si tu veux, proposa-t-il.
- c’est juste que mes espoirs à être enfin avec la femme de ma vie sont finis à jamais, anéantis, avoua Boher en se vautrant sur le canapé.
Son ami lui servit un grand verre de whisky.
- Tiens bois ça, dit Julien.
- Tu sais j’avais promis de ne plus boire d’alcool depuis la dernière nuit où j’ai pris une cuite. Mais maintenant tout ça aussi c’est du passé en vidant le premier verre. Ressers m’en un autre s’il te plait, continua Boher.
- Ce n’est pas dans l’alcool que tu te soulageras le mieux c’est en parlant, crois en mon expérience après avoir survécu à deux divorces, avoua Julien.
- C’est à cause de samia. Je l’ai définitivement perdue raconta Boher.
- Donc j’avais bien raison, tu en pincais encore pour elle, remarqua Julien.
- Oh oui, affirma Boher. Je n’ai jamais osé le lui dire. Notre histoire est un peu compliquée. Pour résumer, notre amitié comptait beaucoup pour moi et comme je savais que mes sentiments n’étaient pas réciproques. J’ai préféré privilégié notre amitié.
- Je peux comprendre surtout par rapport à ta fille, répondit Julien. Moi, je pense que si j’avais eu des enfants avec mes ex, j’aurais eu du mal à gérer aussi.
- Non, Mahée est née….. enfin, bon ça aussi c’est une longue histoire, dit Boher. Le problème aujourd’hui c’est que je l’aime toujours et qu’elle a un nouveau copain avec qui elle a passé toute la nuit. Et là c’est insupportable, inimaginable. Je ne sais même pas si je me sens capable d’être à nouveau dans la même pièce qu’elle. Je crois qu’il vaut mieux que je déménage surtout si c’est sérieux entre eux. Et ça l’est sûrement, parce qu’elle ne s’engage pas à la légère d’habitude.
- Moi, je pense qu’il n’est pas trop tard et que tu devrais lui avouer tes sentiments, ajouta Julien.
- Ça servirait à quoi riposta Boher. D’une part, je suis sûr qu’elle n’éprouve pas pour moi le millième de ce que j’éprouve pour elle depuis toujours. D’autre part, elle a maintenant quelqu’un dans sa vie.
- Mais tu ne sais pas ce qu’elle ressent vraiment pour toi. Tu le lui as demandé au moins une fois, demanda Julien.
- Elle ne me l’a pas vraiment dit mais elle me l’a fait comprendre, répondit Boher. Quand notre relation a failli basculer, elle m’a clairement fait comprendre que coucher avec moi c’était couché comme avec son meilleur ami. Tu imagines un peu le coup que ça m’a fait. On n’est pas fait pour être ensemble. On est juste fait pour être amis mais même ça, ça me devient difficile. Il faut que je prenne le dessus sur tout ça pour le bien de ma fille. Elle n’a pas choisi cette situation.
- Tu n’es certain de rien tant que tu ne lui en auras pas parlé, conclut Julien. Je te montre la chambre d’amis. Après un bon repos, tu penseras comme moi.

Non aucun risque, il n’aurait pas le courage de faire face à Samia. Il s’allongea et mit très longtemps à s’endormir tellement il pensait à Samia. Il n’arrivait pas à savoir ce qu’il devait faire. La seule certitude qu’il avait c’est qu’il fallait qu’il fasse quelques chose, mais QUOI !

La seule certitude qu’il avait c’est qu’il fallait qu’il fasse quelques chose, mais QUOI ! Ecouter les bons conseils de son ami Julien et ouvrir son coeur à Samia .......... qui ne risque rien n'a rien !
Merci Babou .... vivement la suite !!!

Merci Babou, encore une très belle suite, vivement la prochaine !

Non aucun risque, il n’aurait pas le courage de faire face à Samia. Il s’allongea et mit très longtemps à s’endormir tellement il pensait à Samia. Il n’arrivait pas à savoir ce qu’il devait faire. La seule certitude qu’il avait c’est qu’il fallait qu’il fasse quelques chose, mais QUOI !


Luna et Mélanie étaient restées avec Samia toute la nuit à discuter. Elle avait décommandé Bruno car elle ne se sentait pas capable de lui faire face dans l’état où elle était.

- Vous devez être contentes. Vous aviez raison, dit Samia.
- Non, nous sommes tes amies et nous sommes désolées de te voir dans cet état, expliqua Luna.
- Mais pourquoi vous vous êtes séparés, demanda Mélanie. Il y a peut-être une chance pour que vous vous remettiez ensemble.
- C’est un peu compliqué, en fait, lui, il pense que notre relation a été une grosse erreur. On s’est séparé avant que je sache que j’étais enceinte. Il ne me voit que comme une amie, rien de plus, raconta Samia.
- Il ne voulait pas du bébé, demanda Luna. Tu m’étonnes vu comme il se comporte avec sa fille.
- Oh si, ce n’est pas notre fille le problème. C’est que moi je l’aime comme une folle et que lui pas du tout, je suis juste son amie et la mère de sa fille. Un point c’est tout, affirma Samia.
- Il t’a dit en face qu’il ne t’aimait pas, l’interrogea Mélanie.
- Non, pas vraiment, il me l’a fait comprendre, fit Samia.
- Alors comment peux-tu être sûr de ses sentiments uniquement amicaux, fit Luna.
- Parce que ni pendant ma grossesse, ni depuis qu’on habite ensemble, il ne s’est rien passé de quoique ce soit d’ambigu entre nous. C’est bien la preuve, remarqua Samia.
- Ou alors il a des sentiments pour toi et il croit que toi tu ne l’aimes pas, tenta Luna.
- N’importe quoi, fit Samia.
- Moi, je crois qu’il t’aime comme un fou, fit Mélanie.
- Et pourquoi tout à l’heure ça ne lui a rien fait quand il a compris que Bruno venait à la maison, demanda Samia.
- Qu’est-ce que tu sais si ça ne lui a rien fait ? macho, comme il est, c’est peut-être aussi sa façon de se défendre et de se protéger, expliqua Luna.
- Non, il ne m’aime pas je m’en serais aperçue. Je vis avec lui depuis des mois, dit Samia.
- Et est-ce que lui s’est aperçu que tu l’aimes ? demanda Mélanie.
- Soit il s’en est aperçu et il fait mine de ne rien remarquer ; soit il ne remarque rien parce que je l’ai bien caché, dit Samia.
- Et pourquoi lui ne pourrait-il pas te cacher aussi ses vrais sentiments envers toi ? alors, répondit Mélanie.

Elles continuèrent de parler ainsi jusqu’à tard dans la nuit. Mais alors que ses amies s’étaient endormies, Samia continuait de cogiter. Qu’est-ce qu’il fallait qu’elle fasse ? Si elle lui avouait ses sentiments, et qu’il ne ressentait rien pour elle, alors leur situation allait dégénérer, il ne pourrait plus supporter de vivre avec elle et leur fille. Et si elle ne lui disait rien, alors elle douterait toujours. Car si ses amies avaient voulu l’aider, elle lui avait surtout mis le doute. Elle se remémorait certaines situations qui sur le coup ne l’avaient pas interpellées mais qui maintenant la déstabilisait. Il était gêné quand elle se baladait un peu déshabillée dans l’appart, il la regardait bizarrement certaines fois, Il semblait très jaloux de Bruno. Et puis ses réactions virulentes quand la rumeur courrait qu’ils s’étaient remis ensemble. Finalement, ne s’énervait-il pas parce qu’il aurait aimé que ce fusse vrai. Mon dieu, est-ce que c’était possible ?

Bien sûr que c'est possible non d'un chien ! Allez, bougez-vous maintenant !

Merci pour cette suite Babou, on dirait que ça avance....

Et puis ses réactions virulentes quand la rumeur courrait qu’ils s’étaient remis ensemble. Finalement, ne s’énervait-il pas parce qu’il aurait aimé que ce fusse vrai. Mon dieu, est-ce que c’était possible ?


Le dimanche à midi, Samia avait attendu désespérément Boher avant de partir au travail. Mais elle avait dû partir sinon elle allait être en retard. Elle déposa en catastrophe Mahée chez Luna. Mais qu’est-ce qu’il foutait ? Y avait-il eu un problème au boulot ? On l’aurait appelé non ? Même si elle n’était pas sa femme, elle était la mère de sa fille. Elle était en droit de savoir. Mon dieu, c’était ça, il lui était arrivé quelque chose.
Elle arriva essoufflée et en paniquée au commissariat.
- Où est-il ? demanda-t-elle à Jeff. Qu’est-ce qui lui est arrivé ? C’est grave.
- De quoi tu parles ? s’étonna Jeff.
- De Boher fit Samia.
- Boher va très bien. Il a fini son service à 8 h et il est parti depuis pas mal de temps.

Il fallait qu’elle se reprenne pour ne pas passer pour une folle.
- Oh j’ai eu peur, n’importe quoi. J’ai oublié qu’il allait voir son vieux pote Julien mentit-elle sans savoir qu’elle avait visé juste.
- Pas de mal. Tu sais moi aussi entre le bébé et ma femme, parfois je perds un peu la boule avoua Jeff.
- Le bébé va bien au moins, demanda Samia.
- Oui mais il ne fait pas encore ses nuits alors c’est dur pour nous deux, répondit Jeff.
- Je vais me changer et tu me tiens au courant des affaires en cours, fit Samia.

Heureusement, qu’elle se trouvait seule dans les vestiaires car elle était bouleversée. Il avait une maîtresse et il nous a complètement oublié Mahée et moi. Qu’il ne pense pas à moi, à la rigueur mais oublier qu’il devait garder sa fille comme je partais au boulot. Ça me met hors de moi. SI je tenais Luna et Mélanie en face de moi en ce moment, je les égorgerais vive. Elles m’ont toutes les deux monté la tête pour rien du tout, pour un mec pourri, qui ne pense qu’avec sa ….la prochaine fois que je le vois, je le tue.

Pendant ce temps, Boher essayait tant bien que mal de remettre les choses dans l’ordre dans sa tête. Il avait décidé même si cela devait compliquer la situation d’avouer à Samia qu’il l’aimait. Il était même prêt à prendre le temps de la séduire, de la conquérir et elle finirait par craquer parce qu’ils étaient faits l’un pour l’autre. S’il y avait une chose dont il était sûr c’est que c’était la femme de sa vie. Elle devait déjà être partie au boulot. De toutes façons, Mélanie s’occupait de Mahée. Il allait l’attendre chez eux autour d’un bon repas ce soir en tête à tête.

-tu as l’air bien plus en forme, lui fit son ami.
- je te remercie parce que c’est un peu grâce à toi, avoua Boher. Je vais avouer à Samia mes sentiments et on verra bien ce qui se passera. Au moins je saurais à quoi m’en tenir et j’agirais en conséquence.
- je suis sûr que ça va bien se passer. Par contre je te demanderais juste une chose fit Julien.
-Quoi demanda Boher.
- Que je sois le parrain de votre deuxième enfant puisque ça sera un peu grâce à moi, demanda Julien.
- alors là, tu peux en être sûr, car je t’en serais redevable à vie. Je n’aurais jamais osé franchir le pas de tout lui avouer si je n’avais pas parlé de tout ça avec toi, le remercia Boher. Je file.
-appelle moi pour me tenir au courant quand même, dit Julien.
- si tout se passe bien, je ne t’appellerais sans doute pas ce soir.
- ça j’aurais deviné tout seul. Passe une bonne soirée alors.

Boher veut lui avouer ses sentiments, il était temps quand même lol j'ai hâte de lire ça en tous cas. Merci Babou et vite, la suite

hâte de lire la révélation. Allez bouge toi Chou !

On avance, on avance, on avance , c'est une évidence ....... on avance ........... mais vers où ? ..... alors " rendez-vous " avec l'amour ou "rendez-vous " manqué ( ... encore une fois lol )
Hâte de savoir !!! Merci Babou