Mini-jupe et talons noirs (terminée)

Super ta fic j'adore ^^ , je me demande si il a bien vue Samia a la terrasse ou si il a rever ??

En tt cas hate de lire la suite n_n .

Samia ou pas Samia ?

mystère mystère....

D’habitude, il n’était pas d’un naturel jaloux, mais là, il était tellement accroc, qu’il voulut en avoir le cœur net et se dirigea vers son bureau qu’il trouva fermé.


Il essaya d’appeler Samia sur son portable pour savoir où elle était mais elle ne répondait pas. Il ne laissa pas de message. Elle verrait bien qu’il avait essayé de l’appeler. Alors ne sachant que faire, il planqua dans sa voiture attendant son retour. Il dut attendre pendant près de deux heures jusqu’à ce qu’il la vit ouvrir la porte. Est-ce vraiment elle qu’il avait vu à cette terrasse ? Et si oui, avec qui était-elle ? Où était-elle passée pendant deux heures et avec qui ? Toutes ces questions le torturaient à petit feu. Puis son portable sonna, c’était Samia. Devait-il répondre ? Pouvait-il répondre ? Non, il n’était pas en état. Quelques minutes plus tard, il vit qu’elle lui avait laissé un message :
« Je suis resté coincée toute la journée au bureau à cause de mon retard de ce matin. Attends, je reprends, je ne regrette pas ce matin, au contraire, c’était très bien, mais je dois rester encore un bon moment à bosser. Ne m’attends pas. »

Qu’est-ce que ça voulait dire ? Pourquoi lui mentait-elle ? Il allait rester là pour voir ce qu’elle allait faire. Non, il devait lui faire confiance, il devait y avoir une explication à tout ça. Il avait passé l’âge du jeune amoureux transi et fou de jalousie. ça faisait à peine un mois qu’il la connaissait. Il ne savait pas quelle direction leur relation allait prendre, mais ce dont il était sûr c’est qu’il l’avait dans la peau et qu’il fallait qu’il passe au-dessus de tout ça. Il rentra alors chez lui.

Quand Samia rentra tard dans la soirée, elle fut surprise de trouver son appartement vide. Peut-être était-il au commissariat. Pourtant, il lui semblait qu’il ne travaillait pas avant le lendemain. Elle hésita longtemps avant de l’appeler. Elle n’était pas comme ses midinettes à fliquer son mec et à savoir à chaque minute où il était. Certes, elle était devenue accroc à lui en à peine un mois, ce qui ne lui ressemblait pas du tout. Mais, là, elle aurait adoré le trouver chez elle et lui sauter dessus. Elle en avait eu envie toute l’après-midi. Bon, elle allait prendre une douche et puis elle l’appellerait. Mais à peine déshabillée, elle ne put se retenir plus longtemps et l’appella. Et s’il lui était arrivé quelque chose :
- Tu es où ? questionna Samia quand elle entendit sa voix.
- Quoi ? fit Boher. Tu sais l’heure qu’il est.
- Justement, je m’inquiétais. Tu n’es pas à l’appart se justifia Samia.
- Et tu n’as pas pensé que je pouvais être chez moi en train de dormir, fit Boher.
- Je….en fait… j’avais juste envie de…. Excuse-moi. Et elle lui raccrocha au nez.

Ce qu’elle pouvait être conne. Il n’en avait rien à foutre d’une jeune minette comme elle. Elle prit une douche et s’écroula dans la cabine en pleurant. Putain, c’était la première fois qu’elle pleurait pour un mec et ce serait la dernière. C’était un goujat, un moins que rien. Non, c’était elle la plus bête. Elle avait cru qu’en un mois, elle avait trouvé l’homme de sa vie mais elle s’était mis le doigt dans l’œil. Il s’était déjà lassé d’elle. Peut-être même qu’il n’était pas seul.

Que cache Samia ? cela a-t-il un rapport avec l'enquête ? Prépare-t-elle une surprise pour le "goujat" ? c'est dur de trouver , y-a pas beaucoup d'indices ........ comme pour Arsène

Un zeste de soupçons ... un soupçon d'incompréhension , une pincée de doutes et .......... beaucoup d'amour malgré tout ... ça va s'arranger c'est certain

Merci Babou pour cette suite

depuis le début de la fic je me demande si c'est pas samia le fameux arsène...

Elle avait cru qu’en un mois, elle avait trouvé l’homme de sa vie mais elle s’était mis le doigt dans l’œil. Il s’était déjà lassé d’elle. Peut-être même qu’il n’était pas seul.


Elle n’entendit pas la porte d’entrée, ni celle de la salle de bain. Elle fut tellement surprise quand elle le vit ouvrir la porte de la cabine qu’elle prit la seule arme qu’elle avait sous la main, le jet de la douche qu’elle lui lança en pleine tête.
-Samia, arrête, c’est moi, fit une voix qu’elle reconnut.
- Mais t’es con, tu m’as fait une peur monstrueuse, hurla Samia.

Elle sortit de la douche et s’enroula dans son peignoir en le laissant planté là dans la salle de bain, dégoulinant. Il se déshabilla pour s’essuyer et revint dans la chambre où il trouva Samia recroquevillée sur le lit.
- Mais qu’est-ce qu’il se passe ? Qu’est-ce que tu as ? demanda Boher.
- Va-t’en, s’énerva Samia. Tire-toi.
- Attends, tu m’appelles à point d’heure, expliqua Boher. J’accours pour te faire la surprise. Tu m’agresses et maintenant tu me fous dehors. J’en ai connu des femmes mais alors là je n’y comprends rien du tout.
- Il n’y a rien à comprendre, renifla Samia.
- SI, je sens bien qu’il y a quelque chose. Samia, regarde-moi, dit-il doucement et calmement.
- C’est juste que je me sois fait des idées, répondit Samia.
- Des idées sur quoi, fit Boher.
- J’ai pris l’habitude de te trouver à la maison, et comme tu n’étais pas là. J’ai eu peur qu’il te soit arrivé quelque chose, se confia Samia. Après t’avoir eu, j’ai pensé que je t’avais dérangé et que tu étais avec une fille.
- Mais n’importe quoi, j’étais en train de dormir, fit Boher.
- Mais pourquoi chez toi, demanda Samia.
- Je… en fait… (non il ne pouvait pas lui dire qu’il savait qu’elle lui avait menti sur son emploi du temps, elle le prendrait pour un fou et elle n’allait pas apprécier.)…j’étais un peu énervé et je suis rentré chez moi dormir, avoua quand même Boher.
- Enervé de quoi, fit Samia.
- Enervé contre toi, corrigea Boher.
- Qu’est-ce que j’ai encore fait ? s’étonna Samia.
- Je….Tu m’as dit que tu n’avais pas bougé du bureau de tout l’après-midi. En fait je t’ai vu sur le vieux port cet après-midi, confia Boher.
- Et tu passais là par hasard, s’énerva Samia.
- Tu ne me crois pas si tu veux mais, oui je passais là par hasard. Tu étais avec un autre mec, s’inquiéta Boher.
- Mais tu es jaloux, c’est pas vrai, ricana Samia.
- Et alors, oui, je suis jaloux. C’est la première fois que ça m’arrive et je n’aime pas ça du tout, se renfrogna Boher.
- Tu n’as rien à craindre, je peux tout t’expliquer. Passe-moi le sac là, près du lit, lui demanda Samia.
- Le sac marron, fit Boher.
- Oui, tu peux l’ouvrir c’est pour toi. C’est pour ça, que j’étais au vieux port, j’avais rendez-vous avec quelqu’un, expliqua Samia.
Boher prit son temps pour ouvrir le sac, et quand il découvrit une voiture de collection. Il leva les yeux sur Samia et ne sut que dire.
- Je voulais m’excuser pour m’être endormie hier soir et de ne pas t’avoir attendue. Je l’ai trouvé sur internet et le vendeur m’a donné rendez-vous au vieux port, raconta Samia.
- Mais comment as-tu su ? tu n’es venu chez moi qu’une fois. Je ne t’en ai jamais parlé, fit Boher.
- Attends. Tu es un vrai mordu de voitures. On ne voit que ça quand on rentre chez toi. Je t’ai juste emprunté tes clés pour voir quelle voiture, tu n’avais pas et j’en ai trouvé une, fit Samia. Ce que je n’avais pas anticipé, c’est le temps que j’allais perdre et comme j’avais beaucoup de retard dans mes dossiers, il fallait absolument que je le rattrape. Je pensais t’apporter la voiture avec le petit-déjeuner au lit demain matin.
- On n’arrivera jamais à s’organiser ce petit-déjeuner au lit, plaisanta Boher en commençant de défaire le nœud du peignoir de Samia.
- C’est vrai qu’entre nos deux emplois du temps, c’est un peu difficile mais on a des choses plus importantes à faire non, lui susurra Samia à l’oreille.
Il lui prit le visage entre les mains et en la regardant dans les yeux, il lui dit :
- Je me suis conduit comme un con parce que je t’aime comme un fou. Et il finit sa déclaration en l’embrassant.
Elle le repoussa tendrement en lui caressant la joue à son tour.
- Moi aussi, j’ai été ridicule. Je t’aime et j’ai très envie de te voir tous les soirs à la maison. Est-ce que tu veux t’installer ici, chez moi ? Chez nous, demanda-t-elle inquiète de la réponse.
- J’en ai très envie aussi et il la bascula sur le lit tout en s’allongeant sur elle et en l’embrassant.

" je me suis conduit comme un con parce que je t'aime comme un fou" j'adore tout simplement et ta fic avec... bien sûr!!!!

Super ta fic j'adore ^^ et la phrase que tu as ecrite et qu'a cité valou est tellement sincere et touchante a la fois .

Tout est bien qui finit bien comme on dit ... et une " belle " déclaration en prime - Je me suis conduit comme un con parce que je t’aime comme un fou.

tout est déjà dit au dessus...
la suite pliz

merci les filles. c'est vrai que je ramais pas mal ces derniers temps. j'avais plus trop le goût d'écrire mais je me suis éclatée à écrire ces derniers chapitres et les suivants. j'espère que ça vous plaira autant.

- Je me suis conduit comme un con parce que je t’aime comme un fou. Et il finit sa déclaration en l’embrassant.
Elle le repoussa tendrement en lui caressant la joue à son tour.
- Moi aussi, j’ai été ridicule. Je t’aime et j’ai très envie de te voir tous les soirs à la maison. Est-ce que tu veux t’installer ici, chez moi ? Chez nous, demanda-t-elle inquiète de la réponse.
- J’en ai très envie aussi et il la bascula sur le lit tout en s’allongeant sur elle et en l’embrassant.


Boher n’avait pas trop la tête au boulot. Ce qui n’était pas nouveau depuis qu’il connaissait Samia. Les enquêtes sur les derniers cambriolages d’Arsène et celui de Lansing n’avançaient pas. Il piétinait. Ça allait bientôt faire un mois qu’Arsène avait volé le Degas. Et depuis, il n’avait pas fait parlé de lui, il n’allait pas tarder à faire un nouveau coup. C’est comme ça qu’il allait l’avoir. Il fallait le pousser à cambrioler quelqu’un, lui tendre un piège auquel il ne pourrait pas résister. Il allait fouiller un peu plus cette idée avant de la soumettre à Madigan. Pour l’instant, il fallait qu’il lui demande son vendredi pour déménager. Et il n’était pas sûr qu’elle accepte.
- Si Leroux est d’accord pour échanger avec vous, pas de problème. Pensez à donner votre nouvelle adresse et vos coordonnées, observa Madigan.
- Merci commissaire, répondit Boher.

Il alla de suite demander à son collègue :
- Et ben ça alors. Tu t’installes avec quelqu’un, s’étonna Jeff. Je n’aurais jamais cru ça de toi. Je pensais que tu aimais bien papillonner au contraire.
- Tout ça c’était avant de la rencontrer, remarqua Boher.
- Et je la connais, fit Jeff.
- C’est Samia Nassri, l’informaticienne qui m’a aidé sur les cambriolages d’Arsène, se confia Boher.
- Tu la connaissais avant, fit Jeff.
- En fait, non. On se connaît depuis un mois à peine, avoua Boher.
- Là, tu m’épates. Oh j’ai compris, elle est enceinte. Tu aurais pu faire gaffe quand même, observa Jeff.
- Non, elle n’est pas enceinte, soupira Boher.
- A quand le mariage alors, plaisanta Jeff.
- Pour l’instant, on s’installe ensemble. C’est déjà un grand pas, non.
Ce qu’il n’avait pas imaginé c’est qu’avec la grande gueule de Jeff, d’ici à ce soir, tout le commissariat apprendrait qu’il s’installait avec Nassri, même ceux qui ne travaillaient pas.

Pendant ce temps, Samia avait trouvé un camion de location pour déménager l’appart de Boher. Elle était aussi allée voir si Thomas et Nicolas pourraient les aider. Elle hésitait à appeler son frère, il faudrait bien le mettre au courant. Pour l’instant, elle alla voir thomas au Mistral.
- Tu as prévu quelque chose pour ce week end. j’ai besoin de vous deux, implora Samia.
- Pour faire quoi, demanda Thomas.
- Mon petit ami vient s’installer chez moi, il déménage ce week end. On aurait besoin d’aide, fit Samia.
- Tu as un petit copain, toi. Le seul avec qui je t’ai vu ces derniers temps, c’est ce lieutenant Boher, avec qui tu bosses, je crois.
- Je…oui…c’est bien lui, avoua Samia.
- Ben ça alors, vous avez bien caché votre jeu parce que même Mirta n’a rien vu. Sinon je le saurais, affirma Thomas.
- Ca fait pas longtemps qu’on est ensemble, m’ais c’est sérieux. On a décidé de s’installer ensemble, expliqua Samia.
- Mon dieu, tu es enceinte, fit Thomas.
- Non, je ne suis pas enceinte, je suis juste amoureuse, le reprit Samia.
- Ecoute, je m’avance peut-être pour Nicolas, mais tu peux compter sur nous.
- Merci beaucoup, je t’appelle demain soir pour se mettre d’accord. Je te laisse, dit-elle en le remerciant encore.
Elle n’avait pas anticipé que d’ici la fin de la journée, tout le quartier saurait que Boher et elle allaient emménager ensemble.

vite la suite!!!

Je viens de rattraper mon retard et cette petite crise de jalousie vient mettre un peu de piment dans leur vie, j'aime beaucoup. Je me suis même dit que peut-être Samia trempait dans l'histoire des vols de tableaux mais apparemment ce n'est pas le cas, ouf !
Et puis le chapitre "réconciliation", c'est du pur bonheur ! Merci !

C'est toujours un plaisir de te lire Babou, on en veut encore, vite ! La suite !

j'aime toujours autant et je me joinds à bohersamia et éléa pour la suite!!

Je vais ps etre tres original a la suite des autres messages mais ...... j'adore j'adore j'adore !!!!! La suiiiiteeuuhhh !!!!! xD

Je ne dirais que trois choses , j'adore ! continue ! vite la suiteeee !

Merci pour tous ses compliments. Je vous poste un chapitre que j'ai pris beaucoup de plaisir à écrire. J'espère que vous en aurez aussi à le lire.

Elle n’avait pas anticipé que d’ici la fin de la journée, tout le quartier saurait que Boher et elle allaient emménager ensemble.


Elle avait fait tout son possible pour rentrer de bonne heure. Elle s’était arrêtée chez l’italien. Ils allaient avoir trois jours de dingue. Auparavant, ils allaient s’octroyer une soirée calme en amoureux.
- Bonsoir, tu m’as manqué, dit-il en la prenant dans ses bras et en l’embrassant.
- Si tu m’accueilles aussi bien tous les soirs, je vais en prendre l’habitude attention, plaisanta Samia.
- Tu peux, parce que quand je suis loin de toi, je ne pense qu’à te prendre dans mes bras alors quand je te vois, je ne peux plus me retenir en l’embrassant à nouveau.

Ils furent interrompus par le téléphone.
- Ne décroche pas, la pria Boher. Mais le répondeur se mit à fonctionner.
« Samia décroche, si tu es là, c’est moi. »
- Si je ne décroche pas, il est capable de venir jusqu’à chez nous, remarqua Samia.
- Il doit être au courant pour le déménagement, expliqua Boher.
- Oui et il doit mal le prendre qu’on ne lui ait pas dit, ajouta Samia. Ce n’est pas ton portable, là.

En voyant le numéro de Malik s’afficher, très courageusement, il lui tendit le téléphone. Malik reconnut la voix de sa sœur :
- Dis-moi que tu n’es pas enceinte, s’énerva Malik. Passe-moi Boher.
- Il veut te parler, dit-elle en rigolant.
- Quoi, qu’est-ce qu’il veut ? fit Boher.
- Te demander quelque chose ? fit Samia, innocemment.
- Comment as-tu pu faire ça ? Je n’aurais jamais dû te faire confiance. Mais tu as quel âge pour ne pas faire attention, s’énerva Malik.
- Mais de quoi tu parles ? On s’installe juste ensemble, rien de plus, observa Boher.
- Bien sûr, toi le coureur de jupons, tu t’installes chez une femme que tu connais depuis moins d’un mois. Elle est enceinte et vous n’osez pas me le dire, s’indigna Malik.
- Mais pas du tout, mais qu’est-ce que vous avez tous avec les bébés en ce moment. Vous n’avez que ça à la bouche. Non, samia n’est pas enceinte, affirma Boher.
- Je ne suis pas enceinte, hurla Samia pour qu’il l’entende.
- Tu vois, remarqua Boher.
- Mais pourquoi, vous emménagez ensemble, s’interrogea Malik.
- Parce qu’on s’aime tout simplement et qu’on ne supporte pas d’être séparé, avoua Boher. Samia l’entoura de ses bras et l’embrassa dans le cou.
- Et vous ne pouviez pas me le dire, fit Malik.
- Je te signale qu’on déjeune ensemble demain, remarqua Boher. On voulait te l’annoncer tous les deux. Comment l’as-tu appris ?
- C’est Céline qui l’a su par Thomas, répondit Malik.

Ils furent interrompus par le portable de Samia, cette fois. C’était Juliette Frémont.
- Oups, c’est à mon tour de me faire engueuler, remarqua Samia.
- Comment as-tu pu me cacher ça ? fit Juliette.
- Je ne t’ai rien caché. Tu étais parti en stage. Je comptais te le dire dès que tu serais rentrée, remarqua Samia.
- Mais je suis partie depuis fin mars seulement, rectifia Juliette.
- Et bien ça fait juste trois semaines qu’on est ensemble, fit Samia.
- Je n’y crois pas, tu t’installes avec un mec que tu connais depuis trois semaines. Il doit vraiment valoir le coup, observa Juliette.
- Je peux te confirmer, dit Samia en lançant un œil coquin à Boher.
- Et quand est-ce que j’aurais la chance de le rencontrer, demanda Juliette.
- Dès que tu seras rentrée, proposa Samia.
- Rassure-moi, tu n’es pas enceinte au moins, la questionna Juliette.
- Non, je ne suis pas enceinte. Comme si de nos jours, on ne pouvait pas s’installer avec son petit copain parce qu’on l’aime tout simplement, s’indigna Samia.
- Dès que je suis sur Marseille, on s’organise un diner à quatre avec JB. Fais-moi un petit plaisir, demanda Juliette.
- Quoi encore, fit Samia.
- Envoie moi une photo de lui, dit Juliette.
- Nu ou habillé, ironisa Samia.
- Samia, je veux juste savoir à quoi ressemble, le mec qui t’a pris dans ses filets, répondit Juliette.
- Il ne m’a pas pris dans ses filets. on avait mal commencé en fait. Je l’ai même frappé si tu veux tout savoir, raconta Samia.
- J’ai hâte de tout savoir, dit avec impatience Juliette.
- Ecoute, j’ai eu une longue journée, on a encore plein de cartons. Promis je t’appelle la semaine prochaine, dit Samia.
- J’y compte bien. Et …N’oublie pas la photo, rappela Juliette.

Samia vit que Boher avait pu aussi se dépatouiller de son frère.
- Et ben si j’avais su que la nouvelle bouleverserait autant de monde, remarqua Samia.
- Tu aurais changé d’avis, s’inquiéta Boher.
- Non, j’aurais fait ça dans leur dos sans le dire à personne, répondit Samia.
- Dit au fait, tu n’es pas enceinte au moins, ironisa Boher.
- Tu plaisantes là ? s’énerva Samia.
- Oui je plaisante mais je pense qu’on va l’entendre très souvent cette question. C’est pour te préparer. Dans quelques mois, quand les gens verront que ton ventre ne grossit pas, ils se lasseront, remarqua Boher.
- Merci de me réconforter, ironisa Samia. Tu pourrais bien essayer le canapé cette nuit, si tu me cherches.
- T u plaisantes là, fit Boher.
- Chacun son tour, dit en souriant Samia avant de rejoindre leur chambre où Boher la suivit.

la suite jadore!!!!

Merci pour ce nouveau chapitre ! Vivement la suite !

J'adore le ton " taquin "de nos amoureux dans ce chapitre .
Sacré mistraliens ! .... sacré Malik !

Merci Babou

alala... t'es enceinte? t'es enceinte? t'es enceinte?
les pauvres, jamais tranquille
vite vite, la suite!!

- Merci de me réconforter, ironisa Samia. Tu pourrais bien essayer le canapé cette nuit, si tu me cherches.
- T u plaisantes là, fit Boher.
- Chacun son tour, dit en souriant Samia avant de rejoindre leur chambre où Boher la suivit.


Ils passèrent toute la journée du vendredi à faire des cartons. Ils étaient assis par terre dans le salon.
- Fais attention, c’est fragile, s’inquiéta Boher.
- Je sais, ça fait des heures que tu me le rabâches. Je sens que je vais retourner au boulot, s’énerva Samia. Tu me saoules avec tes voitures. Je ne sais même pas où on va les mettre.
- A la place de tous tes bouquins d’informatique, c’est une idée, proposa Boher.
- Mais c’est mon boulot, tu vois, j’en ai besoin, répondit Samia. Ça, ce n’est qu’un nid à poussière. Et je te préviens tout de suite, ne compte pas sur moi pour faire la poussière sur tes voitures.
- J’allais justement te dire de ne pas y toucher, observa Boher.
- Tu as quel âge au fait, 35 ans ou 5 ans, ironisa Samia en se levant. Je te laisse ici. Je vais emballer la vaisselle. J’ai moins de risques que tu me sautes dessus.

Mais elle sentit Boher qui l’attrapait par le bras pour la faire tomber par terre sur ses genoux.
- Qu’est ce que tu veux ? fit Samia.
- Ça fait au moins 30 minutes que je ne t’ai pas embrassé, dit Boher avant de joindre ses actes à ses paroles.
- Et si on essayait ton lit avant de le démonter, proposa Samia.

Boher ne se le fit pas dire deux fois. Ils furent réveillés le lendemain matin par la sonnette.
- Merde, on n’a pas mis le réveil, ça doit être Thomas et Nicolas. Je leur ai donné l’adresse. Habille-toi, dit Samia en lançant son jean à Boher.
- Si tu n’étais pas aussi sexy, on n’aurait pas fait ça toute la nuit, remarqua Boher.
- Merci, dit Samia en se penchant sur lui pour l’embrasser. Mais la sonnette et les cris retentirent.
- Voilà, voilà, on arrive, dit Samia.

Pour ajouter à tout ça, ce n’était pas Thomas mais son frère Malik.
- Qu’est ce que vous foutiez, j’étais sur le point de vous appeler. J’ai cru que je m’étais trompé d’heure, raconta Malik.
- Je….on n’a pas entendu le réveil. On a fini de faire les cartons assez tard hier, expliqua Samia.
- Ah bon, et c’est quoi tout ça en montrant les voitures et les magazines sur les étagères, demanda Malik.
- Enfin, on a presque fini, se reprit Samia. Boher, rapplique, c’est ton pote Malik
- Salut, tu as pu te libérer finalement, remarqua Boher en arrivant sur ses entrefaits.
- Oui, on appelle Céline quand le premier camion est chargé. Elle nous attendra chez Samia. Elle a aussi tout prévu pour midi, expliqua Malik en regardant tout à tour Samia et Boher.

C’est sûr qu’il avait compris pourquoi il les avait réveillés. Nicolas et THomas arrivèrent à la suite. Samia finissait d’emballer les derniers cartons pendant que les garçons démontaient les meubles et remplissaient le camion.
- Tu viens avec nous, demanda Boher.
- Ce que je propose, c’est que je finisse de vider pièce par pièce, je mets tout dans l’entrée. Vous videz le camion, et pendant que Thomas et Nicolas remontent les meubles, tu reviens pour m’aider. On revient manger un bout tous ensemble et on fait le deuxième voyage avec tous les cartons cet après-midi, expliqua Samia.
- Tu es un vrai chef, dit il en l’embrassant. Tu vas me manquer.

La journée se finissait, ils étaient tous sur les rotules. Ils avaient réussi à vider entièrement l’appart de Boher. Il ne manquait plus qu’à le nettoyer demain pour pouvoir rendre les clefs à Céline.
- Comme ça, tu pourras commencer de le faire visiter dès lundi. Merci encore d’avoir accepté mon désistement sans préavis, remercia Boher.
- On fait partie de la même famille, maintenant, non. Et puis dans ton quartier, en deux jours, j’ai trouvé quelqu’un, expliqua Céline. On va vous laisser. On s’appelle dans la semaine.

Une fois tout le monde parti, Samia et Boher s’avachirent dans le canapé :
- Je n’aurais jamais cru qu’en une journée, on y arriverait, remarqua Boher.
- On a été bien aidé, fit Samia.
- On les invitera tous pour les remercier, proposa Boher.
- Pour l’instant, il faut trouver de la place pour tes voitures, fit Samia.
- Et si on laissait de côté mes voitures pour s’occuper d’autre chose, fit Boher en défaisant la queue de cheval de Samia.
- Et tu penses à quoi ? demanda Samia.
- A la même chose que toi, répondit Boher en l’embrassant dans le cou.

vite la suite jadore