Mini-jupe et talons noirs (terminée)

alors ça, pour un coup de vent, c'est un coup de vent

Je la sens pas Mme Karabournalis, j'aime pas trop sa dernière phrase ^^
Le retour de Samia Jp s'est encore inquiété pour rien mais au moins ça prouve qu'il tient énornément à elle.
Vivement la suite.

M'a l'air louche aussi la madame " Karabo.....sse " ( ça me trottait dans la tête ... désolée ! ... lol ) ...... sont tous louches en fait


Merci Babou

J'aime toujours autant ta fic, comme mes VDD, je ne sais qui soupçonner : Samia? madame Karabour...? et qui d'autre encore ?, vite, vite, on veut des indices !!!

J'adore! Vivement la suite

Quand elle revint, elle avait un sourire en coin :
- Et si vous étiez mon chevalier servant pour la soirée, proposa-t-elle. J’ai encore perdu mon mari. Il doit discuter affaires avec je ne sais qui.


Cela faisait une heure qu’ils étaient arrivés, et comme il avait prévu rien ne s’était passé, ni à l’hôtel d’ailleurs. C’était normal, Mme Karabournalis était censé porté sa parure à la réception. D’ailleurs, il n’avait toujours eu aucune nouvelle de Léo ou Nico. Si Arsène se montrait, ce serait plutôt demain. Mme Karabournalis n’allait pas mettre ses bijoux pour aller au vélodrome. C’est à ce moment-là qu’il agirait.
Il en était là de ses réflexions quand il attendit les propos de ses voisins de bar.
- Dis, tu la connais la jeune femme qui vient d’arriver, elle est trop sex, fit la voix.
- Ce doit être la jeune poule d’un de ces magnats d’affaires, remarqua son voisin..
- Tu crois que c’est une escort, se demanda le troisième homme.
- Pour être aussi belle, ce ne peut pas être une femme légitime, répondit son ami.
Il se retourna pour voir cette jeune femme et se faire sa propre opinion.
- Détrompez vous messiers ? leur fit-il. Ce n’est pas une escort, c’est ma femme.
Il se dirigea vers Samia qui venait d’apparaître dans un superbe fourreau rouge. Elle avait attaché ses cheveux. Elle était tout simplement ……magnifique.
- Je, balbutia Boher…. il ne trouvait pas se mots
- Tu es en colère, fit Samia. Je lui avais bien dit que tu n’apprécierais ma venue pas parce que tu travaillais.
- A qui tu as parlé ? demanda Boher.
- A une femme qui m’a fait livrer cette somptueuse robe. Les filles sont même venues me donner un coup de main pour me coiffer. Je vais repartir, fit Samia.
- Non, reste. Je suis simplement sous le choc, expliqua Boher.
- Le choc de quoi ? demanda Samia.
- De toi, tu es tout simplement éblouissante, avoua Boher.
- Merci, ça ne fait pas trop. Toi aussi tu es sexy dans cette tenue, ajouta Samia.
- Alors vous nous présentez, dit une voix derrière eux.
- Mme Karabournalis, je vous présente Samia Nassri, mon amie, présentra Boher. Samia je te présente éléna Karabournalis.
- Je suis très contente, cette robe vous va à ravir, remarqua la jeune femme.
- Pourquoi avez-vous fait ça ? la questionna Boher.
- J’étais désolée que vous ne puissiez profiter de vos retrouvailles à cause de moi et surtout de mon mari. Et comme vous m’avez dit qu’il n’y avait aucun risque ce soir. J’ai voulu vous faire une petite surprise.
- Merci beaucoup, fit Boher.
- Je vous laisse en amoureux. A tout à l’heure peut-être, conclut Mme Karabournalis.
- Je….commença Boher.
- C’est bien la première fois que je te vois aussi troublé, incapable de trouver tes mots, observa Samia.
- Viens suis moi, proposa Boher.
Il l’entraîna dans la salle des mariages au fond du couloir. Dès qu’ils furent seuls, il l’embrassa à pleine bouche sans pouvoir s’arrêter.
- On ne peut pas faire ça ici, Jean-paul, n’importe qui pourrait rentrer, se défendit Samia.
- J’ai fermé la porte à clé, expliqua Boher.
- Tu penses à tout, plaisanta Samia.
- Oh non, là je n’ai qu’une idée en tête. Et il déboutonna la fermeture éclair de la robe qui glissa à terre et fit découvrir un ensemble rouge aussi affriolant que la robe elle-même.

Oh oh sa devient chaud lol , super se petit bout de suite , vivement la suiiteeuuhhh !! ^^

Je retire ce que j'ai dit .... la madame Karabo....sse est finalement ... une bonne fée

Continue Babou ! j'aime , j'aime , j'aime

désolé mais je ne vais pas pouvoir participer au forum et poster de suite au moins jusqu'au 15 juin. J'essaye de revenir assez vite.

Aucun soucis on attendra . Babou

Pas de soucis on attendra ^^ , comme on dit plus c'est long mieux c'est , non ?? lol

pas de problème, t'inquiète

J'ai pu passer en coup de vent vous déposez une petite suite, à bientôt.

- Oh non, là je n’ai qu’une idée en tête. Et il déboutonna la fermeture éclair de la robe qui glissa à terre et fit découvrir un ensemble rouge aussi affriolant que la robe elle-même.


- Aide-moi à refermer ma robe, s’il te plaît. Je n’y arrive pas toute seule. Et mes cheveux de quoi j’ai l’air. Passe-moi mon sac, fit-elle..
- Tu es sublime, répondit-il en l’embrassant dans le cou.
- Jean-paul ça suffit, tu es un vrai obsédé, riposta Samia.
- Oui, obsédé par toi, affirma Boher. J’étais trop en manque de toi.
- Je t’adore mon chéri, mais là il va falloir qu’on y retourne si tu ne veux pas avoir des histoires avec ton boss, remarqua Samia.
- Tu es sûr on ne pourrait pas retourner à l’appart, dit Boher.
- Je n’y crois pas c’est le monde à l’envers, répliqua Samia.

Puis son téléphone sonna :
- Excuse-moi, dit Boher avant de décrocher. Oui, il y a du nouveau.
- Non, toujours rien. Je me demandais si de ton côté tu avais remarqué quelque chose demanda Nicolas.
- Non pas vraiment à part une sublime créature qui m’a fait du rentre dedans, plaisanta Boher.
- Et tu penses à Samia, là. Je ne la connais pas bien mais je ne suis pas sûr qu’elle apprécierait, observa son collègue.
- Dès que j’en ai fini là. Je les raccompagne et je prends la relève de 6h, dit Boher.
- Ok ça marche, fit Nicolas avant de raccrocher.

- Ça va là je suis présentable, demanda Samia quand il eut fini sa conversation.
- Bien plus que ça, fit-il en l’embrassant encore une fois.
- Non JP, je viens juste de ma remaquiller. Tu exagères, s’énerva Samia.

Ils passèrent le reste de la soirée sur la piste de danse. Finalement ces soirées de bourges étaient sympas quand on était bien accompagné. A la fin de la soirée, il raccompagna le couple à l’hôtel, fit un dernier topo avec ses collègues et rejoignit Samia chez eux. Elle avait eu le temps de prendre une douche et avait juste enfilé son peignoir.
-je te trouve très sexy comme ça aussi, remarqua Boher.
- Il ne t’en faut pas beaucoup quoi. Mais pourquoi je perds du temps dans les boutiques. Je m’habillerai avec un sac poubelle que tu me trouverais encore belle, observa Samia.
- tu as tout compris, fit-il en commençant de défaire la ceinture du peignoir. Mais ce que je préfère encore plus c’est sans rien du tout.
- Attends jean-paul. Avant je voudrais te parler, demanda Samia.
- tu es sûr, ça ne peut pas attendre, s’impatienta Boher.
- j’en ai pour cinq minutes, répondit Samia. Je voulais revenir sur notre dispute qu’on a eue avant que je parte. Je m’excuse encore une fois. Mon caractère méditerranéen a fait des siennes. Je voyais le ridicule de la situation en te faisant cette scène mais c’est comme si c’était quelqu’un d’autre qui parlait à ma place, je n’arrivais pas à me contrôler, à me maîtriser.
- Je sais tout ça. Sois juste sûr d’une chose : jamais je ne te tromperais avec une autre femme car j’ai trouvé en toi tout ce que j’espère d’une relation solide et sincère : je t’aime avoua Boher.
- moi aussi je t’aime confia la jeune femme.

Et ils firent l’amour sur le canapé comme jamais ils n’avaient encore fait l’amour jusqu’à présent avec une telle intensité qu’ils tombèrent d’épuisement dans les bras l’un de l’autre. C’est le réveil de Boher qui les surprit à 5h30. Il prit Samia dans ses bras pour la recoucher dans leur lit, l’embrassa et fila sous la douche. Quand il en sortit, elle s’était déjà rendormie.
- Dors mon ange, fit il en l’embrassant une dernière fois.

Il arriva à l’heure pour la relève :
- Alors quoi de neuf, interrogea Boher.
- Rien n’a bougé cette nuit. Mais on s’en doutait. S’il doit agir, ça sera plutôt demain soir, remarqua Léo.
- Vous avez remarqué quelque chose de suspect, continua Boher.
- Oui une voiture blanche qui a fait deux fois le tour du pâté de maisons. On a pris sa plaque par précaution mais je pense plutôt qu’il devait chercher une place pour se garer. Enfin on ne sait jamais. On fera une recherche au poste. Si, un des employés s’est fait porter pâle. Madigan doit envoyer quelqu’un ce matin, à son appart pour vérifier, dit Nicolas.
- D’accord, je repasse au poste après la relève de 14h, expliqua Boher.
- On rentre chez nous dormir et on se retrouve là-bas, fit Léo.
- Parfait, bonne nuit, répondit Boher
- J’ai l’impression que la tienne l’a été, ajouta Nicolas.
- On peut dire ça, ironisa Boher
- Veinard va, répondit Nicolas.

Merci pour cette suite Babou, je suis ravie que tu aies pu passer en coup de vent ce matin pour nous poster un chapitre. Et ne t'inquiète pas nous patienterons pour la suite.

Haaa super c'est gentille d'etre passer pour nous mettre un tit bout de chapitre ^^ , pas de soucis on attendra .

Une tite suite ! Merci Babou
Alors que dire si ce n'est que le soleil est revenu chez notre couple et ça .... j'aime !!!!

PS : Babou .... bon anniversaire

Merci Babou pour cette suite . Le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils sont inséparables nos loulous.

PS :

- Parfait, bonne nuit, répondit Boher
- J’ai l’impression que la tienne l’a été, ajouta Nicolas.
- On peut dire ça, ironisa Boher
- Veinard va, répondit Nicolas.


Ils n’aboutirent à rien avec le numéro d’immatriculation. Elle correspondait à une adresse du quartier. C’était bien quelqu’un qui cherchait à se garer. Quant à l’employé, ils l’avaient trouvé au lit avec sa copine, pas mal du tout. Mais ce n’était pas leur problème. Il fallait juste vérifier l’info. Il ne se passa rien de plus pendant la journée.
- Je prends deux heures et je retrouve nos amis dans le hall de l’hôtel. Je sens que c’est pour ce soir, fit Boher à Léo.
- Si tu le dis, lui répondit castelli.

Quand il arriva à l’appart, Samia n’était pas là. Elle lui avait laissé un message qu’elle avait deux trois choses à voir au boulot et qu’elle rentrait vite. S’il ne craignait plus la jalousie pour son couple, leur boulot respectif restait un point sensible. Puis il entendit la porte d’entrée.
- Je me suis arrêtée chez Roland pour prendre deux plats du jour. J’ai pensé que tu ne resterais pas longtemps, dit Samia.
- Tu es un amour. J’ai une faim de loup, répondit Boher.
Il lui prit les paquets des bras et l’embrassa.
- Je croyais que tu avais faim, répliqua Samia.
- Oui, faim de toi, dit-il en l’entraînant dans la chambre.
De retour à la cuisine, attablés au bar, ils dégustaient la blanquette de Roland. Samia avait juste enfilé la chemise de Boher.
- Hum, juste divin, remarqua Samia.
- Oui comme toi, dit-il en caressant sa cuisse.
- Tu as déjà retrouvé tes forces, plaisanta Samia.
- A chaque minute, j’ai envie de toi, confia Boher.
- Je devrais peut-être partir plus souvent, alors, remarqua Samia.
- Ne plaisante pas avec ça, répondit Boher. Tu m’as trop manqué. J’étais tout seul dans ce grand lit vide à rêver à toi. Et il commença de déboutonner sa chemise.
- Et là, tu ne dois pas partir au boulot, fit Samia.
- Non, je crois que j’ai encore le temps pour un petit dessert, observa Boher.
- Et c’est moi le dessert c’est ça, demanda Samia.
- Tu comprends très vite en finissant de lui quitter sa chemise, susurra Boher.
Quelques temps plus tard, il dû se résoudre finalement à la quitter.
- Tu m’attends demain matin avant de partir au boulot, lui demanda Boher.
- Si tu veux, appelle-moi si tu es trop en retard, répondit Samia.
- Tu ne me souhaites pas bonne chance. Je suis sûr que c’est pour aujourd’hui. On va enfin l’avoir, ce satané Arsène, affirma Boher.
- J’en suis sûr aussi. Au moins après tu auras plus de temps pour moi, remarqua Samia.
- Si toi aussi tu lâches un peu de lest avec ton boulot, répliqua Boher.
- J’ai eu le temps de réfléchir à Paris, toute seule dans ma chambre d’hôtel. Je vais embaucher quelqu’un, annonça Samia. J’aurais ainsi beaucoup plus de temps à te consacrer.
- Je te laisse, je suis vraiment à la bourre et il lui fit un dernier smack.

Les petits moments doux entre eux
Merci Babou

Ils sont vraiment trop mignon

Mercii pour cette suite Babou ^^

J'ai vraiment adoré ! Merci et Vivement la suite

Géniale cette fic. c'est toujours plaisant de les voir accro l'un à l autre comme ça.
Merci Babou !
Vivement la suite

- J’en suis sûr aussi. Au moins après tu auras plus de temps pour moi, remarqua Samia.
- Si toi aussi tu lâches un peu de lest avec ton boulot, répliqua Boher.
- J’ai eu le temps de réfléchir à Paris, toute seule dans ma chambre d’hôtel. Je vais embaucher quelqu’un, annonça Samia. J’aurais ainsi beaucoup plus de temps à te consacrer.
- Je te laisse, je suis vraiment à la bourre et il lui fit un dernier smack.


- On a du nouveau, lui fit Nico dès qu’il le vit rentrer dans le hall de l’hôtel.
- C’est pas vrai, dit Boher surpris. Quoi ?
- Quelqu’un a piraté le système informatique de l’hôtel, expliqua son collègue. Et notamment le dossier sécurité avec l’emplacement des caméras de surveillance.
- Et dire que je vais être coincé au stade pendant ce temps, observa Boher.
- Et il n’y pas moyen de faire autrement, demanda Nico.
- Tu plaisantes, répondit Boher, il m’a assez pourri la vie, hier soir parce que je m’étais éclipsé un moment et que j’avais perdu de vue les bijoux de sa femme. j’ai même dû faire passer Samia pour une collègue.
- Qu’est-ce que Samia faisait là-bas, s’étonna Nico.
- Ça c’est une longue histoire, fit Boher. Tout ce que je peux te dire c’est qu’il ne m’a pas à la botte. Et il fera tout pour me faire chier.
Il se tut car les deux époux arrivaient.

-On ne peut pas vous enlever votre ponctualité, c’est déjà ça, fit-il avant de répondre à son téléphone.
- vous êtes superbe, Mme Karabournalis, remarqua Boher.
- Appelez-moi Eléna. Vous avez très bon goût, votre amie est absolument charmante. Que fait-elle dans la vie ?
- Elle a monté sa propre entreprise d’informatique, raconta Boher.
- Pourtant, elle me paraît jeune, remarqua Elena.
- Certes, mais elle est très douée dans ce qu’elle fait, la défendit Boher.
- Elle est aussi magnifique, ajouta Elena. Vous formez un très beau couple. Je vous envie.

Puis comme son mari arrivait, ils partirent pour le stade vélodrome. Ils passèrent une très bonne soirée. Comme elle ne connaissait rien au foot, il lui expliqua les règles.
- Vous avez bien choisi votre soirée. C’était un très bon match ce soir, commenta Boher.
- Ce n’est pas tout le temps le cas, demanda Elena.
- Ça dépend, fit Boher.
- Vous n’arrêtez pas de regarder votre téléphone, remarqua Elena.
- Il ne s’est toujours rien passé à l’hôtel. Il faudrait qu’on essaye de rentrer plus tard que prévu pour lui laisser le temps d’agir, expliqua Boher.
Son mari arriva sur ses entrefaites. Il avait manqué plus de la moitié du match.
- Est-ce que vous pouvez raccompagner ma femme à l’hôtel ? Je dois voir des investisseurs, précisa Mr Karabournalis. Il partit avant d’attendre la réponse.
- Ça tombe mal, fit Boher. Arsène n’est toujours pas intervenu.
- Mais non, on ne va rien lui dire et vous allez m’emmener dans un restaurant typique pour manger la meilleure bouillabaisse. J’en rêve depuis que je suis arrivé sur Marseille. Mais mon mari a horreur du poisson.
- Il ne va pas mal le prendre si on ne rentre pas à l’hôtel directement, s’interrogea Boher.
- Pourquoi, puisqu’il n’en saura rien, ajouta Elena.
- C’est comme vous voulez, mais ça nous arrange aussi, remarqua Boher.
- Alors tout le monde est content, fit Elena. Où m’emmenez-vous ?
- Sur le vieux port. Vous ne pourrez pas mieux vous régaler ailleurs, remarqua Boher.

Deux heures plus tard, il ramena Eléna à son hôtel.
- J’ai passé une très bonne soirée, fit Elena.
- Moi aussi. Je vais rentrer avec vous pour voir s’il ne vous manque rien, observa Boher.

Arsène est-il ou .... est-elle passé par là ?

Contente de te retrouver Babou .

Bon retour parmi nous Babou !

Quel plaisir de te retrouver avec cette suite. Bon il se fait désirer notre Arsene

Deux heures plus tard, il ramena Eléna à son hôtel.
- J’ai passé une très bonne soirée, fit Elena.
- Moi aussi. Je vais rentrer avec vous pour voir s’il ne vous manque rien, observa Boher.


Elle fit le tour de la chambre mais ne remarqua rien.
-Je vous offre un dernier verre, proposa Elena.
- Non, je ne crois pas que ce soit raisonnable. En plus, je suis en service, répondit Boher. Je dois prendre la relève de mes collègues.
- Vous pourriez rester ici alors. Ça serait encore plus simple de surveiller mes bijoux en étant si près, ajouta Elena.
- Je ne crois pas que ce serait une très bonne idée, fit Boher.
- Donc en plus de ça, vous êtes fidèle, susurra Elena.
- Oui j’ai toutes les tares du monde mais j’ai au moins cette qualité, plaisanta Boher pour détendre l’atmosphère.
- Elle a encore plus de chance que je ne croyais, se plaignit Elena. Je ne vous dis pas bonne nuit alors, si vous allez rester en planque, dit-elle en se penchant vers pour lui donner un baiser un peu plus qu’amical.
- Bonne nuit éléna, dit il simplement.

Il rejoignit ses collègues, légèrement troublé.
- Tu as du rouge à lèvres sur la joue, remarqua Nico.
- Je…. dit il gêné en se frottant la joue.
- Alors à part ça, rien d’autre de compromettant, demanda Léo.
- Elle a fait le tour de la chambre, rien ne manque, expliqua Boher. Arsène n’est pas passé.
- Qu’est-ce que tu crois, on l’aurait vu, se défendit Léo.
- Ce n’est pas ce que je voulais dire. Je prends la suite, vous pouvez rentrer, dit Boher.
- Ça marche, répondit Léo qui tombait de fatigue. On fait un topo au poste demain matin.
- Ok à tout à l’heure, répondit Boher.

Il ne se passa rien non plus pendant le reste de la nuit. Mais le contraire l’aurait étonné. Il rentra chez lui pour dire bonjour à Samia avec qu’elle ne parte au boulot et qu’il n’y retourne à son tour.
- Tu as une tête de déterré. Tu devrais lever le pied, fit Samia tout en le prenant dans ses bras.
- C’est foutu maintenant, il n’a pas mordu à l’hameçon, soupira Boher.
- Je suis désolé pour toi, tu y croyais vraiment, répondit Samia.
- J’avais l’impression d’avoir cerné le personnage. Mais je me suis encore gouré, ajouta Boher.
- Sois patient, il finira bien par faire une erreur, le consola Samia.
- Je n’en suis pas si sûr que toi. Je crois que je vais demander à être dessaisi de l’enquête, expliqua Boher.
- Tu ne devrais pas baisser les bras, fit Samia. Si ce n’est pas pour aujourd’hui, tu l’auras un autre jour. Je te laisse, il faut vraiment que j’y aille. J’ai déjà trois candidats à voir. Au fait, tu travailles comment aujourd’hui ?
- Je suis juste venu en coup de vent pour te voir et te dire bonjour, dit Boher tout en l’embrassant. Je dois juste aller faire un topo avec mes collègues puis je reviens dormir. Je réattaque ce soir à 20h.
- Ne te tracasse pas autant pour lui, conseilla Samia. Passe une bonne journée.
- Elle va être longue sans toi, ajouta Boher.
- Dors bien et repose-toi fit elle en l’embrassant.
- Je vais rêver à toi dans cette magnifique robe rouge, lui murmura Boher à l’oreille avant qu’elle parte pour de bon.